L’OTAN face au général Hiver, le dieu russe de la guerre

C’est tragique pour la population ukrainienne, mais c’est exactement ce qui va arriver:
Au moment où l’hiver sera vraiment là, la population ukrainienne qui a eu le tort de croire à la parole des ricains et des européens n’aura pas d’autre choix que de chercher refuge en europe, alors même que l’économie européenne est en cours d’implosion accélérée,
L’otan ne pourra plus soutenir l’ukraine et sera désarmée et ne sera pas en mesure de résister non-plus aux amères-loques pour autant que ceux-ci en aient encore quelquechose à faire de cette europedontils auront pompé absolument tout ce qu’ils pouvaient en tirer.
Ils auront dévoré le fruit et ils jetteront la peau.
Immanquablement!
Je ne sais pas si je finirai par avoir le sommier commandé en france pour mon lit ou si je devrai bricoler un sommier avec des planches, mais ce que je sais à coup sûr, c’est que chaque mois qui passera de cet hiver qui promet d’être terrible pour beaucoup de monde en europe, chaque mois, je remercierrai cette pré-science, cet instinct qui m’a fait choisir un chauffage au bois au lieu d’un chauffage au mazout ou au gaz il y a 29 ans, alors même que j’installation coûtait beaucoup plus cher qu’un chauffage au mazout et que je ne roulais pas sur l’or avec mon entreprise.
Il n’empêche qu’au moment des vaches maigres, alors que mamaison était un gouffre énergétique sans isolation et avec des fenêtre à simple vitrage et en plus en mauvais état, j’ai pu chauffer bien des hivers toute la maison avec l’argent que j’avais dans la poche pour payer de l’essence pour ma tronçonneuse et ma fendeuse.
Le bois était gratuit. Personne n’en voulait car ça représentait trop de travail.
Ces années-là, je n’ai pas perdu ma maison uniquement grâce à ce choix du bois.
Si j’avais dû payer du mazout, j’aurais perdu ma maison.
Il n’empêche que, quelque soit le travail pour faire le bois, c’est un bénéfice net. Aucune part de ce travail n’est mangée par l’impôt
les cmmunes avoisinantes étaient trop contentes que quelqu’un nettoyait encore les parcelles des dépouilles laissées par les forestiers: Ils étaient quittes de payer des gens pour faire ce travail qui représentait une charge financière nette.
Et à voir comment les choses tournent, j’ai encore bien fait, quand les années moins maigres sont venues, plutôt que de tout claquer en tours du monde et en voyages; d’investir dans un toit, puis des fenêtres isolantes, puis des isolations, au fil des ans, en fonctions des rentrées.
Maintenant, la baraque est saine et confortable et pour le 1/3 du bois que je brûlais il y a 30 ans, je me chauffe, je cuisine et je dispose d’autant d’eau chaude que je veux, le tout pour un coût que même avec ma modeste retraite, je peux assumer sans problème.
Alors que tout le monde, au mazout, au gaz ou à l’électrique voient leurs factures d’énergie exploser, j’ai 2 ans de chauffage d’avance dans le bûcher, au sec, et cet hiver, je préparerai mon combustible pour dans 3 et 4 hivers d’ici alors que les communes avoisinantes se souviennent que quand ils en avaient besoin, “j’ai fait le job” proprement et sans rechigner à la tâche, et j’ai laissé des parcelles de forêt propres sur lesquelles les forestiers pouvaient replanter facilement quand les agriculteurs des environs sont passés au mazout alors qu’ils avaient tout l’équipement qu’il fallait qui dormait dans la grange et qu’ils regardaient la télé durant la pose hivernale.
Et donc, aujourd’hui, je paierai mon bois au même prix que les années passées, c’est-à-dire pas grand-chose.