"En examinant de plus près le désastre qui se déroule, nous constatons que les fonctionnalités sont davantage conçues pour inculquer la paranoïa, bien plus que le profit et l'espionnage ne devraient l'exiger. Si vous écrivez "Covid" en lettres hébraïques et que vous le lisez de droite à gauche, comme on lit les mots hébreux, vous obtiendrez דיבוק, "Dibouk", le démon des cabalistes, l'esprit maléfique susceptible de pénétrer et de posséder une personne souffrant d'une "intensification émotionnelle", a noté Bogdan Herzog, le mystique roumain de Timisoara. Le Dibouk est une figure populaire du folklore juif, qui fait l'objet de pièces de théâtre et de films. L'analyse de Herzog se poursuit : peut-être l'analogie avec la possession démoniaque n'est-elle pas superficielle mais profonde. Et si le COVID relevait plus de la psychologie que de la biologie ? Peut-être que par l'induction d'une peur extrême ("intensification émotionnelle"), les gens se comportent "comme si" ils étaient possédés par le Dibouk... De fait, ils semblent bien agis, comme s'ils étaient hypnotisés, obéissant sans réfléchir aux injonctions contradictoires des autorités et acceptant des limitations sans précédent de la liberté individuelle.

Tout cela sent déjà assez mauvais, mais Herzog va plus loin : Peut-être que le problème n'est pas de nature psychologique mais spirituelle, comme l'assènent les cabalistes juifs, et que le seul remède possible est une sorte d'exorcisme ? C'est peut-être pour cette raison que les églises ont été des cibles privilégiées pendant notre détention "préventive" ? En effet, les églises ont été fermées à l'Est comme à l'Ouest pour la toute première fois, même si les magasins étaient ouverts. L'Église luthérienne de Suède a gardé ses églises ouvertes pour les services religieux, mais la fonction la plus importante, la communion, a été suspendue. Il s'agit d'une attaque spirituelle des plus mortelles, car le sacrifice divin continu de l'Eucharistie est quelque chose qui soutient l'existence même de la société. "Est-ce la vraie raison pour laquelle l'Eucharistie a été interdite pendant le confinement ?" - se demande Herzog. Si les églises étaient restées ouvertes et que la communion ait continué à se pratiquer, le méchant Dibouk aurait disparu.

(Il se trouve que le seul pays chrétien orthodoxe à avoir communié à Pâques dernier était le Belarus, un petit État d'Europe de l'Est dirigé par l'indomptable Alexandre Loukachenko, alias le "dernier dictateur d'Europe". Il y a quelques années, j'ai été accusé de lui avoir fourni des secrets concernant l'ingérence américaine dans les élections biélorusses. C'était faux, mais il est bien connu que les Américains et les Russes se sont immiscés en Biélorussie, considérant Loukachenko comme trop têtu et férocement indépendant pour eux. Les Russes et les Américains voulaient piller la Biélorussie, acheter ses industries et accaparer son agriculture ; Loukachenko leur a dit non. La Biélorussie est le seul État ex-soviétique qui n'a pas été désindustrialisé, privatisé et démantelé ; le seul qui n'a pas envoyé de vagues de réfugiés économiques travailler à l'étranger. On a dit que Poutine était jaloux, quand Loukachenko a osé communier à Pâques et qu'il a organisé son défilé militaire pour le jour de la Victoire, tandis que Moscou suivait les conseils de l'OMS en fermant les églises, en reportant le défilé et en verrouillant la ville ; cependant, la semaine dernière, Poutine et Loukachenko se sont débrouillés pour inaugurer et dévoiler ensemble le Mémorial aux soldats soviétiques à Rzhev, le "Verdun de la Seconde Guerre mondiale")."
Extrait du Site Entre la Plume et l'enclume

La Joie de Pâques à l’épreuve de « la chose »

Premier jour de semaine Sainte : l’actualité nous cerne, nous encercle et nous hypnotise avec un virus certes méchant mais qui, reste « une chose ». Un virus n’est pas au sens propre du terme, un être vivant, c’est « juste » un morceau de code génétique.

Oui, ce petit bout d’ADN est virulent et il faut le combattre et limiter sa propagation de toutes nos forces puisqu’il est vecteur de mort. Mais ce petit bout d’ADN de chauve-souris doit-il nous faire oublier notre ADN réel : notre Foi en Jésus-Christ, Le Vivant, principe de toute vie ?

Or nos esprits sont comme hypnotisés par « la chose » oubliant que le Christ est le vainqueur de la mort le jour de Pâques, nos esprits sont sidérés par les recommandations justifiées de la distanciation sociale et de l’interdiction de regroupement. Nos lâchetés s’harmonisent bien à celles de Judas et de Pierre.

Les recommandations de la macronie ont été sur interprétées par les Évêques qui proposent une « présence » virtuelle aux célébrations de Pâques ! Comment le culte de la Vie, de l’incarnation pourrait-il être désincarné et virtuel ? Accepter cette injonction mortifère ce serait succomber à la Tentation et abolir, démolir les fondations de l’Église. Non, Jésus n’a pas virtuellement, « via streaming » versé son sang. C’est du Sang, tout son Sang qu’il a versé et ce, en réel. Le peuple de Moïse par le biais de ses instances représentatives, a choisi de limiter, pour respecter les recommandations, le culte à son strict minimum, à celui de la famille nucléaire mais il a maintenu le culte de Pessah.
Les Évêques ne nous proposent à nous catholiques, du virtuel, c’est-à-dire de la Mort, comment fêter Pâques autrement que virtuellement ? Comment combattre le fragment de mort découronné par la 5G, autre vecteur de mort ?

Le modèle d’une messe publique sur des parking permettrait de respecter l’obligation d’un culte public et des mesures d’hygiène. Ont-ils fait la demande ? Ont-ils été force de proposition auprès des autorités ? N’ont-ils pas surinterprété des injonctions prises à la va-vite par le gouvernement ? Ont-ils le pouvoir de changer la doctrine catholique qui fait de Pâques le summum de la vie chrétienne et que font-ils des obligations pascales ? Streaming, skype sont-ils des nouveaux articles du droit canon ?

Nous catholiques sommes orphelins, orphelins de Père, orphelins de Pères qui ne mettent plus, à quelques exceptions près, leur foi en Dieu, se soumettent à la moindre lubie de la macronie et devancent avec frénésie (exemple du mode de communion) les errements des oukases. La peur du petit gendarme (et pas très méchant), la peur de l’amende et la peur des répercussions futures n’est pas chrétienne. Ce ne sont que calculs bien humains ! « N’ayons plus peur », Jésus a vaincu la mort par son Sang réel. Sollicitons une participation réelle à ce sacrifice et surtout pas virtuelle !

Oui les Évêques ont découronné le Vivant, privé les fidèles de la joie de la Résurrection pour couronner corona, la chose morte !

L'alliance avec l'islam sous prétexte qu'ils aiment Jésus est une réponse imbécile et sentimentale. Aucune base n'est commune avec l'islam et c'est le pire antichristianisme car il joue sur cette corde sensible de "faisons la paix" et "oublions la vérité". Jésus Messie et crucifié est la seule Vérité et le débat doit se faire en vérité avec ceux qui savent ce qu'est le Messie. Malheureusement je ne vois aucun théologien catholique capable de lancer ni tenir la disputatio avec un Rabbin.

A ce propos j'ai une anecdote. Mon ex beau-frère islamiste acharné à me sortir de l'erreur voulait pour la nième fois me convaincre de la non crucifixion du Christ. Cela a été si violent que je lui ai dit "allons voir Harry un juif marocain que nous connaissions en commun, interrogeons le à ce sujet : "étiez vous assez cons pour vous tromper sur le gars que vous avez crucifié! je préfère la haine de ceux qui l'ont crucifiés que le mensonge de vous qui faites de Dieu un monstre "échangeant" ou se trompant de crucifié au dernier moment et de Jésus un couard" leur haine est plus stimulante que votre pseudo amour d'un Jésus à la guimauve. votre dieu est dégueulasse"
Mon beau-frère s'est tu.