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Où la conciliaire hérétique invite à la débauche et au meurtre

Jeudi, 9 novembre 2017 :
Sur le site internet de l’archevêché de Berlin (D) figure une page intitulée « Conseils pratiques pour l’utilisation de méthodes dans le travail pédagogique sexuel avec les groupes de jeunes ».

On y apprend qu’il est nécessaire d’éliminer les “tabous”, les “préjugés”, les “stéréotypes” en cherchant à résoudre la “tension” entre les comportements qui relèvent de l’identité des personnes et la doctrine “officielle” de l’Église.

L’archevêché de Berlin répond à quelques question. Exemples : « Quand est-il “normal” (sic) d’avoir des relations sexuelles ? »
Exemple de réponse parmi d’autres : « En principe les personnes majeures peuvent coucher avec des mineurs, à condition qu’il s’agisse d’un acte sexuel consenti. Cela devient difficile, cependant, si l’acte sexuel est contraint. » Mais l’archevêque de Berlin, Mgr Heiner Koch, (car c’est bien sous sa responsabilité que sont donnés ces “conseils”) ajoute : « Pour les moins de 14 ans il sera difficile d’obtenir une ordonnance pour des contraceptifs car les rapports sexuels pour les moins de 14 ans sont interdits par la loi. [Toutefois] les adolescents peuvent acheter des contraceptifs en vente libre comme les préservatifs et les diaphragmes dans n’importe quelle pharmacie. Si tu es gêné(e) de les demander dans une pharmacie, tu peux les acheter de façon anonyme au supermarché. »

Autre conseil donné à Milena qui a une “grossesse non désirée” : « Dans un contexte de grossesse conflictuelle, on peut donner des conseils à Milena sur la possibilité d’un avortement. (...) Même les filles de moins de 18 ans ont la possibilité en principe de pouvoir interrompre leur grossesse sans sanction au cours des douze premières semaines. »

Qu’attend donc le pape François pour convoquer l’archevêque de Berlin et lui conseiller vivement de prendre un temps de (grande) réflexion aux îles Kerguelen ?

Mercredi, 8 novembre 2017 :
D’un jeune internaute : « Les évêques de France reconnaissent que le pari du pape François de lancer un nouveau synode en vue d’intéresser les jeunes plus ou moins éloignés de l’Église est loin d’être gagné.

Dans le diocèse d’Évry, par exemple, trois questionnaires distincts ont été réalisés : un adressé aux jeunes, un aux accompagnateurs et aux prêtres, et un troisième aux “personnes de bonne volonté”. Ils n’ont reçu respectivement que 64, 36 et 37 réponses.
Et ce n’est pas mieux ailleurs, dans d’autres diocèses.

Peut-être suffirait-il, pour redonner aux jeunes l’envie de retrouver le chemin de l’Église, de leur montrer des paroisses où les messes sont des messes et non des réunions soi-disant conviviales, où le catéchisme est un enseignement sur les bonnes raisons de croire et non un échange sur les façons de sauver la planète, où le curé se distingue par sa tenue, son goût pour l'adoration silencieuse devant le tabernacle et sa sérénité, et non par le fait qu’il s'épuise en réunions, se fait appeler par son prénom et “bisouille” toutes les dames membres de l’équipe d’animation pastorale. »

Source : www.proliturgia.org

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gerard57
C'est malheureusement vrai, et il n'y a pas que ce diocèse-là en Allemagne qui se livre à de telles pratiques. Presque tous ont suivi, à la suite de la Conférence des évêques de cette année. Là où Jean-Paul II avait condamné, interdit et suspendu, François semble laisser faire.
blanche52
Bon, là, si c'est vrai, on a touché le fond !
Ne nous laissez pas sucomber
Conseil pour Milena,trouve toi un gars pour lui faire porter le chapeau ,courant dans les années 1958+.
GChevalier partage ceci
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