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Les juifs, le communisme, et la révolution russe de 1917 www.youtube.com/watchPlus
Les juifs, le communisme, et la révolution russe de 1917
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Ne nous laissez pas sucomber
Je ne peut plus cliqué sur J'aime cela ne répond plus .Mais un grand merci a vous Spina Christi 2 ,pour vos deux postes ,il y a si long temps que je n'ais plus eu de telles explications ,il y a qu'un Abbé vers 1955 avec qui nous avions de telles discutions historiques ,MERCI.PS on dirais que l'Eglise d'aujourd'hui évite cela ?
Roy-XXIII
Spina Christi 2 il y a 7 minutes LMPT, s’insurge à juste titre : « N’ayant jamais aperçu ces panneaux, il serait utile qu’Alain Jakubowicz donne précisément les éléments de cette accusation.
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Spina Christi 2 il y a 7 minutes LMPT, s’insurge à juste titre : « N’ayant jamais aperçu ces panneaux, il serait utile qu’Alain Jakubowicz donne précisément les éléments de cette accusation.

En effet, alors que ça par contre ...
Spina Christi 2
"Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge." (Jean 8:44)
"Suite à « l’affaire Théo », du nom de ce dealeur congolais qui s’est prit …Plus
"Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge." (Jean 8:44)

"Suite à « l’affaire Théo », du nom de ce dealeur congolais qui s’est prit un retour de bâton après avoir attaqué des policiers, le roch de la LICRA Alain Jakubowicz, écrivit sur son site le 16 février :
« Chacun, enfin, garde en mémoire ces panneaux qui promettaient d’envoyer « les pédés au bûcher » lors des manifestations contre le mariage pour tous ».
Comme disait Victor Hugo : « Juif qui parle, bouche qui ment ». Le Salon Belge, en pointe de LMPT, s’insurge à juste titre : « N’ayant jamais aperçu ces panneaux, il serait utile qu’Alain Jakubowicz donne précisément les éléments de cette accusation. Sinon, il sera loisible à La Manif Pour Tous de le traîner en justice. Ce sont les millions de Français, qui ont défilé contre la loi Taubira, qui sont ici insultés ».
Comme souvent chez les manipulateurs, il y a un soupçon de vérité dans les faits. En fait, ce n’est pas la LMPT et ce n’était pas des pancartes. Remontons en 1999, au 1er février très exactement, et un article de Blandine Grosjean dans le torchon cathophobe Libération. Cette dernière accuse alors Christine Boutin d’avoir laissé la veille lors de la manif anti-PACS des jeunes scander « les pédés au bucher ». Le problème est que les « jeunes » en question, au nombre de quatre, ont été rapidement neutralisés par le service d’ordre et se sont avérés être des provocateurs envoyés par un parti gouvernemental… Mais qui se souvient de la vérité des faits 18 ans après ??? Personne. Sauf un Xiep qui a reçu de sa scolarité en zone communiste tout ce qui fallait pour devenir un excellent politicheski komisar, entre autre le goût de l’archivage que m’a inculqué mon mentor, le drugar Mishelovets.
Il se trouve que cette Blandine Grosjean n’est pas une inconnue. Avant Libération, elle travaillait dans un autre journal phare de l’extrémisme juif : L’Evénement du Jeudi. Le 22 novembre 1990, elle y a publié un véritable emphysème de haine cathophobe, attaquant l’immense Luce Quenette, fondatrice des écoles de La Péraudière et de Saint-Franc, dans un article au titre suintant la bêtise crasse : « Comment protéger vos enfants de la « cochonnerie ruisselante » de la chair ». Il est vrai que dans l’EDJ sévissait alors Isaac Shetboun, qui sous le nom de Guy Sitbon était le grand rabbin de la presse pornographique française, tout comme d’ailleurs sévissait aussi le sinistre Claude Askolovitch, tout aussi gallophobe, cathophobe et ennemi de la pureté (tout comme BHL qui déclarait que « la pureté mène à Auschwitz », étant lui-même ami du pédophile Polanski et ayant prénommé sa fille Justine-Juliette Lévy en hommage à Sade). Grosjean ne fut pas la seule à s’attaquer à l’iconique mère fondatrice des écoles authentiquement catholique. Elle l’a été sur le site littéraire de l’israélite Pierre Assouline La République les Lettres par un dénommé « Montaigne à cheval » (référence au livre de l’apologiste de Pol Pot Jean Lacouture), ou plutôt Jean-Philippe Goldschmidt, prof d’histoire-géo à Pantin et bien entendu juif. Je cite, éloignez les âmes sensibles (femmes, enfants, fans de La Mélodie du bonheur) : « Incroyable. Que ça puisse encore exister. Une vieille salope rance, psychopathe paranoïaque à fonde les burettes, pédophile, bigotte, conne, bref une caricature de caricature. Même Brassens n’aurait pas pensé à un engin pareil ». Goldschmidt, tout comme Askolovitch ou Sagalovitch, sont les meilleurs agents de l’antisémitisme… nécessaire à la cohésion interne de la secte pharisienne.
Il ne faut rien laisser passer et monter au créneau à chaque fake news. Le mensonge, c’est l’arme consubstantielle de la gauche, ce qui est normal car elle œuvre pour le prince de ce monde qui est aussi le prince du mensonge. La gauche, c’est l’idéologie « des Lumières », mais de la fausse lumière, celle de Lucifer l’ange déchu. N’oublions pas non plus que c’est la LICRA, par le biais de son avocat d’alors Maître Badinter, qui tenta, en vain, de faire appliquer la condamnation à mort de Monseigneur Vasile Boldeanu, ancien déporté à Buchenwald, avec comme « preuve » un dossier remis par la Securitate, fondée par Walter Roman qui est l’oncle d’un certain Alexandre Adler, membre de la LICRA, fondée par Jean Pierre-Bloch, membre des B’naï B’rith aux côté du rabbin Moses Rosen, soutien inconditionnel du régime communiste roumain… Comme on dit chez la souris Mortimer « Mickey » Mouse : « It’s a small world after all… »"
Spina Christi 2
"Nous devons au Jerusalem Post d’avoir fait remonter à la surface dans un article iconoclaste le massacre emblématique, il y a quatorze siècles à Jérusalem, treize siècles avant le génocide planifié des chrétiens d’Anatolie et de Thrace pendant la Première Guerre Mondiale, de soixante mille chrétiens palestiniens dans le Réservoir de Mamilla, à l’est des murs de la Vieille Ville de Jérusalem.Plus
"Nous devons au Jerusalem Post d’avoir fait remonter à la surface dans un article iconoclaste le massacre emblématique, il y a quatorze siècles à Jérusalem, treize siècles avant le génocide planifié des chrétiens d’Anatolie et de Thrace pendant la Première Guerre Mondiale, de soixante mille chrétiens palestiniens dans le Réservoir de Mamilla, à l’est des murs de la Vieille Ville de Jérusalem. Rendons au passage hommage au grand quotidien israélien pour la version relativement peu édulcorée qu’il nous présente d’un épisode particulièrement sordide des relations judéo-chrétiennes… et pour lequel aucune autorité religieuse en l’occurrence rabbinique ou laïque n’a jamais daigner présenter le moindre regret !
Cette année-là près de trois siècles de prospérité assurée par l’Empire byzantin sont brisés lors de la conquête du Levant par l’empereur sassanide [persan] Khosro II Parviz [le Victorieux]. Les Juifs locaux, de concert avec leurs coreligionnaires de Mésopotamie [Babylone], se sont alliés aux envahisseurs zoroastriens pour défaire la domination chrétienne. Assoiffés de vengeance après plusieurs générations de persécutions, les Juifs détruisent des centaines d’églises et de monastères ». Des « persécutions » qui, notons-le, ne sont pas précisément documentées !
… « James Parkes décrit le massacre qui suivit dans son livre [3] « Une histoire de la Palestine à partir de l’an 135 à aujourd’hui » : « En 614 [les Perses] prennent Jérusalem après seulement vingt jours de siège. Il ne fait aucun doute que les Perses ont reçu une aide substantielle de la part des Juifs de Galilée. Un chroniqueur mentionne le chiffre de 20 000 soldats juifs, un autre 26 000. Quoique les chiffres réels soient impossibles à établir, il n’y a aucune raison de douter du fait que les Juifs aient assisté les Perses avec tous les hommes disponibles et que ce soutien ait été considérable. Une fois Jérusalem tombée aux mains des Perses, un terrible massacre de chrétiens eut lieu ; les Juifs sont accusés d’avoir pris la tête de ce massacre. Il ne serait pas surprenant que cette accusation soit vraie, même si les histoires fantaisistes de vengeance juive rapportées par les chroniqueurs chrétiens sont certainement exagérées [4]… ».
Cependant, si l’on en croit le « Que sais-je » [n°2008/1982] consacré au Zoroastrisme, l’auteur précise que l’armée perse de 614 comprenait 26 000 mercenaires juifs… et que ceux-ci étaient animés du désir de « reconquérir Jérusalem » et de se venger des chrétiens responsables à leurs yeux de la destruction du Temple d’Hérode en 70 par les Romains. Destruction dont la seule cause est en vérité fut la réponse que donna Titus à la révolte des takfiristes de l’époque, les Zélotes !
Carnage
Poursuivons notre lecture du Jerusalem Post… « Mais combien de prisonniers de guerre chrétiens ont-ils été assassinés à Mamilla ? Un nombre précis n’est bien entendu pas possible à fixer de nos jours, cependant l’archéologue israélien Ronny Reich arrête le décompte à 60 000, avant que l’armée perse n’arrête le carnage [5]. Un témoin oculaire, Strategius de Saint-Sabas, a écrit à ce propos : « Les Juifs rachetaient les chrétiens des mains des soldats perses à prix fort et les égorgeaient ensuite avec une grande liesse à Mamilla débordant de sang ». La domination perse sur la Terre d’Israël aura duré quatorze ans. En 628, les Byzantins revinrent brièvement dans un pays en ruines, pour affronter la redoutable armée d’Omar ben Khattab, compagnon du Prophète. Or l’on ne peut [finalement] lire la Sulha al-Qods - le traité ayant scellé la capitulation [6] de Jérusalem en 638 - sans avoir en mémoire le massacre de Mamilla une génération plus tôt. Acte dans lequel le Patriarche Sofronius demandait au vainqueur de protéger les habitants de Jérusalem contre la férocité de juifs [from the ferocity of the Jews] » [jpost.com31oct14].
Le chiffre de 60 ou 65 000 individus, hommes, femmes et enfants, mis à mort avec « délectation » [Strategius de Saint-Sabas] est effarant au regard de la population de l’époque et démontre, il faut l’admettre, une claire volonté d’anéantissement - de génocide dirait-on aujourd’hui - obéissant à la lettre à l’injonction du Deutéronome… « Tous les peuples que le Seigneur ton Dieu te livre, tu les dévoreras, tu les regarderas sans pitié » [7/16]. Pourtant avec le recul du temps, nous nous garderons bien, au contraire de beaucoup d’autres, de dresser ici un quelconque gibet de la responsabilité collective [7].
Laissons in fine Israël Adam Shamir nous décrire Jérusalem à l’époque du grand carnage… « En 614, la Palestine faisait partie de l’Empire byzantin, lequel avait succédé à l’Empire romain. C’était une terre prospère à prédominance chrétienne où l’agriculture était développée, les eaux canalisées, les terrasses soigneusement entretenues. Les pèlerins affluaient vers les Lieux saints et les édifices construits par Constantin, le Saint-Sépulcre et l’Ascension au mont des Oliviers, figuraient parmi les merveilles du monde. Huit monastères égayaient les étendues sauvages de Judée. On y gardait des manuscrits précieux et l’on y priait. Les Pères de l’Église, Saint Jérôme de Bethléem et Origène de Césarée, vivaient encore dans les mémoires. Vivait aussi une communauté juive, fort riche, qui s’était installée principalement à Tibériade et sur les rives du Lac. Ses docteurs venaient juste d’achever leur version du Talmud qui codifiait leur foi, le judaïsme rabbinique. Pour autant, chaque fois qu’ils avaient besoin de directives, ils s’en remettaient à la communauté juive dominante de la Babylone perse ».
« En 614, les Juifs de Palestine se sont alliés à leurs coreligionnaires babyloniens pour prêter main forte aux Perses dans leur conquête de la Terre sainte. Or, à l’occasion de la victoire perse, les Juifs ont perpétré un holocauste massif des Gentils de Palestine. Ils ont incendié les églises et les monastères, tué les moines et les prêtres, et brûlé les Livres. La charmante basilique des Poissons et des Pains de Tabgha, l’Ascension sur le Mont des Oliviers, Saint Étienne, en face de la Porte de Damas, et Hagia Sion sur la colline du même nom, ne sont que quelques exemples parmi les plus notables de l’éradication des édifices religieux. De fait, très peu d’églises ont survécu à l’attaque. Laure de Saint Sabas, site extraordinaire niché dans la vallée sans fond du Wadi an-Nar, n’a dû son salut qu’à sa situation reculée et aux rochers escarpés qui l’environnent. L’église de la Nativité a survécu par miracle : lorsque les Juifs ont ordonné sa destruction, les Perses ont regimbé car ils avaient cru voir dans la mosaïque représentant les rois mages au-dessus du linteau le portrait de quelque roi perse… » [ISavr01]. En évoquant ces destructions, pensons de façon totalement non exhaustive aux saccages des édifices religieux et aux trafics d’œuvres d’art qui ont accompagné l’invasion de Chypre par les Turcs en 1974 ou au Kosovo après la guerre de l’Otan en 1999…
La seconde mort des martyrs de Mamilla
Aujourd’hui Mamilla a été quasiment effacé de la page du temps. À la place, on trouve un monstrueux “village” accueillant les très grosse fortunes, contigu au luxueux hôtel Hilton. Un peu plus loin, s’étendent le vieux cimetière de Mamilla où repose la noblesse arabe, et le réservoir d’eau de Mamilla que Ponce Pilate avait fait aménager. Au cours des travaux de génie civil, les ouvriers sont tombés sur une caverne funéraire abritant des centaines de crânes et d’os. Cette caverne était ornée d’une croix et d’une inscription : « Dieu seul sait leurs noms » [8] [Ibid]. Mais le pire était à venir. À présent le cimetière Mamilla - classé depuis 1927 abritant de très anciennes tombes soufies, de mamelouks et de Croisés - sera enseveli sous le béton d’un « Musée de la Tolérance » promu par le Centre Simon Wiesenthal [CSW]. Organisation qui de « chasseurs de nazis se reconvertit, faute de proie, en machine de propagande coloniale israélienne » [Ibid]. Établissement auquel l’Unesco a donné son feu vert au prix de la destruction d’un site de haute mémoire après avoir statué en 1996 « qu’il n’existait aucun projet risquant de désacraliser le site » [frontline.in21oct14] ! Il est vrai qu’en 1964, une section du cimetière a déjà été rasée et transformée en parc à voitures agrémenté de latrines publiques [9].
C’est donc non sans une certaine ironie que seront rappelés ici les propos tenus par la Directrice générale de l’Unesco, la Bulgare Irina Bokova, à l’occasion du saccage au Mali des tombes saintes de Tombouctou par les takfiristes d’Ansar al-Din… « L’attaque sur Tombouctou est une attaque contre notre Humanité ; elle est aussi… une attaque contre la tolérance ! » [frontline.in21févr14]. Plus récemment, le 28 octobre 2014, Irina Bokova condamnait à nouveau la destruction du mausolée de l’Imam Dur datant du XIe siècle et situé le gouvernorat de Salah-el-Din [Saladin]… « Au cours des derniers mois, nous avons assisté à des attaques similaires visant des bâtiments historiques, notamment des mosquées, des églises et des sanctuaires… Le nettoyage culturel à l’œuvre en Irak doit s’arrêter. La persécution des minorités ethniques et religieuses, qui s’accompagne de la destruction systématique de certaines des représentations les plus emblématiques du riche patrimoine irakien, relèvent d’une idéologie de la haine et de l’exclusion » [unesco.org28oct14]. Oubliant toute fois de dénoncer au passage ou de stigmatiser l’apatride marché international de l’art lequel motive souvent des destructions crapuleuses maquillées en « acte de foi ». Notons également que la remarquable position de la Directrice de l’Unesco le serait plus encore si elle n’était pas uniquement focalisée sur le seul État islamique et si elle osait rappeler à leurs devoirs patrimoniaux les descendants des perpétrateurs du massacre de masse de Mamilla..."
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AveMaria44
Le mode opératoire est toujours le même : antisémitisme, racisme égalité, non-discrimination, paix à sens unique.......Sans oublier les financiers et le butin.......
cristiada.cristeros
On n'oublie rien.
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Et le vent souffle toujours ses bourrasques mortifères .
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