Album : "Le CHAPELET quotidien récité avec vous !"

SEIZIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter sainte Anne dans sa foi inébranlable : esprit de foi dans notre conduite ; voir la personne de Notre-Seigneur dans le prochain.
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LECTURE. — Sa promptitude à secourir les malheureux – Témoignage de Jean Trithème (suite du chapitre X, pages 99 à 104). — Sainte Anne, ressource des maisons pauvres, page 262 .
PRIÈRES. — « Le tronc illustre de Jessé a produit une merveilleuse branche sur laquelle s'est épanouie une fleur d'un merveilleux parfum : la Vierge, Mère de Dieu, est la fleur de la branche.
Priez pour nous, bienheureuse Anne,
Maintenant, toujours et à l'heure de notre mort. »
(Hymne de tierce du petit office de Sainte Anne)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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Album : "Le CHAPELET quotidien récité avec vous !"

QUINZIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter la modestie de sainte Anne : réformer nos relations avec le prochain, briser celles qui offrent un danger, rejeter les parures mondaines.
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LECTURE. — Sainte Anne et saint Joachim ont droit à toute notre confiance (chapitre X, pages 95 à 99). — Sainte Anne, délivrance des possédés, défense des vierges (p. 259)
PRIÈRES. — « Anne, glorieuse fille de Jessé, prévenue de toute grâce, éclatante de toute vertu, de vous est née la Vierge-Reine ; réconciliez-nous avec le Roi des rois.
Anne, mère de la Mère du Christ,
Augmentez notre espérance. »
(Hymne de prime du petit office de Sainte Anne)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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NEUVAINE à NOTRE-DAME du MONT-CARMEL (8-16 juillet) : montfortajpm.blogspot.com/…/neuvaine-notre-…

TREIZIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter la profonde humilité de sainte Anne : ne pas parler de soi, ne pas chercher à se faire valoir, à paraître ; combattre la vanité.
www.youtube.com/watch
LECTURE. — Saint Jean Damascène. — Saint André de Crète. — George de Nicomédie.— Interprétation d'un texte de saint Paul. — Jean Thomas de Saint-Cyrille.— Le Père Nicolas, de Dijon (suite du chapitre IX, page 87). — Sainte Anne, résurrection des morts (page 256).
PRIÈRES. — « Anne, vous qui avez enfanté la Souveraine et la Perle des cieux, la Mère des miséricordes, nous vous vénérons par amour pour votre Fille.
Le Seigneur a chéri sainte Anne ;
II s'est épris de la beauté de ses vertus. »
(Hymne des complies du petit office de Sainte Anne)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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* * *
Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)

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TREIZIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter l'incomparable pureté de conscience de sainte Anne ; se confesser toujours avec précision, simplicité, sincérité.
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LECTURE. — Toutes les créatures ont contracté les plus étroites obligations envers sainte Anne et saint Joachim (chapitre IX, pages 83 à 87). — Sainte Anne, joie des mourants (page 251).
PRIÈRES. — « Réjouissez-vous, ô mère de la Mère du Christ ! qui avez accueilli avec transport le message de Dieu le Père.
Réjouissez-vous, épouse de Joachim ; le Ciel a mis un glorieux terme à votre stérilité.
Réjouissez-vous ; car la Fille qui a reposé dans votre chaste sein y fut préservée de la tache originelle.
Réjouissez-vous : vous avez enfanté la Fille de la chasteté, vase de vertu et de salut.
Réjouissez-vous : vous avez allaité avec allégresse l’Étoile du monde et le Cellier du souverain Roi.
Que par Elle il nous soit donné de jouir des clartés de sa Face adorable dans la gloire éternelle.
Ainsi soit-il. »
(Hymne des matines du petit office de Sainte Anne)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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DOUZIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter le zèle de sainte Anne ; s'employer à quelque œuvre d'édification : La Propagation de la Foi, la Sainte-Enfance, les Écoles apostoliques, etc., etc.
LECTURE. — Modèle des épouses par ses vertus conjugales et domestiques, et par son ardeur à les communiquer (suite du chapitre VIII, page 79. — Sainte Anne pain des pauvres (page 249).
PRIÈRES. — « Je vous salue, Mère miséricordieuse.
Ô Anne, vous dont le nom signifie grâce, accueillez nos prières.
Ô Anne, heureuse mère !
Votre Fille est une fleur épanouie ! »
(Hymne de none du petit office de Sainte Anne)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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ONZIÈME JOUR
PRATIQUES. — Imiter les vertus de sainte Anne ; sa vertu de religion ; visiter le très-saint Sacrement ; contribuer à la décoration des autels.
LECTURE. — Les vertus de la femme forte (suite du chapitre VIII, pages 75 à 79)— Sainte Anne, charitable médecin des malades (p. 248).
PRIÈRES. — « Salut, rameau de la tige de Jessé, dont la Fleur répand la céleste odeur d'un éternel parfum. Salut, mère de l’Étoile des mers de laquelle est né le Roi des rois. Du tourbillon de la tempête et de l'exil attirez-nous vers les bienheureux. Ô vous qui seule avez mérité de donner la vie à la Mère du Christ, accueillez nos prières. Recommandez-nous avec instance au Roi et à la Reine des cieux, à votre Fille et à son Fils. Ainsi soit-il. »
(Hymne des vêpres de l'Office de Sainte Anne)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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DIXIÈME JOUR
PRATIQUES. — Faire célébrer une messe en l'honneur de sainte Anne, ou pour remercier la très-sainte Trinité des grâces qu'elle lui a faites ; communier à cette intention.
LECTURE. — On peut dire de sainte Anne ce que l'Esprit-Saint dit de la femme forte (chapitre VIII, page 71 à 75). — Sainte Anne, consolatrice des affligés (page 235).
PRIÈRES. — « Ô Bienheureuse Anne, qui régnez éternellement avec les Anges !
daignez vous souvenir de nous, et nous aider à mériter un jour votre sainte compagnie. »
(La vénérable Anne de Saint-Augustin)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
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vos glorieux enfants.
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NEUVIÈME JOUR
PRATIQUES. — Inspirer la dévotion à sainte Anne, aux enfants et aux personnes sur lesquelles nous avons quelque autorité.
LECTURE. — Générosité de sainte Anne. — Alvarez de Paz. — Saint Germain de Constantinople (fin du chapitre VII, page 67). —La vénérable Mère Anne de Saint-Augustin (suite et fin, page 202).
PRIÈRES. — « Je vous salue, mère de la Mère de Dieu, par laquelle les coupables se sauvent.
Je vous salue, ô Anne, mère miraculeuse d'une enfant vouée à son Dieu.
À tout le peuple fidèle,
Soyez dévouée auprès de Jésus-Christ. »
(Antienne à sainte Anne)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
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HUITIÈME JOUR
PRATIQUES. — Répandre les livres propres à faire connaître sainte Anne ; donner son image aux pauvres, aux infirmes, aux affligés.
LECTURE. — Par la présentation de Marie au Temple, sainte Anne et saint Joachim ont mis le comble à leurs mérites (chapitre VII, jusqu'à la page 67). — La vénérable Mère Anne de Saint-Augustin (suite de la page 196 à la fin de la page 201).
PRIÈRES. — « Ô Vierge incomparablement belle et douce ! ô Lis entre les épines ! ô Lis épanoui sur la généreuse et royale tige de David ! en vous la royauté s'est enrichie du sacerdoce, en vous s'est concentrée la plénitude de la loi, en vous l'esprit de la loi s'est révélé au grand jour ; par vous la dignité sacerdotale a passé de la tribu de Lévi à la tribu de Juda. Ô Rose épanouie sur les épines de Juda ! votre divin parfum a tout embaumé. Ô Fille d'Adam, Mère de Dieu ! bienheureuses les entrailles qui vous ont donné la vie ! heureux les bras qui vous ont soutenue ! heureuses les lèvres de vos saints parents qui vous ont donné de saints baisers ! »
(Saint Jean Damascène.)
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Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
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en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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*PREMIER SAMEDI DU MOIS (dévotion réparatrice au CŒUR-IMMACULÉ de MARIE)ARCHIVES RELIGIEUSES (vidéos & PDF)

SEPTIÈME JOUR.
PRATIQUES. — S'employer à la propagation du culte de sainte Anne.
LECTURE. — Les mérites de sainte Anne se sont prodigieusement accrus après la Conception de Marie Immaculée (chapitre VI, page 55). — La vénérable Mère Anne de Saint-Augustin (de la page 190 à la fin de la page 196).
PRIÈRES. — « Ô Joachim ! ô Anne ! ô tourterelles très-pures, par votre fidélité à la loi, vous avez divinement, mérité ce qui surpasse les forces de la nature ; vous avez donné au monde la Vierge Mère de Dieu. En menant une vie irréprochable, vous avez obtenu une Fille supérieure aux Anges et la Souveraine des Anges. »
(Saint Jean Damascène.)

LP60. Litanies chantées de St Joachim et de Ste Anne
(Paroles ici : montfortajpm.blogspot.com/…/litanies-de-sai… )

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
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sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
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et daignez les exaucer,
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vos glorieux enfants.
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Cantique "Ô SAINTE ANNE, Ô MARIE !"

SIXIÈME JOUR.
PRATIQUES. — Prier pour les âmes du Purgatoire qui ont porté le nom béni de sainte Anne, ou qui l'ont honorée durant leur vie.
LECTURE. — Les Pères grecs (saint Jean Damascène & saint Germain de Constantinople) sur la glorieuse maternité de sainte Anne (suite du chapitre V, page 48). — Le vénérable Vincent de Clusa (suite et fin), page 176.
PRIÈRES. — Ô très-douce Mère, ne dédaignez pas la prière des pauvres, mais dans votre maternelle charité protégez ceux qui se réfugient vers vous.

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
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j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
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auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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"Sainte Anne, ô bonne Mère"

CINQUIÈME JOUR.
PRATIQUES. — Prier pour les personnes qui ont reçu le nom de sainte Anne au baptême ; les lieux, les paroisses, les communautés ou les personnes que cette grande sainte protège.
LECTURE. — Les Pères de l’Église grecque ont enseigné que sainte Anne a mérité sa glorieuse maternité (chapitre V, de la page 43 à la page 48). — Le vénérable Vincent de Clusa (de la page 172 à la page 176).
PRIÈRES. — « Bienheureuse Anne, réjouissez-vous de votre maternité ; votre fille sera Mère de Dieu, la Porte de la lumière, la Fontaine de la vie ; elle réparera le crime de la première femme. »
(Saint Jean Damascène)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
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* * *
Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)

"CANTIQUES à SAINTE ANNE"

QUATRIÈME JOUR
PRATIQUES. — S’engager, en des limites raisonnables, à ne rien refuser de ce qui nous serait demandé au nom et pour l’amour de sainte Anne.
LECTURE. — Sainte Anne a mérité de devenir mère de Marie Immaculée (chapitre IV, page 35). — Le vénérable Vincent de Clusa (de la page 168 à la fin de la page 171).
PRIÈRES. — « Ô Dieu, qui avez daigné conférer à la bienheureuse Anne votre grâce, afin qu’elle méritât de donner le jour à la Mère de votre Fils unique, accordez-nous, dans votre bonté, d’être aidés auprès de vous du patronage de Celle dont nous célébrons la solennité. »
(Bréviaire romain, Oraison de l’office du 26 juillet)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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* NEUVAINE aux SACRÉS-CŒURS pour les Premiers Vendredi et Samedi du mois *

TROISIÈME JOUR.
PRATIQUES. — Prendre la résolution d’honorer sainte Anne, très spécialement, les mardis de chaque semaine.
LECTURE. — Maternité de sainte Anne. Cette dignité l’élève au-dessus de toutes les autres Saintes (chapitre III, page 25). — Sainte Colette (page 228).
PRIÈRES. — Je vous salue, ô Bienheureuse Anne ! vous êtes la terre sainte, le jardin béni qui nous a donné le Lis Immaculé de l’adorable Trinité et la rose éclatante dont le parfum réjouit le ciel et la terre.
Ô sainte Anne, aimable patronne, mère compatissante, montrez-nous votre pouvoir sur les Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie. Ainsi soit-il.
(D’après les Pères et sainte Gertrude.)

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
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"CANTIQUES à SAINTE ANNE"

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SECOND JOUR.
PRATIQUES. — Choisir sainte Anne pour mère, patronne spéciale et guide spirituel ; réciter les prières dont on a fait choix pour terminer l'exercice qui précède ainsi que les suivants.
LECTURE. — Pourquoi les Évangiles gardent le silence sur sainte Anne (chapitre II, page 15). —Le vénérable Louis du Pont (page 230).

Je vous salue, Bienheureuse Anne, le Seigneur est avec vous : vous êtes bénie entre les femmes, et Marie, le fruit de vos entrailles, est bénie.

Sainte Anne, Mère très-digne de la Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Ainsi soit-il.

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
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qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
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* NEUVAINE EFFICACE à NOTRE-DAME des 3 AVE MARIA pour la VISITATION (24 juin au 2 juillet) ou NEUVAINE de St Alphonse *

PREMIER JOUR.
PRATIQUES. — Professer le respect le plus tendre pour le nom de sainte Anne ; le prononcer fréquemment et avec piété ; l'associer aux très-saints noms de Jésus, de Marie et de Joseph avec celui de Joachim.
LECTURE. — Légende de sainte Anne, page 9. — Armelle Nicolas, page 232. (On peut abréger ou même supprimer ces lectures suivant le temps dont on dispose.)
PRIÈRES. — Les litanies ou quelques-unes des prières éparses dans ce volume.

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
montfortajpm.blogspot.com/…/neuvaine-sainte…

* * *
Les TROIS AVE MARIA du matin & du soir :
avec cette invocation à la fin :
- le matin : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant ce jour. »
- le soir : « Ô ma Mère, préservez-moi du péché mortel pendant cette nuit.»

« Oh ! quelle sainte pratique de piété !
c’est un moyen très efficace d’assurer votre salut. »
(Saint Léonard de Port-Maurice)

* La CONTRITION PARFAITE & la COMMUNION SPIRITUELLE *

LE MOIS DE SAINTE ANNE
Le mois de sainte Anne n'est pas une pratique nouvelle : un grand nombre de personnes l'ont adoptée depuis longtemps, et elle s'est introduite naguère à Bologne, où un fervent missionnaire vient de publier, avec l'approbation épiscopale, des exercices pour chaque jour du mois de juillet. Nous engageons les personnes pieuses et les communautés qui désireraient suivre ou propager cette louable coutume à se procurer la traduction de cet excellent recueil. Nos lecteurs trouveront également dans la table suivante des indications propres à atteindre le même but avec plus de variété.

Lectures, Pratiques, Exemples et Prières
pour chaque jour du mois de juillet, consacré à sainte Anne.

La VEILLE.
LECTURE. — Pratique de la dévotion à sainte Anne, page 303.
PRATIQUES. — Se purifier la conscience par une bonne confession ; orner décemment l'image, la statue ou la chapelle de la Sainte ; se tracer un petit règlement pour le mois.
Implorer les lumières de l'Esprit-Saint avant d’arrêter son choix sur la grâce ou les faveurs que l'on désire obtenir.
PRIÈRES. — Les litanies de sainte Anne, ou le petit-office, ou encore l'acte de consécration.

Souvenez-vous, ô sainte Anne,
vous dont le nom signifie grâce et miséricorde,
qu’on n’a jamais entendu dire
qu’aucun de ceux qui ont eu recours à votre protection,
imploré votre assistance
et réclamé votre intercession,
ait été abandonné.
Animé d’une pareille confiance,
j’ai recours à vous,
sainte épouse de Joachim,
notre bonne et tendre Mère ;
je me réfugie à vos pieds,
et tout pécheur que je suis,
j’ose paraître devant vous en gémissant.
Ne méprisez pas mes prières,
ô sainte Mère de l’Immaculée Vierge Marie,
et glorieuse aïeule de Jésus-Christ, Notre-Seigneur ;
mais écoutez-les favorablement
et daignez les exaucer,
en intercédant pour nous
auprès de Jésus et Marie,
vos glorieux enfants.
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