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CLIMAT ARTIFICIEL Patrice Hernu commente le Bulletin météo 20h de TF1 Climat Artificiel Ajoutée le 1 déc. 2018 www.climat-artificiel.com La géoingénierie s’installe dans le paysage www.facebook.com …Plus
CLIMAT ARTIFICIEL Patrice Hernu commente le Bulletin météo 20h de TF1

Climat Artificiel Ajoutée le 1 déc. 2018 www.climat-artificiel.com

La géoingénierie s’installe dans le paysage
www.facebook.com/climatartificielurgence/·Vendredi 2 novembre 2018
Quand il y a plus de quatre ans la réalisatrice Jacqueline Roche a entrepris de réaliser un www.facebook.com/…/1355756407844943, après un essai très timide d’Arte sur le sujet, lequel avait été pourtant tout de suite rangé dans le complotisme, le plus grand scepticisme a régné, surtout dans les rangs de l’écologiquement correct qui depuis s’est mis au recyclage d’un thème qu’il n’est plus possible de nier.

Dans ce documentaire, nous expliquions que l’accord de la COP21 signé en décembre 2015 à Paris intégrait www.facebook.com/flx/warn/ en proposant 15 scénarios de limitation à 2°, lesquels supposaient que les signataires s’engagent sur des mesures très contraignantes avant la fin 2018, c’est-à-dire avant COP24. Cette conférence n’a d’ailleurs pas d’autre pouvoir que de préparer l’opinion à accepter la géo-ingénierie.

Elle commencera par constater la faillite des États, s’intégrant ainsi dans la logique supranationale de la faillite des institutions démocratiques. Puis, second point à l’ordre du jour, elle s’attachera à indiquer, par un accord politique et non scientifique, quelles voies permettraient de rendre “les objectifs de la COP21 plus opérationnels”. J’interrogeai récemment un ambassadeur de l’ONU auprès du GIEC et de la Conférence des Parties (la COP). Il la voyait inéluctable “mais il faudra en définir les limites et conditions”, bref la rendre “socialement acceptable” comme s’en inquiète le “vrai-faux’ rapport du Giec rendu public le 7 octobre 2018.

Pourquoi dire “vrai-faux” rapport du Giec ?
Parce que commandité par la COP21 pour analyser les différences entre l’objectif de 2° subitement présenté comme non viable (présenté comme le nec plus ultra aux décideurs et voté par la séance finale) et celui non adopté mais suggéré de 1.5° demandant des efforts accrus (donc encore moins à la portée des États), le bureau du GIEC a conservé la terminologie du rapport de 2013 et l’apparence de l’articulation entre le document scientifique et la synthèse à l’attention des décideurs mais pas le peu de fondement scientifique qui lui restait.
Le rapport traditionnel se présente comme une compilation de travaux indépendants de 3500 météorologues et experts, baptisés scientifiques du domaine, avant de subir plusieurs transformations : les experts désignés par le bureau rédige la compilation, puis un premier résumé de 100 pages, puis le bureau rédige ou fait rédiger une synthèse de 20 pages à l’attention des parties (représentants des États) à la conférence des parties, la rédaction politique ayant le dernier mot (article 9 du règlement des COP) contrairement aux déclarations des présidents et vice-présidents successifs du GIEC. Le rapport (www.facebook.com/flx/warn/) rédigé en vue de la COP24 n’obéit qu’en apparence à ce dispositif :

Il est directement passé au deuxième étage de la première synthèse rédigé par un collège de 91 experts désignés par le GIEC (donc sans rapport avec une compilation indépendante d’articles parus dans la littérature source), experts répartis en plusieurs collèges thématiques ce qui permet de contrôler la totalité du dispositif ;
Le document de synthèse a été rédigé par le bureau, discuté lors de la réunion d’octobre en Corée et négocié : une marge de manœuvre a été accordée aux États pétroliers pour qu’ils acceptent le texte, en échange de quoi il a fallu soustraire l’équivalent de carbone par des méthodes de géo-industrie dites BECCS (Bio Energy Carbon Capture and Sequestration) (Ce texte accepté par les parties n’est pas encore officialisé par le GIEC).
Des réunions d’expert se sont vite mises à l’œuvre pour donner le “la” des bonnes méthodes.
Tout cela ne serait-il que pure imagination comme les tenants de la doxa l’écrivent parfois en commentaires sur nos publications ?

Voilà que le CNRS organise un colloque sur ce thème :
"La géo-ingénierie : nouveau paradigme environnemental, nouveau paradigme juridique ?"

Il s’est tenu les 11 et 12 octobre 2018 à la Faculté de droit et de science politique de Rennes. Il était organisé par l'Institut de l’Ouest : Droit et Europe (IODE UMR CNRS 6262), le CNRS et l'Université de Rennes, 3 jours après la conférence de presse de Valérie Masson-Delmotte, chercheuse au Commissariat à l'énergie atomique (CEA), membre du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) dont elle est, depuis octobre 2015, la co-présidente du groupe de travail no 1 du GIEC, qui travaille sur les bases physiques du climat. Elle prend ainsi progressivement la suite de Jean Jouzel, ancien vice-président du GIEC et directeur d’études au Commissariat à l'énergie atomique (sic)...

Les actes de ce colloque public mais qu’il était interdit d’enregistrer, seront disponibles en février 2019. Dans l’attente, la présentation de ce colloque est suffisamment éloquente et apporte un démenti à tous les détracteurs du travail d’information que nous faisons auprès des citoyens.

1. La géo-ingénierie, c’est quoi ?
Corriger l’acidité des océans, extraire le CO2 atmosphérique, gérer le rayonnement solaire, restaurer des zones humides ou concevoir des modes de production agricole s’appuyant sur les fonctionnalités de l’écosystème pour corriger les effets anthropiques sur l’environnement, ces différentes techniques peuvent être regroupées sous le vocable de « géo ingénierie ». Également appelée ingénierie environnementale, elle vise les modifications intentionnelles de l’environnement par des techniques et/ou par des pratiques, mises en œuvre ou projetées, pour corriger les impacts environnementaux nés de la pression anthropique. Il s’agit donc de « manipuler » l’environnement pour contrecarrer les effets sur la nature des activités humaines. Les deux cibles principales sont le climat et les écosystèmes.

2. Un droit quasi inexistant
...les règles juridiques n’appréhendent qu’indirectement ce nouveau phénomène, lequel est caractérisé par une approche corrective et non préventive (en amont) ou adaptative (en aval) des atteintes à l’environnement. Les études sont rares sur les enjeux de l’ingénierie environnementale pour et sur le droit, et absentes en droit francophone. Quels sont les fondements juridiques existants qui permettent, interdisent, prévoient ou encadrent le développement de ces techniques ? En dépit de l’incertitude qui règne autour de ces techniques, principalement à l’état de scénario ou de projections technologiques à ce jour, quelques dispositions juridiques recensées dans les textes internationaux et nationaux ouvrent la voie vers ce nouveau paradigme, comme la notion de « neutralité carbone » ou de « captage et stockage des émissions de CO2 » ou encore la multiplication des pratiques de « restauration des zones humides ». La Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles (convention ENMOD)1est susceptible de couvrir la géo ingénierie dans l’hypothèse d’une telle finalité. Les membres de l’Organisation Maritime Internationale ont voté en 2008 une interdiction de la fertilisation des océans dans les eaux internationales à l’exception de « recherches scientifiques légitimes et de petite échelle ». La Convention sur la Diversité biologique, adoptée en 1992, est complétée en 2010 par un texte interdisant le déploiement de techniques de géo-ingénierie climatique sans pour autant s’appliquer de manière contraignante...
Au-delà du droit positif, le colloque a pour ambition d’explorer les nouveaux enjeux et orientations du droit de l’environnement à l’aune de la géo-ingénierie.

3. Oui, l’accord de Paris implique bien un recours à la géo-ingénierie
Plus récemment, l’Accord de Paris sur le climat adopté en 2015 et la Loi française sur la protection de la biodiversité de 2016, attestent à demi-mot du développement de cette logique de géo-ingénierie dans les politiques et les jeux d’acteurs à plusieurs échelles. Encadrer le développement de la géo-ingénierie, définir ce qui est socialement acceptable, privilégier certains dispositifs, la rendre irréversible, voilà ainsi révélé aux yeux du grand public un paysage de transition vers un monde plus artificiel, ceci en seuls deux mois de campagnes médiatiques, conformément à ce que nous annoncions depuis trois ans au moins.
Vous doutez encore ?
Patrice HERNU 2 novembre2018

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ne nous laissez pas succomber
@le mage vainqueur ,merci mais j'ais je crois tout essayez ,mais je crois qu'ils me collent aux basquettes ?les pourrit du Web .
ne nous laissez pas succomber
C'est très énervant ça bloc tout les trois mots et je doit repartir du début pour entendre trois mot et rebloc ,je ne sais quelle POURRITURE bricole dans mon ordinateur mais je n'ais plu de Boite Mail et j'ais ses coupures intempestives ;ES LA GUESTAPO ?
le mage vainqueur
Essayez d'éteindre l'ordi et le rallumer
le mage vainqueur
@CoeurdeFrance
Bonjour , cela va beaucoup plus loin que ce que l'on peut imaginer . Le soi-disant complotisme est un conte de fée à coté de la réalité
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@CoeurdeFrance
Bonjour , cela va beaucoup plus loin que ce que l'on peut imaginer . Le soi-disant complotisme est un conte de fée à coté de la réalité

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