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MARIA VALTORTA Préconisé par Padre PIO...
MARIA VALTORTA preuves par milliers
olivierjean
Pourquoi faire de la propagande pour Maria Valtorta ?
Pour mieux détourner les chrétiens des Evangiles canoniques, les seuls qui nous révèlent la vérité du Christ dans sa Divinité et son Incarnation, les seuls qui nous présentent Marie sa mère telle qu'elle a été dans sa réalité : simple, humble, cachée, laissant Jésus partir avec son propre entourage sur les routes de sa prédication.
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Pourquoi faire de la propagande pour Maria Valtorta ?
Pour mieux détourner les chrétiens des Evangiles canoniques, les seuls qui nous révèlent la vérité du Christ dans sa Divinité et son Incarnation, les seuls qui nous présentent Marie sa mère telle qu'elle a été dans sa réalité : simple, humble, cachée, laissant Jésus partir avec son propre entourage sur les routes de sa prédication.
Contrairement à ce que prétend une intervenante de cette vidéo, j'ai un goût immodéré des Evangiles, de la personne du Christ dans sa vérité, et c'est précisément la raison pour laquelle les écrits de Maria Valtorta me révulsent dans leur fausseté.
Quant à la pertinence de certains détails historiques, l'explication peut en être très simple : les âmes inspirées par les esprits faux - il y a quantité de faux docteurs dans le shéol - paraissent plus érudites que la moyenne, l'érudition n'ayant jamais été une preuve de véracité dans la foi... Le Christ Jésus n'a pas cessé de dénoncer dans sa vie "les sages et les intelligents" qui cherchent à mener les âmes à leur perte. Maria Valtorta est certainement plus victime que coupable : le grand drame de sa vie et de son "œuvre" c'est qu'elle ait été crue par des esprits faibles et inconsciemment - ou pire, consciemment - mal intentionnés...
olivierjean
Toute cette action de marketing pourrait être louable, tout cet effort serait admirable s’il s’agissait de messages dont l’Église avait reconnu le caractère surnaturel. Or, pour l’Église, les écrits de Maria Valtorta ne sont qu’une «vie de Jésus mal romancée».
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olivierjean
À une date plus récente, le 9 septembre 1988, le cardinal Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, interrogé par une fidèle canadienne, faisait répondre par son secrétaire privé, Mgr Clemens, que la grande œuvre de Maria Valtorta est «un ensemble de fantaisies enfantines, d’erreurs historiques et exégétiques, le tout présenté dans un contexte subtilement sensuel»
apvs
J'ai oublié de vous le dire, cher olivierjean : un immense merci pour tous les efforts que vous faîtes afin de faire connaître et aimer ( même malgré vous ) l'oeuvre révélée à Maria Valtorta ! Que Dieu vous le rende par toute sorte de bénédictions + LOUE SOIT NOTRE SEIGNEUR JESUS-CHRIST A JAMAIS + 🤗 😇 😉 🤗 😇 👍 🤗 😇 😎 😁 🤗 😇
apvs
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Conformité des aspects doctrinaux.

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La reconnaissance de la valeur théologique de l’œuvre de Maria Valtorta vient, paradoxalement, des membres du Saint-Office qui la mirent à l’Index. Ce n’était bien sûr pas leur intention. Mais « tel est pris qui croyait prendre » dit le dicton. Nous allons le voir.
Auparavant, il nous faut pointer les
six tentatives de décrédibilisationMore
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Conformité des aspects doctrinaux.


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La reconnaissance de la valeur théologique de l’œuvre de Maria Valtorta vient, paradoxalement, des membres du Saint-Office qui la mirent à l’Index. Ce n’était bien sûr pas leur intention. Mais « tel est pris qui croyait prendre » dit le dicton. Nous allons le voir.

Auparavant, il nous faut pointer les
six tentatives de décrédibilisationauxquelles l’article des censeurs s’essaye, tout en précisant qur toute erreur doctrinale est "évitée". Pourquoi dans ce cas en parler ?

1 – des faits rajoutés : il suffit de se reporter à la dernière phrase de l’Évangile et aux avis du Magistère, pour s’étonner qu’il s’en étonne
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm.

2 – des pages scabreuses aptes à troubler les pensionnats de jeunes filles et les couvents de religieuses. Cet avis suranné trouve son origine dans les confessions (pudiques) d’une courtisane racontant son chemin de rédemption
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm ; ainsi que dans une scène où Jésus comparaît devant Hérode Antipas qui le questionne et espère de lui un miracle selon l’Évangilewww.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm. À noter que les censeurs attribuent la scène par erreur à une comparution devant Pilate.

3 – "Au milieu d’un si grand étalage de connaissances théologiques (sic), écrivent-ils, on peut cueillir quelques… perles qui ne brillent certes pas par leur orthodoxie catholique" et de citer "Ici et là s’exprime, au sujet du péché d’Adam et Ève, une opinion plutôt extravagante et inexacte". On aurait aimé plus de précisions.

Enquête faite, l'œuvre de Maria Valtorta affirmerait
"que la tentation d'Ève a d'abord été un éveil sensuel de sa chair, qu'elle a commencé le péché toute seule et l'a achevé avec son compagnon. L'Écriture n'en dirait rien".

Malheureusement pour les censeurs, Maria Valtorta ne fait qu'exprimer ce que dira presqu'intégralement, un demi-siècle plus part, le Catéchisme de l'Église catholique sur la concupiscence et son origine (
CEC § 2514 et 2515). Au jeu de l’orthodoxie, tel est pris qui croyait prendre.

4 – Une "hérésie évitée" : "Marie peut-être appelée seconde-née du Père" (
EMV 1). L’affirmation est exacte mais sortie de son contexte et révèle devraies lacunes de la part du censeur.

Dans une note manuscrite, Maria Valtorta précise :


"Elle est seconde en perfection naturelle et surnaturelle, après celui qui est à la fois Fils de Dieu et son Fils à elle, qui est infini, comme Dieu, en toute perfection."

Qui dirait le contraire ?

Pie XII lui-même, dans son
message radiodiffusé du 13 mai 1946 à l’occasion de la fête de Notre-Dame de Fatima, n’hésite pas à qualifier Marie de "première-née du Père (Filha primogénita do Padre)www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm".

Saint Maximilien Kolbe se fait plus précis : "Les êtres spirituels sont créés à l’image et à la ressemblance de Dieu, alors d’elle (la Vierge Marie) on peut dire qu’elle est Fille de Dieu
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm".

Si les censeurs trouvent que l’œuvre de Maria Valtorta ne "brille pas par son orthodoxie", force est de constater que leur article ne brille pas par sa culture la plus élémentaire.


5 – Un commentaire sur le Paradis que les censeurs jugent être "une notion hermétique et plus confuse que jamais, ce qui est heureux, car si on devait la prendre à la lettre, elle n’échapperait pas à une censure sévère" menacent-ils.

Pour qu’elle soit moins confuse, il suffit de la lire
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm : Jésus fait le portrait spirituel de sa Mère. Les censeurs devaient être assez peu coutumiers deslouanges que saint Cyrille d’Alexandrie adressa au nom de tous les Pères présents, lors du concile d’Éphèse (431), sinon ils y auraient trouvés l’écho des paroles transcrites par Maria Valtorta. Auraient-ils oser dire que ce concile fondamental s’adonnait à l’hermétique et au confus ?

6 - L'article signale pour finir "une autre affirmation étrange et imprécise, dans laquelle on dit de la Madone : Toi, pendant le temps que tu resteras sur Terre, tu seconderas Pierre "comme hiérarchie ecclésiastique".

Ce salmigondis devient plus clair quand on se réfère à la citation exacte
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm(mais ont-ils lu vraiment l’œuvre comme l’avait fait Pie XII ?): Jésus évoque avec sa Mère la séparation qui approche et lui confie l’Église naissante :
"[…] Toi, pendant le temps que tu resteras sur la terre, venant après Pierre dans la hiérarchie ecclésiastique, lui Chef et toi fidèle, mais la première avant tous comme Mère de l'Église puisque tu m'as enfanté Moi, Chef de ce Corps mystique."

L’explication de Maria Valtorta est limpide. Le lecteur se reportera à ce que dit le Catéchisme de l'Église catholique
(§ 963 et suivants) sur Marie, Mère de l'Église et jugera d’où vient l’étrangeté et l’imprécision.

Ne trouvant rien de consistant à opposer sur le plan théologique, à part des "si" et des "mais" persifleurs, les censeurs lancent une pique sur le plan exégétique :
"Les spécialistes des études bibliques y trouveront certainement beaucoup d’erreurs historiques, géographiques et autres".

Lesquelles ? On ne sait pas. Mais là encore, c’est tout le contraire qui se produit : que ce soit le cardinal Bea alors recteur de l'Institut Biblique Pontifical, ou le bienheureux Allegra, cofondateur de l’École Biblique franciscaine de Hong-Kong, ou le Père François-Paul Dreyfus de l’École biblique et archéologique française de Jérusalem, tous confirment l’étonnante exactitude des données archéologiques, géographiques, historiques, etc. des écrits de Maria Valtorta.

Ne trouvant pas de faille dans "
un si grand étalage de connaissances théologiques" et ayant probablement survolé l’œuvre de Maria Valtorta, les censeurs crurent à une écriture en sous-main des théologiens qui défendaient l’œuvre de Maria Valtorta. Pensant les démasquer ils pointent, malgré eux, la haute valeur théologique de l’œuvre. On reste pantois devant ce qu’ils reconnaissent malgrè eux :

"Jésus est loquace à l’extrême, en véritable publicitaire, toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu et à faire des exposés de théologie dans les termes mêmes qu’emploierait un professeur de nos jours. Dans le récit des Évangiles nous admirons l'humilité et le silence de la Mère de Jésus ; par contre pour l'auteur (ou l'auteure) de cette œuvre la très sainte Vierge a la faconde d’une propagandiste moderne ; elle est présente partout, toujours prête à donner des leçons d’une théologie mariale mise à jour selon les plus récentes études des spécialistes actuels en la matière".

Voilà l’humble Maria Valtorta, hissée à l’égal des professeurs de théologie romains ou à la pointe des études mariologiques. Cette reconnaissance venant de personnes qu’on ne peut soupçonner de complaisance, vaut un brevet d’authenticité : QUI peut en effet être le théologien des théologiens et générer 4 000 pages de textes en faisant preuve d’un "si grand étalage de connaissances théologiques" sans que des censeurs zélés puissent y trouver une erreur théologique patente ? Il n’y en a qu’un seul et les visions de Maria Valtorta rapportent sa vie sur terre.

D’ailleurs, quand la seconde édition paraît,
l’Osservatore romano du vendredi 1er décembre 1961, se contente d’un entrefilet laconique rappelant la précédente condamnation "pour défaut d’imprimatur" et spécifie que l’œuvre "n’a aucune valeur scientifique". Fini le procès en hérésie ! Les études que nous avons citées, comme les plus récentes sorties sur le sujet, démontrent, là aussi, leur erreur de jugement.

L’irrévérence institutionnelle des censeurs.
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Nous ne sommes pas au bout des surprises en lisant l’article de 1960 commentant la mise à l’Index. Il confirme explicitement le soutien apporté par des "personnalités illustres" à l'œuvre de Maria Valtorta. Les censeurs les connaissaient donc et l’avis personnel du pape Pie XII était connu

Ils écrivent :


"[…] malgré les personnalités illustres (dont l'incontestable bonne foi a été surprise) qui ont apporté leur appui à la publication, le Saint-Office a cru nécessaire de la mettre dans l'Index des Livres prohibés. Les motifs sont évidents pour qui aura une patience de Chartreux, de lire ces presque quatre mille pages."

On admire, au passage, l’ironie qui invite à se convaincre en lisant une œuvre qu’on interdit de lire
😀 et le mépris contenu dans l’accusation de naïveté portée à l’encontre de personnalités de la Curie, parmi lesquelles trois recteurs d’universités pontificales et un préfet de congrégation pour la cause des saints.

Cette accusation de naïveté s’étendait-elle au pape défunt ? On voudrait se convaincre que non.

Jean XXIII, sous l’autorité duquel est prononcée l’interdiction, n’aurait jamais contredit son prédécesseur s’il avait été informé du dossier. On dut sans doute ne lui présenter que l’indiscipline et il avait en tête d’autres préoccupations avec le concile qui s’annonçait.

Cette irrévérence explique sans doute que par la suite, le
Père Berti,promoteur principal de l’œuvre, fut reçu au Saint-Office dans de meilleures conditions par une autre commissaire, le Père Marco Giraudo qui après s’être enquis de l’encouragement de Pie XII et du soutien des personnalités "illustres" de la Curie, pris contact avec sa hiérarchie et accorda un imprimatur verbal pour la publication de l’œuvre qui ne fut plus inquiétée désormais. L’accord fut diplomatiquement verbal car la contradiction publique n’est pas de mise à la Curie. Cependant cette ouverture arriva trop tard pour Maria Valtorta, morte peu avant, crucifiée par le poids d’une condamnation infâmante.
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apvs
Les circonstances de la mise à l’Index.
Le 6 janvier 1960, (voir l'historique) l'Osservatore Romano, organe officiel du Vatican, publie un article commentant le décret, en date du 16 décembre 1959, de la mise à l'Index des livres prohibés de la vie de Jésus de Maria Valtorta.
L’article n’est pas signé, comme c’est l’usage, mais nous le pensons rédigé par le Père Girolamo Berruti, un dominicain.
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Les circonstances de la mise à l’Index.

Le 6 janvier 1960, (voir l'historique) l'Osservatore Romano, organe officiel du Vatican, publie un article commentant le décret, en date du 16 décembre 1959, de la mise à l'Index des livres prohibés de la vie de Jésus de Maria Valtorta.

L’article n’est pas signé, comme c’est l’usage, mais nous le pensons rédigé par le Père Girolamo Berruti, un dominicain.


Cela faisait suite à deux évènements :

d’une part l’encouragement explicite du Pape Pie XII à la publication de cette vie de Jésus (audience du 26 février 1948), Termes attestés sous serment par trois des témoins.

"Publiez l’œuvre telle qu’elle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront comprendront".

et d’autre part la censure décidée parallèlement, et en sous-main, par deux commissaires du Saint-Office en 1949. Si les évènements sont relatés par le Père Berti, théologien et soutien de Maria Valtorta, on ne trouve aucune trace écrite d’une quelconque condamnation :

- Ni dans les
Actes du Saint Siège .
- Ni dans un quelconque écrit officiel. Sauf une allusion non datée à une semonce non relatée.

Ce qui explique la mise à l’Index fut prononcée dix ans plus tard sans avertissement préalable requis par le code de procédure. Les censeurs estimaient l’avoir déjà fait. Malheureusement, là non plus, il n’existe aucune lettre écrite à l’éditeur ou à l’auteure comme il est requis.

Cet amateurisme et cette cacophonie surprennent, mais Mgr Giovanni Pepe, l’un des deux commissaires à l’origine de cette censure, semble coutumier du fait : il fut demis de ses fonctions en août 1952 à la demande de Pie XII : il avait publié une mise à l’Index de livres parlant du Padre Pio sans l’aval du Pape qui ne le souhaitait pas
[1].

Nous avons d’ailleurs de fortes raisons de penser que ceux qui mirent à l’Index la vie de Jésus de Maria Valtorta, sont les mêmes qui "persécutèrent" le Padre Pio selon le mot de Luigi Peroni, un de ses biographes
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm.

La vie de Jésus de Maria Valtorta fut une des
dernières œuvres à être mise à l’Index avant la suppression définitive, en 1966, de ce catalogue quatre fois séculaire. Elle ne fut suivie que par La vie de Jésus de Jean Steinmannwww.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htmpuis par l’ensemble des œuvres de Pierre Teilhard de Chardinwww.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm.

Bien que l’encouragement du Pape fut connu des censeurs, l’ouvrage de Maria Valtorta fut censurée au titre de
l’article 1385, paragraphe 1, § 2du Code de droit canonique de 1917, en vigueur au temps de Maria Valtorta. Il stipulait qu’aucun livre touchant à un sujet religieux ne peut être édité sans imprimatur. Hors c’était le cas de la vie de Jésus de Maria Valtorta qui ne pouvait fournir une attestation écrite dans ce sens.

Il s’agit d’une condamnation disciplinaire et non doctrinale. Les condamnations doctrinales sont régies par un autre article du code : le § 1399. On imagine mal d’ailleurs que des souverains Pontifes, des cardinaux, des théologiens et des biblistes
aient pu soutenir une œuvre contraire à la foi, voire même futile ou nocive. Cela est du simple bon sens.

La censure intervient en décembre 1959 : plus de trois ans après la publication du premier tome (juin 1956). Il faut dire qu’entre-temps le Pape Pie XII, qui avait encouragé la publication, était mort : ceci explique cela.


Les aspects juridiques invalidant désormais la mise à l’Index.

www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm

La censure de la vie de Jésus de Maria Valtorta est aujourd’hui périmée pour trois raisons :

- Elle est invalide dès lors que le Pape, qui exerce l’autorité suprême en matière de révélations
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm, avait publiquement et explicitement encouragé la publication, comme l’analyse www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta14.htm, spécialiste de ce sujet.

- Elle est obsolète dès lors que l’Index a été
aboli en droit et en conséquences en 1966.

- Elle est sans objet dès lors que l’imprimatur qui avait motivée la censure n’est plus requis depuis 1975
www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta08.htm pour ce type de livre.

Seuls demeurent, comme critère de jugement, l’avertissement moral et la conscience mature des fidèles, tels que stipulés dans le décret de supression :


"après avoir interrogé le Saint Père, (le Saint-Office) a annoncé que l'Index reste moralement engageant, en tant qu'avertissement à la conscience des chrétiens de se garder, […] des écrits de ceux qui peuvent mettre en danger la foi et la morale, mais en même temps, avertissant qu'il n'a plus force de loi ecclésiastique avec la censure qui y est liée. Ainsi, l'Église est confiante dans la conscience mature des fidèles."

Nul ne peut imaginer, sauf quelques articles pratiquant l’approximation, que l’œuvre de Maria Valtorta, qui fut la nourriture des papes et des saints, présente un danger pour la foi et la morale.

Quant à la liberté de choix, elle correspond tout à fait à l’avis de Pie XII encourageant la publication de l’œuvre.
apvs
La Résurrection selon Maria Valtorta
Cher @olivierjean, vous avez oublié de parler de tous ces sales éditeurs qui s'enrichissent en publiant et vendant la Bible, ayant repéré le filon juteux, et espérant que les prêtres seront de bons publicitaires auprès des fidèles, pour multiplier leur gain ! 🤦 😊 😲 🤐 🙄
Bla bla bla bla (....) Toute cette action de marketing pourrait être louable, tout …More
La Résurrection selon Maria Valtorta

Cher @olivierjean, vous avez oublié de parler de tous ces sales éditeurs qui s'enrichissent en publiant et vendant la Bible, ayant repéré le filon juteux, et espérant que les prêtres seront de bons publicitaires auprès des fidèles, pour multiplier leur gain ! 🤦 😊 😲 🤐 🙄

Bla bla bla bla (....) Toute cette action de marketing pourrait être louable, tout cet effort serait admirable s’il s’agissait de messages dont l’Église avait reconnu le caractère surnaturel. Or, pour l’Église, les écrits de Maria Valtorta ne sont qu’une «vie de Jésus mal romancée».

VS :

" pour écrire une seule partie de l'œuvre (de Maria Valtorta), il faudrait être un Auteur (qui n’existe pas aujourd’hui) tout à la fois grand poète, bibliste talentueux, théologien confirmé, expert en archéologie et en topographie, et profond connaisseur de la psychologie humaine"
Mgr Maurizio Raffa (1906-1957)

Directeur du Centro internazionale di comparazione e sintesi.

Juste parmi les nations.


" J'AI JUSQU'A DIRE : QUE SI LE JESUS DE MARIA VALTORTA N'EST PAS LE VRAI JESUS,
ALORS MOI, GUY PAGES, JE NE CONNAIS PAS JESUS ! "


Abbé Guy Pagès
olivierjean
[Yves Chiron - Aletheia] Le lobby valtortiste
Maria Valtorta [1897-1961] est une mystique italienne dont les très abondants écrits (plus de 15 000 pages manuscrites) sont tenus par certains comme «révélés». Elle aurait notamment reçu la révélation d’une Vie de Jésus.
L’édition de ces écrits, à l’initiative des éditions Pisani, a commencé en 1956, sans nom d’auteur et sous le titre anodin : …More
[Yves Chiron - Aletheia] Le lobby valtortiste

Maria Valtorta [1897-1961] est une mystique italienne dont les très abondants écrits (plus de 15 000 pages manuscrites) sont tenus par certains comme «révélés». Elle aurait notamment reçu la révélation d’une Vie de Jésus.

L’édition de ces écrits, à l’initiative des éditions Pisani, a commencé en 1956, sans nom d’auteur et sous le titre anodin : Il poema di Gesu pour le premier volume, puis sous le titre Il poema dell’Umo-Dio pour les suivants. Les quatre premiers volumes ont été mis à l’Index librorum prohibitorum (Index des livres interdits) par décret du Saint-Office en date du 5 janvier 1960 1.

Ne tenant aucun compte de cette condamnation, le même éditeur a poursuivi l’édition italienne, qui compta dix volumes, et a engagé des traductions en diverses langues. La première traduction étant celle en espagnol publiée à partir de 1976
.
La traduction française, en dix volumes, est parue à partir de 1979 sous un titre sensationnaliste : L’Évangile tel qui m’a été révélé. Le titre français, théologiquement inacceptable, sera repris désormais pour les autres traductions et pour la nouvelle édition italienne.

L’édition des écrits de Maria Valtorta est devenue une véritable entreprise commerciale, l’éditeur Pisani assurant aussi la diffusion des livres dans les différents pays. En quelque soixante ans, quatre millions d’exemplaires de l’ouvrage auraient été vendus, en différentes langues.

Cet éditeur a décidé de faire réaliser une nouvelle traduction en français des écrits de Maria Valtorta. Il l’a confiée à Yves d’Horrer. Le premier volume de cette nouvelle traduction est paru en décembre 2016, les neuf autres ont suivi ou suivront.

Pour vendre cette nouvelle édition de fausses révélations, l’éditeur Pisani a engagé de grands moyens financiers et il a développé une stratégie marketing qui s’avère très efficace. Aujourd’hui c’est un véritable lobby qui œuvre non seulement auprès des médias, mais aussi dans l’Église, pour faire connaître les écrits de Maria Valtorta.

Je ne relève que les principales étapes de cette action de propagande valtortiste :

• Une conférence de presse attaché de presse et de chargé de la communication pour de nouvelle édition française.
Entrée était gratuite. Le but était de faire connaître les écrits de Maria Valtorta et de les vendre. Outre la nouvelle traduction française de L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, sont vendus une multitude de produits ”valtortistes“. Sont en cours de parution une édition adaptée et illustrée pour les enfants et une autre édition «simplifiée» (en 20 volumes!) «avec les dialogues authentiques, sans les longues descriptions ni les longs discours» (sic). Est en préparation encore une édition en bandes dessinées.

• L’association espère bien sûr que ces prêtres, devenus fervents admirateurs de Maria Valtorta, seront les meilleurs ambassadeurs de ses livres auprès de leurs fidèles.

Toute cette action de marketing pourrait être louable, tout cet effort serait admirable s’il s’agissait de messages dont l’Église avait reconnu le caractère surnaturel. Or, pour l’Église, les écrits de Maria Valtorta ne sont qu’une «vie de Jésus mal romancée».

C’est le titre de l’article qui est paru dans L’Osservatore romano, le 6 janvier 1960, le jour-même où est paru le décret de mise à l’Index déjà mentionné. Le journal du Vatican estimait que «le lecteur qui lira attentivement ces volumes n’y découvrira rien d’autre qu’une longue et prolixe vie romancée de Jésus. [...] Avant tout, le lecteur sera frappé de l’étendue des discours attribués à Jésus et à la Très Sainte Vierge, des interminables dialogues entre les nombreux personnages qui pullulent dans ce livre.2» L’auteur relevait aussi «quelques pages plutôt scabreuses» qui «font penser à des descriptions et des scènes de romans modernes». Il signalait également «quelques perles qui ne brillent certainement pas par l’orthodoxie catholique».

À une date plus récente, le 9 septembre 1988, le cardinal Ratzinger, alors préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, interrogé par une fidèle canadienne, faisait répondre par son secrétaire privé, Mgr Clemens, que la grande œuvre de Maria Valtorta est «un ensemble de fantaisies enfantines, d’erreurs historiques et exégétiques, le tout présenté dans un contexte subtilement sensuel»

On signalera aussi que l’abbé Gérard Herrbach, de la Fraternité Saint-Pie X, avait donné une longue analyse critique des écrits de Maria Valtorta dans Des visions sur l’Évangile (Éditions du Communicantes, Québec, 1993, p. 84-156). L’ouvrage a été réédité par les éditions Fideliter en 1993.

Yves Chiron
olivierjean
AVIS MARIA VALTORTA
La condamnation :
Sept fois au minimun des ecrit de Maria Valtorta par la Sainte Eglise Catholique Romaine !!!
L'Église catholique n'est jamais revenue sur cette condamnation,
Prononcée au minimum sept fois : en 1949, 1959, 1960, 1961, 1985 et deux fois en 1993. L'ouvrage a été d'emblée interdit de publication en 1949 par la Congrégation pour la doctrine de la foi.
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AVIS MARIA VALTORTA
La condamnation :
Sept fois au minimun des ecrit de Maria Valtorta par la Sainte Eglise Catholique Romaine !!!
L'Église catholique n'est jamais revenue sur cette condamnation,

Prononcée au minimum sept fois : en 1949, 1959, 1960, 1961, 1985 et deux fois en 1993. L'ouvrage a été d'emblée interdit de publication en 1949 par la Congrégation pour la doctrine de la foi.
Publié malgré cette interdiction en 1956-1959, il a été mis à l'Index par le Vatican le 16 décembre 1959. L'Osservatore Romano, journal officiel du Vatican, commente l'événement dans un article du 6 janvier 1960. En dépit de cette mise à l'Index, une seconde édition voit alors le jour. De nouveau, L'Osservatore Romano répète les termes de la condamnation, dans un article du 1er décembre 1961.
Malgré l'abolition de l'Index en 1966, le cardinal Ratzinger, futur pape Benoît XVI, confirme en 1985 qu'il n'est « pas opportun » de diffuser ou de recommander l'ouvrage de Maria Valtorta, en raison des « dommages qu'une telle publication peut causer aux fidèles les plus naïfs ».
En 1993, à l'initiative du cardinal Ratzinger et de la Congrégation pour la doctrine de la foi, la Conférence des évêques italiens demande à l'éditeur de Maria Valtorta de publier un démenti à l'intérieur des volumes « qui indique clairement, dès la toute première page, que les « visions » et les « dictées » auxquelles il est fait allusion sont simplement des formes littéraires utilisées par l'auteur pour raconter la vie de Jésus à sa manière.
« Elles ne peuvent être considérées comme étant d'origine surnaturelle »fr.wikipedia.org/wiki/Maria_Valtorta
satholique la Sainte Eglise Romaine ia
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olivierjean
«Cette condamnation publique de l’œuvre par la Suprême Sacrée Congrégation est donc d’autant plus opportune, qu’il s’agit de désobéissance grave».
olivierjean
Prato N° 324/92 Rome, le 6 mai 1992 Très cher Éditeur,
Aux demandes, qui parviennent souvent à notre Secrétariat, de connaître l'opinion de l'Autorité Ecclésiastique sur les écrits de Maria Valtorta, actuellement publiés par le "Centro Editoriale Valtortiano", je réponds en faisant référence aux commentaires publiés par L'Osservatore Romano, du 6 janvier 1960 et du 15 Juin 1966.[ii]
Mais pour …
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Prato N° 324/92 Rome, le 6 mai 1992 Très cher Éditeur,
Aux demandes, qui parviennent souvent à notre Secrétariat, de connaître l'opinion de l'Autorité Ecclésiastique sur les écrits de Maria Valtorta, actuellement publiés par le "Centro Editoriale Valtortiano", je réponds en faisant référence aux commentaires publiés par L'Osservatore Romano, du 6 janvier 1960 et du 15 Juin 1966.[ii]

Mais pour le vrai bien des lecteurs et dans l'esprit d'un véritable service de la foi de l'Église, je vous demande, qu'à l'occasion d'une éventuelle réimpression des volumes, il soit clairement dit, dans les premières pages, que les "visions" et "dictées" qu'ils relatent ne peuvent pas être considérées comme d'origine surnaturelle, mais doivent être considérées simplement comme les formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus.

Je vous remercie de votre collaboration.

Je tiens à vous témoigner de mon estime et vous prie de croire en mes respectueuses et cordiales salutations.

+ Dionigi Tettamanzi
Secrétaire général
apvs
@olivierjean a écrit :
"La Bienheureuse Anna Katharina Emmerick, a crié 'la passion douloureuse de Notre Seigneur Jésus Christ' et elle l'a vécue dans son corps."
Or, quelle genre de mission a donc reçu Catherine Emmerich pour le monde ? LA MÊME QUE PLUS TARD, MARIA VALTORTA DE LA PART DU CHRIST ! LA MÊME !
J'en conclue que vous, olivierjean, DESAPPROUVEZ VOTRE PROPRE OPINION,
A SAVOIR QU'ON NE …
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@olivierjean a écrit :

"La Bienheureuse Anna Katharina Emmerick, a crié 'la passion douloureuse de Notre Seigneur Jésus Christ' et elle l'a vécue dans son corps."
Or, quelle genre de mission a donc reçu Catherine Emmerich pour le monde ? LA MÊME QUE PLUS TARD, MARIA VALTORTA DE LA PART DU CHRIST ! LA MÊME !

J'en conclue que vous, olivierjean, DESAPPROUVEZ VOTRE PROPRE OPINION,

A SAVOIR QU'ON NE PEUT FAIRE DE LA PUBLICITE POUR L'AUTEUR D'UNE VIE DE NOTRE SEIGNEUR, REVELEE A LUI PAR LE CIEL

( DONC AUGMENTEE PAR RAPPORT AUX 4 EVANGILES, AUTREMENT VOUS COMPRENDREZ QUE JE PEUX MOI-AUSSI PUBLIER UN LIVRE CONTENANT LES 4 EVANGILES ET LES SIGNER DE MON NOM, EN DISANT QUE C'EST A MOI QUE CES 4 EVANGILES ONT ETE REVELES, CE SERAIT RIDICULE )
QU'EN DETOURNANT PAR LA-MÊME LES FIDELES DES 4 VERITABLES EVANGILE CANONIQUES, LES SEULS !!! QUI NOUS REVELENT LA VERITE DU CHRIST DANS SA DIVINITE ET SON INCARNATION, LES SEULS !!! QUI NOUS PRESENTENT MARIE SA MERE TELLE QU'ELLE A ETE DANS SA REALITE : SIMPLE, HUMBLE, CACHEE, LAISSANT JESUS PARTIR AVEC SON PROPRE ENTOURAGE SUR LES ROUTES DE SA PREDICATION.

Faute du moindre argument vrai, vous vous en prenez ensuite à la prétendue "sur-érudition" qui caractériserait les écrits de MV, alors que précisément, ces écrits sont avant tout accessibles à ceux qui n'en ont pas encore beaucoup, notamment les plus petits d'entre nous, j'entends par là les enfants, qui sont les plus grands aux yeux du Seigneur, l'oubliez-vous ? Certes, ils ne comprendront pas dans toute leur profondeur les développements théologiques qui y sont présents, mais quelle différence avec ce qu'ils peuvent comprendre des Paroles de l'Evangile selon saint Jean ? Est-ce que ce sont les enfants qui enseignent dans les chaires d'université de théologie, ou bien les adultes ?
Par contre, les enfants comprendront infiniment plus que vous et recevront infiniment plus que vous tout l'amour qui se trouve dans ses pages d'une simplicité, d'une saveur, d'une beauté, d'une sainteté inouïe ! C'est une honte de dire le contraire, c'est une HONTE ! Et cette honte est la vôtre, à mon très grand regret. TANT DE PRÊTRES AURAIENT BESOIN DE CE SOUTIENT INEGALABLE, PLEIN D'ONCTION SPIRITUELLE, POUR PERSEVERER DANS LA SAINTETE DE LEUR MINISTERE, ET DES GENS COMME VOUS LES EN EMPÊCHE. JE N'AI ABSOLUMENT PAS PEUR DE VOUS LE REPETER EN FACE : HONTE A VOUS ! ET HONTE A MOI SI JE NE VOUS LE DISAIS PAS AUJOURD'HUI.

Monsieur, une fois n'est pas coutume : " l'excellentissime wikipedia " vous aura complètement induit en erreur invincible, car je ne prétends pas vous faire changer d'avis, vu votre rage morbide qui vous fait vous attaquer à l'oeuvre de Dieu, jusqu'à produire 66 coms en 2 heures, comme autant d'obus à Verdun. Qu'est-ce que vous croyez ? Que votre tapis d'obus va anéantir les Révélations du Seigneur ? Que grâce à lui vous allez faire reculer Notre Seigneur Jésus-Christ ?
🤦 🤐 ✍️
apvs
@olivierjean
Permettez-moi de douter de votre présente assertion que rien ne vient étayer :
"Contrairement à ce que prétend une intervenante de cette vidéo, j'ai un goût immodéré des Evangiles, de la personne du Christ dans sa vérité, et c'est précisément la raison pour laquelle les écrits de Maria Valtorta me révulsent dans leur fausseté."
" j'ai un goût immodéré des Evangiles, de la personne …More
@olivierjean
Permettez-moi de douter de votre présente assertion que rien ne vient étayer :
"Contrairement à ce que prétend une intervenante de cette vidéo, j'ai un goût immodéré des Evangiles, de la personne du Christ dans sa vérité, et c'est précisément la raison pour laquelle les écrits de Maria Valtorta me révulsent dans leur fausseté."

" j'ai un goût immodéré des Evangiles, de la personne du Christ dans sa vérité,
C'est par contre bien le cas de notre cher et courageux abbé Guy Pagès
et c'est précisément la raison pour laquelle les écrits de Maria Valtorta me révulsent dans leur fausseté.

Et c'est précisément par contre la raison qui lui fait dire dans son touchant témoignage : ( INCROYABLE ! SANS AVOIR BESOIN DE CHERCHER, JE VIENS DE TOMBER DESSUS A LA SECONDE PRES TOUT A FAIT PAR HASARD :))) et c'est donc minute 17' 30'' : Le témoignage de l'abbé Guy Pagès au sujet de Maria Valtorta

" J'AI JUSQU'A DIRE :

QUE SI LE JESUS DE MARIA VALTORTA N'EST PAS LE VRAI JESUS,

ALORS MOI, GUY PAGES,

JE NE CONNAIS PAS JESUS ! "


Oui, mais...........
Notre cher abbé Pagès, lui, n'a pas du caca dans les yeux, pardon de l'expression ! Ceci explique cela.
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apvs
Mgr Maurizio Raffa (1906-1957)
Directeur du Centro internazionale di comparazione e sintesi.
Juste parmi les nations.
Haut de page.

En 1948, il est nommé par Pie XII membre de la Conseil pontifical pour les communications sociales.Il était alors chargé d’affaires de la Sacrée Congrégation du Concile, devenue par la suite la Congrégation pour le clergé. Le 25 janvier 1952, au moment où il …More
Mgr Maurizio Raffa (1906-1957)

Directeur du Centro internazionale di comparazione e sintesi.
Juste parmi les nations.
Haut de page.


En 1948, il est nommé par Pie XII membre de la Conseil pontifical pour les communications sociales.Il était alors chargé d’affaires de la Sacrée Congrégation du Concile, devenue par la suite la Congrégation pour le clergé. Le 25 janvier 1952, au moment où il joint son attestation aux autres «personnages illustres» qui soutiennent Maria Valtorta, il est Directeur du centre romain de comparaison et de synthèse, un organisme de recherche scientifique qu’il avait fondé en 1940 comme la revue Reponsabilità delSapere en 1947. Il atteste que :

pour écrire une seule partie de l'œuvre (de Maria Valtorta), il faudrait être un Auteur (qui n’existe pas aujourd’hui) tout à la fois grand poète, bibliste talentueux, théologien confirmé, expert en archéologie et en topographie, et profond connaisseur de la psychologie humainewww.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta14.htm.

Le 22 juin 2009, il est retenu au titre des
justes parmi les nations. La cérémonie a lieu en novembre à San Giovanni Battista dei Genovesi de Rome qu’il fréquentait.
olivierjean
Pourquoi faire de la propagande pour Maria Valtorta ?
Pour mieux détourner les chrétiens des Evangiles canoniques, les seuls qui nous révèlent la vérité du Christ dans sa Divinité et son Incarnation, les seuls qui nous présentent Marie sa mère telle qu'elle a été dans sa réalité : simple, humble, cachée, laissant Jésus partir avec son propre entourage sur les routes de sa prédication.
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Pourquoi faire de la propagande pour Maria Valtorta ?
Pour mieux détourner les chrétiens des Evangiles canoniques, les seuls qui nous révèlent la vérité du Christ dans sa Divinité et son Incarnation, les seuls qui nous présentent Marie sa mère telle qu'elle a été dans sa réalité : simple, humble, cachée, laissant Jésus partir avec son propre entourage sur les routes de sa prédication.
Contrairement à ce que prétend une intervenante de cette vidéo, j'ai un goût immodéré des Evangiles, de la personne du Christ dans sa vérité, et c'est précisément la raison pour laquelle les écrits de Maria Valtorta me révulsent dans leur fausseté.
Quant à la pertinence de certains détails historiques, l'explication peut en être très simple : les âmes inspirées par les esprits faux - il y a quantité de faux docteurs dans le shéol - paraissent plus érudites que la moyenne, l'érudition n'ayant jamais été une preuve de véracité dans la foi... Le Christ Jésus n'a pas cessé de dénoncer dans sa vie "les sages et les intelligents" qui cherchent à mener les âmes à leur perte. Maria Valtorta est certainement plus victime que coupable : le grand drame de sa vie et de son "œuvre" c'est qu'elle ait été crue par des esprits faibles et inconsciemment - ou pire, consciemment - mal intentionnés...
olivierjean
«Cette condamnation publique de l’œuvre par la Suprême Sacrée Congrégation est donc d’autant plus opportune, qu’il s’agit de désobéissance grave».
4 more comments from olivierjean
olivierjean
LE PADRE PIO N'A JAMAIS RECOMMANDER DE LIRE MARIA-VALTORTA.
c'est facile de faire référence au saint padre pour faire valider maria valtorta
(Padre Pio a toujours aime l’église et l’Obéissance à Rome signe tangible de L'esprit Saint).
olivierjean
Interdit de publication, en date du 6 janvier 1960 : « Il y a environ dix ans,
[donc environ 10 ans avant 1960] il circulait d'épaisses pages dactylographiées qui contenaient des prétendues visions et révélations. À ce moment-là l'Autorité Ecclésiastique compétente avait prohibé l'impression de ces pages dactylographiées et avait commandé qu'elles fussent retirées de la circulation. »
olivierjean
Toute cette action de marketing pourrait être louable, tout cet effort serait admirable s’il s’agissait de messages dont l’Église avait reconnu le caractère surnaturel. Or, pour l’Église, les écrits de Maria Valtorta ne sont qu’une «vie de Jésus mal romancée».
olivierjean
Conférence Épiscopale italienne
Prato N° 324/92
Rome, le 6 mai 1992
Très cher Éditeur,
Aux demandes, qui parviennent souvent à notre Secrétariat, de connaître l'opinion de l'Autorité Ecclésiastique sur les écrits de Maria Valtorta, actuellement publiés par le "Centro Editoriale Valtortiano", je réponds en faisant référence aux commentaires publiés par L'Osservatore Romano, du 6 janvier 1960 …More
Conférence Épiscopale italienne

Prato N° 324/92

Rome, le 6 mai 1992

Très cher Éditeur,

Aux demandes, qui parviennent souvent à notre Secrétariat, de connaître l'opinion de l'Autorité Ecclésiastique sur les écrits de Maria Valtorta, actuellement publiés par le "Centro Editoriale Valtortiano", je réponds en faisant référence aux commentaires publiés par L'Osservatore Romano, du 6 janvier 1960 et du 15 Juin 1966.[ii]

Mais pour le vrai bien des lecteurs et dans l'esprit d'un véritable service de la foi de l'Église, je vous demande, qu'à l'occasion d'une éventuelle réimpression des volumes, il soit clairement dit, dans les premières pages, que les "visions" et "dictées" qu'ils relatent ne peuvent pas être considérées comme d'origine surnaturelle, mais doivent être considérées simplement comme les formes littéraires dont s'est servi l'auteure pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus.

Je vous remercie de votre collaboration.

Je tiens à vous témoigner de mon estime et vous prie de croire en mes respectueuses et cordiales salutations.

+ Dionigi Tettamanzi
Secrétaire général