Série ISLAM - Avons-nous le même Dieu, Jésus-Christ mis à part ? Le Coran dit que chrétiens et musulmans ont le même Dieu (2.139 ; 29.46), cependant, les chrétiens adorent l'Homme Jésus-Christ comme …More
Série ISLAM - Avons-nous le même Dieu, Jésus-Christ mis à part ?
Le Coran dit que chrétiens et musulmans ont le même Dieu (2.139 ; 29.46), cependant, les chrétiens adorent l'Homme Jésus-Christ comme étant le seul et vrai Dieu, ce que ne font pas les musulmans... Comment le Coran peut-il donc dire que nous avons le même Dieu ?
Le Coran dit que chrétiens et musulmans ont le même Dieu (2.139 ; 29.46), cependant, les chrétiens adorent l'Homme Jésus-Christ comme étant le seul et vrai Dieu, ce que ne font pas les musulmans... Comment le Coran peut-il donc dire que nous avons le même Dieu ?
islametverite
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@Kénose 
Je vous ai déjà demandé, cordialement, de cesser de vous adresser à moi, ce à quoi vous avez répondu insolemment, que "vous feriez ce que vous voulez" (ce que vous faites en effet sur ce site sans qu'aucune limite ne vous soit jamais imposée), alors souffrez que je fasse, moi aussi, ce que je veux sur mes contributions d'où vous serez systématiquement exclu , vous et vos grands …More
@Kénose
Je vous ai déjà demandé, cordialement, de cesser de vous adresser à moi, ce à quoi vous avez répondu insolemment, que "vous feriez ce que vous voulez" (ce que vous faites en effet sur ce site sans qu'aucune limite ne vous soit jamais imposée), alors souffrez que je fasse, moi aussi, ce que je veux sur mes contributions d'où vous serez systématiquement exclu , vous et vos grands blablas colorés.
Je vous ai déjà demandé, cordialement, de cesser de vous adresser à moi, ce à quoi vous avez répondu insolemment, que "vous feriez ce que vous voulez" (ce que vous faites en effet sur ce site sans qu'aucune limite ne vous soit jamais imposée), alors souffrez que je fasse, moi aussi, ce que je veux sur mes contributions d'où vous serez systématiquement exclu , vous et vos grands blablas colorés.
perceval2507
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En plus de la conversion de nos frères, c'est aussi pour la défense de l'église,de son Epoux,à l'affût des "faux" prophètes, que nous travaillons et prions... Voir vidéo :"Une vision du Padre Pio"... signé : 
!!!
islametverite
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En revanche, le dialogue inter-religieux doit TOUJOURS viser la conversion ! Il est juste aberrant, que l'on puisse trouver dans les propos des responsables religieux ce genre de phrase :
« Le dialogue interreligieux ne vise pas la conversion, mais plutôt à se regarder, s’écouter, voir ce que nous avons en commun au service de la société, de la paix, de la cohésion sociale. » (Cardinal Tauran)…More
En revanche, le dialogue inter-religieux doit TOUJOURS viser la conversion ! Il est juste aberrant, que l'on puisse trouver dans les propos des responsables religieux ce genre de phrase :
« Le dialogue interreligieux ne vise pas la conversion, mais plutôt à se regarder, s’écouter, voir ce que nous avons en commun au service de la société, de la paix, de la cohésion sociale. » (Cardinal Tauran)
S'il ne vise pas la conversion, que vise t-il ?
Si l'on ne recherche pas la conversion de nos frères dans l'erreur, ne devenons-nous pas les artisans complices leur sort éternel ?!
Où est l'esprit missionnaire ?
Où est la prédication de la Croix ?
Où est L'AMOUR du prochain ?
Si nous ne cherchons pas, n'espérons pas, ne travaillons pas, ne prions pas pour la conversion des musulmans, alors que nous serions officiellement désignés pour le faire ( et nous le sommes tous !!! quoi qu'en disent certains), que sommes-nous aux yeux de Notre Seigneur sinon des sépulcres blanchis ou des tièdes qu'Il vomira de Sa bouche ?
« Le dialogue interreligieux ne vise pas la conversion, mais plutôt à se regarder, s’écouter, voir ce que nous avons en commun au service de la société, de la paix, de la cohésion sociale. » (Cardinal Tauran)
S'il ne vise pas la conversion, que vise t-il ?
Où est l'esprit missionnaire ?
Où est la prédication de la Croix ?
Où est L'AMOUR du prochain ?
Si nous ne cherchons pas, n'espérons pas, ne travaillons pas, ne prions pas pour la conversion des musulmans, alors que nous serions officiellement désignés pour le faire ( et nous le sommes tous !!! quoi qu'en disent certains), que sommes-nous aux yeux de Notre Seigneur sinon des sépulcres blanchis ou des tièdes qu'Il vomira de Sa bouche ?
islametverite
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Cette affirmation contredit l’enseignement du Nouveau Testament selon lequel Jésus est le seul descendant d’Abraham (cf. Jn 8, 56 et Ga 3, 15-18) dont les chrétiens sont les fils spirituels. En outre, l’Abraham de l’islam est incomplet dans la mesure où Dieu ne conclut pas une alliance perpétuelle avec lui, Il ne lui annonce pas qu’il deviendra le père d’une multitude de nations, comme le …More
Cette affirmation contredit l’enseignement du Nouveau Testament selon lequel Jésus est le seul descendant d’Abraham (cf. Jn 8, 56 et Ga 3, 15-18) dont les chrétiens sont les fils spirituels. En outre, l’Abraham de l’islam est incomplet dans la mesure où Dieu ne conclut pas une alliance perpétuelle avec lui, Il ne lui annonce pas qu’il deviendra le père d’une multitude de nations, comme le rapporte explicitement la Bible (Gn 17, 1-8).
Pour les musulmans, le plus grand des prophètes est Mahomet, le « beau modèle » (33, 21) que Dieu a envoyé pour sceller la prophétie (33, 40 ; 61, 6) et faire prévaloir l’islam (48, 28). Lui obéir revient donc à obéir à Dieu Lui-même (4, 80). Son importance est telle que son nom a été incorporé à la profession de foi musulmane (« Il n’y a de dieu que Dieu et Mahomet est son prophète »), si bien que l’on peut qualifier l’islam de « monoprophétisme » . Cependant, le message, la personnalité et les actes de Mahomet n’autorisent pas un chrétien à voir en lui un authentique prophète, ceci pour plusieurs raisons : il s’est fait le transmetteur d’une doctrine qui combat le cœur de la foi chrétienne (Trinité, divinité du Christ, Rédemption), sa mission n’a été attestée par aucun miracle et il a vécu comme un homme pécheur. Comme l’a rappelé le concile Vatican II, « l’économie chrétienne, étant l’Alliance nouvelle et définitive, ne passera donc jamais et aucune nouvelle révélation publique n’est dès lors à attendre avant la manifestation glorieuse de notre Seigneur Jésus-Christ » (Dei Verbum, n° 4).
Pour les musulmans, le plus grand des prophètes est Mahomet, le « beau modèle » (33, 21) que Dieu a envoyé pour sceller la prophétie (33, 40 ; 61, 6) et faire prévaloir l’islam (48, 28). Lui obéir revient donc à obéir à Dieu Lui-même (4, 80). Son importance est telle que son nom a été incorporé à la profession de foi musulmane (« Il n’y a de dieu que Dieu et Mahomet est son prophète »), si bien que l’on peut qualifier l’islam de « monoprophétisme » . Cependant, le message, la personnalité et les actes de Mahomet n’autorisent pas un chrétien à voir en lui un authentique prophète, ceci pour plusieurs raisons : il s’est fait le transmetteur d’une doctrine qui combat le cœur de la foi chrétienne (Trinité, divinité du Christ, Rédemption), sa mission n’a été attestée par aucun miracle et il a vécu comme un homme pécheur. Comme l’a rappelé le concile Vatican II, « l’économie chrétienne, étant l’Alliance nouvelle et définitive, ne passera donc jamais et aucune nouvelle révélation publique n’est dès lors à attendre avant la manifestation glorieuse de notre Seigneur Jésus-Christ » (Dei Verbum, n° 4).
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2 – Islam et christianisme comme religions abrahamiques.
Vingt-deux personnages présents dans la Bible se retrouvent dans le Coran : dix-huit appartiennent à l’Ancien Testament, quatre au Nouveau. Il y a parmi eux des patriarches (Adam, Noé, Moïse, Aaron, Abraham, etc.) et des rois (David, Salomon), mais tous sont qualifiés de « prophètes » et côtoient des « prophètes » inconnus de la Bible. Au …More
2 – Islam et christianisme comme religions abrahamiques.
Vingt-deux personnages présents dans la Bible se retrouvent dans le Coran : dix-huit appartiennent à l’Ancien Testament, quatre au Nouveau. Il y a parmi eux des patriarches (Adam, Noé, Moïse, Aaron, Abraham, etc.) et des rois (David, Salomon), mais tous sont qualifiés de « prophètes » et côtoient des « prophètes » inconnus de la Bible. Au sujet des personnages bibliques, il convient de parler d’emprunts car leur histoire et leur mission sont déformées pour s’inscrire dans la perspective islamique de soumission à Dieu et non de salut de l’homme. On notera l’absence dans le Coran des grands prophètes d’Israël annonciateurs de la venue du Messie : Isaïe, Jérémie et Ezéchiel. Selon le père Jacques Jomier, « c’est une véritable relecture des événements qu’offre le Coran, relecture que les musulmans présentent comme le rétablissement d’une vérité qui aurait été défigurée ».
Parmi les personnages empruntés à la Bible, Abraham occupe une place de choix. Après Adam, il est le premier à s’être déclaré monothéiste (6, 161) et parfait musulman pour avoir accepté de sacrifier à Dieu son fils unique, lequel n’est pas nommé (37, 102-111). Selon le Coran, seul l’islam remonte à l’authentique tradition monothéisme d’Abraham, seul le musulman appartient à sa descendance. Cela ressort d’un verset consommant la rupture des musulmans avec les juifs et les chrétiens qui refusaient l’islam, événement survenu à Médine selon la tradition : « Abraham n’était ni juif ni chrétien. Il était monothéiste pur et musulman. Il n’était point du nombre des associateurs » (3, 67).
Vingt-deux personnages présents dans la Bible se retrouvent dans le Coran : dix-huit appartiennent à l’Ancien Testament, quatre au Nouveau. Il y a parmi eux des patriarches (Adam, Noé, Moïse, Aaron, Abraham, etc.) et des rois (David, Salomon), mais tous sont qualifiés de « prophètes » et côtoient des « prophètes » inconnus de la Bible. Au sujet des personnages bibliques, il convient de parler d’emprunts car leur histoire et leur mission sont déformées pour s’inscrire dans la perspective islamique de soumission à Dieu et non de salut de l’homme. On notera l’absence dans le Coran des grands prophètes d’Israël annonciateurs de la venue du Messie : Isaïe, Jérémie et Ezéchiel. Selon le père Jacques Jomier, « c’est une véritable relecture des événements qu’offre le Coran, relecture que les musulmans présentent comme le rétablissement d’une vérité qui aurait été défigurée ».
Parmi les personnages empruntés à la Bible, Abraham occupe une place de choix. Après Adam, il est le premier à s’être déclaré monothéiste (6, 161) et parfait musulman pour avoir accepté de sacrifier à Dieu son fils unique, lequel n’est pas nommé (37, 102-111). Selon le Coran, seul l’islam remonte à l’authentique tradition monothéisme d’Abraham, seul le musulman appartient à sa descendance. Cela ressort d’un verset consommant la rupture des musulmans avec les juifs et les chrétiens qui refusaient l’islam, événement survenu à Médine selon la tradition : « Abraham n’était ni juif ni chrétien. Il était monothéiste pur et musulman. Il n’était point du nombre des associateurs » (3, 67).
islametverite
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[Commentaire personnel :
Comment donc expliquer que certains courants de pensée moderniste oeuvrent avec autant de zèle à faire accepter Allah, comme étant le Dieu des chrétiens en bombardant en boucle les textes conciliaires ?
"Nous avons le même Dieu !, c'est Jean Paul II qui le dit !" proclament-ils et quiconque ici prétendrait le contraire est un "intégriste", un affreux schismatique...
La …More
[Commentaire personnel :
Comment donc expliquer que certains courants de pensée moderniste oeuvrent avec autant de zèle à faire accepter Allah, comme étant le Dieu des chrétiens en bombardant en boucle les textes conciliaires ?
"Nous avons le même Dieu !, c'est Jean Paul II qui le dit !" proclament-ils et quiconque ici prétendrait le contraire est un "intégriste", un affreux schismatique...
La ficelle est pourtant si grosse !]
Comment donc expliquer que certains courants de pensée moderniste oeuvrent avec autant de zèle à faire accepter Allah, comme étant le Dieu des chrétiens en bombardant en boucle les textes conciliaires ?
"Nous avons le même Dieu !, c'est Jean Paul II qui le dit !" proclament-ils et quiconque ici prétendrait le contraire est un "intégriste", un affreux schismatique...
La ficelle est pourtant si grosse !]
islametverite
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Si le Coran accorde une place importante à Jésus, ce n’est pas comme Sauveur. Sa Passion et sa crucifixion sont formellement niées (4, 157) et il n’est pas question de sa résurrection glorieuse. Le Jésus coranique, dont le nom arabe, Issa, contrairement au Yechoua de l’hébreu et auYasouh de l’araméen, ne signifie pas « Dieu sauve », est un simple prophète auquel Dieu a confié une …More
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Si le Coran accorde une place importante à Jésus, ce n’est pas comme Sauveur. Sa Passion et sa crucifixion sont formellement niées (4, 157) et il n’est pas question de sa résurrection glorieuse. Le Jésus coranique, dont le nom arabe, Issa, contrairement au Yechoua de l’hébreu et auYasouh de l’araméen, ne signifie pas « Dieu sauve », est un simple prophète auquel Dieu a confié une double mission : apporter l’Evangile afin de rectifier les erreurs que les juifs, déjà détenteurs d’une Ecriture divine, la Torah, y ont introduites ; annoncer la venue de Mahomet comme dernier prophète (tel serait pour les musulmans le sens véritable du nom Paraclet). Certes, Issa est né d’une mère vierge, Mariam, et il a accompli des prodiges, toujours « avec la permission de Dieu », donc pas en vertu de sa propre puissance, mais le Coran ne s’interroge pas sur les motifs de tels privilèges, tout comme il ne rapporte rien des enseignements de Jésus.
Quant à Marie, elle bénéficie d’une position enviable dans le Coran. Elle est la seule femme dont le nom soit mentionné ; elle est exaltée pour sa pureté (3, 42) et sa virginité perpétuelle est reconnue (21, 91) ; elle est donnée en exemple aux croyants (66, 11). Mais c’est une Marie incomplète : sa conception immaculée est ignorée ; Dieu n’attend pas d’elle son « Fiat » à l’annonce de la naissance d’un fils conçu sans père humain (dans l’islam, Dieu n’associe pas l’homme à son plan de salut) ; enfin, après la naissance de Jésus, elle disparaît. La dévotion dont elle est l’objet de la part d’un nombre croissant de musulmans ouvre cependant la porte à l’espérance : n’est-ce pas par elle que, tôt ou tard, les croyants de l’islam découvriront la vérité ultime relative à Jésus-Christ ?
Si le Coran accorde une place importante à Jésus, ce n’est pas comme Sauveur. Sa Passion et sa crucifixion sont formellement niées (4, 157) et il n’est pas question de sa résurrection glorieuse. Le Jésus coranique, dont le nom arabe, Issa, contrairement au Yechoua de l’hébreu et auYasouh de l’araméen, ne signifie pas « Dieu sauve », est un simple prophète auquel Dieu a confié une double mission : apporter l’Evangile afin de rectifier les erreurs que les juifs, déjà détenteurs d’une Ecriture divine, la Torah, y ont introduites ; annoncer la venue de Mahomet comme dernier prophète (tel serait pour les musulmans le sens véritable du nom Paraclet). Certes, Issa est né d’une mère vierge, Mariam, et il a accompli des prodiges, toujours « avec la permission de Dieu », donc pas en vertu de sa propre puissance, mais le Coran ne s’interroge pas sur les motifs de tels privilèges, tout comme il ne rapporte rien des enseignements de Jésus.
Quant à Marie, elle bénéficie d’une position enviable dans le Coran. Elle est la seule femme dont le nom soit mentionné ; elle est exaltée pour sa pureté (3, 42) et sa virginité perpétuelle est reconnue (21, 91) ; elle est donnée en exemple aux croyants (66, 11). Mais c’est une Marie incomplète : sa conception immaculée est ignorée ; Dieu n’attend pas d’elle son « Fiat » à l’annonce de la naissance d’un fils conçu sans père humain (dans l’islam, Dieu n’associe pas l’homme à son plan de salut) ; enfin, après la naissance de Jésus, elle disparaît. La dévotion dont elle est l’objet de la part d’un nombre croissant de musulmans ouvre cependant la porte à l’espérance : n’est-ce pas par elle que, tôt ou tard, les croyants de l’islam découvriront la vérité ultime relative à Jésus-Christ ?
islametverite
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Contrairement au Dieu des chrétiens, celui des musulmans ne se révèle pas ; Il ne dit rien de son être, ne se dévoile pas comme « Dieu Amour ». Le Coran le présente comme « inconnaissable », « inaccessible » et « impénétrable », obstruant ainsi son mystère. Les musulmans réfutent d’ailleurs l’existence de mystères. Pour eux, l’islam est la religion de la rationalité. Certes, pour les …More
Contrairement au Dieu des chrétiens, celui des musulmans ne se révèle pas ; Il ne dit rien de son être, ne se dévoile pas comme « Dieu Amour ». Le Coran le présente comme « inconnaissable », « inaccessible » et « impénétrable », obstruant ainsi son mystère. Les musulmans réfutent d’ailleurs l’existence de mystères. Pour eux, l’islam est la religion de la rationalité. Certes, pour les chrétiens, Dieu est également indicible mais Il ne leur est pas étranger car Il a voulu se faire connaître des hommes tout au long de l’histoire biblique puis par l’Incarnation de son Verbe.
La transcendance du Dieu du Coran exclue donc toute immanence. Voilà pourquoi les musulmans ne peuvent pas accepter la réalité d’un Dieu fait homme. Que Dieu ait un Fils, Jésus, est un scandale à leurs yeux. Cela signifierait qu’Il a pris une épouse. Les musulmans ignorent par ailleurs la paternité divine car ils n’envisagent la fécondité que comme une réalité biologique et non spirituelle. Dieu crée mais Il « n’engendre pas », dit le Coran (112, 3). Cependant, l’Incarnation est nécessaire pour révéler Dieu et racheter l’humanité des conséquences du péché originel. Or, l’islam méconnaît l’existence de ce péché. Il n’y a donc pas besoin de Rédemption, mais cela laisse entière la question de l’origine du mal.
La transcendance du Dieu du Coran exclue donc toute immanence. Voilà pourquoi les musulmans ne peuvent pas accepter la réalité d’un Dieu fait homme. Que Dieu ait un Fils, Jésus, est un scandale à leurs yeux. Cela signifierait qu’Il a pris une épouse. Les musulmans ignorent par ailleurs la paternité divine car ils n’envisagent la fécondité que comme une réalité biologique et non spirituelle. Dieu crée mais Il « n’engendre pas », dit le Coran (112, 3). Cependant, l’Incarnation est nécessaire pour révéler Dieu et racheter l’humanité des conséquences du péché originel. Or, l’islam méconnaît l’existence de ce péché. Il n’y a donc pas besoin de Rédemption, mais cela laisse entière la question de l’origine du mal.
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Islam et christianisme comme religions monothéistes.
L’islam est bien un monothéisme puisqu’il implique la croyance et l’adoration du Dieu unique, mais il présente une divergence essentielle avec le monothéisme chrétien. La doctrine coranique emploie le mot « unicité » pour parler du Dieu unique, s’opposant ainsi au dogme de la « Trinité » par lequel l’Eglise définit le Dieu Un en Trois …More
Islam et christianisme comme religions monothéistes.
L’islam est bien un monothéisme puisqu’il implique la croyance et l’adoration du Dieu unique, mais il présente une divergence essentielle avec le monothéisme chrétien. La doctrine coranique emploie le mot « unicité » pour parler du Dieu unique, s’opposant ainsi au dogme de la « Trinité » par lequel l’Eglise définit le Dieu Un en Trois Personnes. L’islam se présente donc sous la forme d’un monothéisme absolu, qui exclut toute pluralité en Dieu. Ce Dieu est Un et seulement Un et donc solitaire. Le Coran envisage d’une manière erronée la Trinité à laquelle croient les chrétiens ; il lui donne la forme d’une triade composée du Dieu Un auxquels sont associées deux autres divinités, Marie et Jésus (il n’est pas question du Saint-Esprit). Ce trithéisme est vigoureusement combattu par le Coran (4, 171) qui le nomme « associationnisme » et en fait le seul péché irrémissible (4, 48).
L’islam est bien un monothéisme puisqu’il implique la croyance et l’adoration du Dieu unique, mais il présente une divergence essentielle avec le monothéisme chrétien. La doctrine coranique emploie le mot « unicité » pour parler du Dieu unique, s’opposant ainsi au dogme de la « Trinité » par lequel l’Eglise définit le Dieu Un en Trois Personnes. L’islam se présente donc sous la forme d’un monothéisme absolu, qui exclut toute pluralité en Dieu. Ce Dieu est Un et seulement Un et donc solitaire. Le Coran envisage d’une manière erronée la Trinité à laquelle croient les chrétiens ; il lui donne la forme d’une triade composée du Dieu Un auxquels sont associées deux autres divinités, Marie et Jésus (il n’est pas question du Saint-Esprit). Ce trithéisme est vigoureusement combattu par le Coran (4, 171) qui le nomme « associationnisme » et en fait le seul péché irrémissible (4, 48).
Merci islametverité,
Vous présentez les choses avec grande justesse.
Nous aurons toujours des personnes qui vont s'opposer à ces vérités.
Et pourtant, il y a qu'une seule vérité, elle est d'une telle évidence, et pourtant.
Je crains que c'est l'orgueuil qui conduit à l'erreur, on retrouve ça un peu dans chaque gouvernement, chaque nouveau ministre veut conduire sa réforme, marquer son passage …More
Merci islametverité,
Vous présentez les choses avec grande justesse.
Nous aurons toujours des personnes qui vont s'opposer à ces vérités.
Et pourtant, il y a qu'une seule vérité, elle est d'une telle évidence, et pourtant.
Je crains que c'est l'orgueuil qui conduit à l'erreur, on retrouve ça un peu dans chaque gouvernement, chaque nouveau ministre veut conduire sa réforme, marquer son passage, et là aussi, en théologie, il y a de grands orgeuilleux qui ne peuvent s'empêcher de vouloir marquer, quitte à dire n'importe quoi.
On a eut Drewermann qui a fait parler un peu de lui avant de tomber dans les oubliettes,
Des dévisseurs d'ampoules qui se prennent pour des lumières, l'Eglise en a vu tant et elle a fait son chemin, des phares qui se prennent pour des allumés, des gens qui se prennent pour des saints alors qu'ils ne sont que cintrés, ça fait partie de notre histoire, il faut les accepter, Dieu les raménera à lui, nous pouvons prier pour ça,
Mais bien sur, dire la vérité inlassablement, vous avez raison.
Vous présentez les choses avec grande justesse.
Nous aurons toujours des personnes qui vont s'opposer à ces vérités.
Et pourtant, il y a qu'une seule vérité, elle est d'une telle évidence, et pourtant.
Je crains que c'est l'orgueuil qui conduit à l'erreur, on retrouve ça un peu dans chaque gouvernement, chaque nouveau ministre veut conduire sa réforme, marquer son passage, et là aussi, en théologie, il y a de grands orgeuilleux qui ne peuvent s'empêcher de vouloir marquer, quitte à dire n'importe quoi.
On a eut Drewermann qui a fait parler un peu de lui avant de tomber dans les oubliettes,
Des dévisseurs d'ampoules qui se prennent pour des lumières, l'Eglise en a vu tant et elle a fait son chemin, des phares qui se prennent pour des allumés, des gens qui se prennent pour des saints alors qu'ils ne sont que cintrés, ça fait partie de notre histoire, il faut les accepter, Dieu les raménera à lui, nous pouvons prier pour ça,
Mais bien sur, dire la vérité inlassablement, vous avez raison.
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Bonsoir Beranger, oui, c'est l'évidence, une vérité de foi, tout simplement. Peu importe que la vidéo ait été éjectée de la page d'accueil, juste au moment de l'arrivée de Dumouch sur le site. Cela ne changera pas la donne, L'Eglise ne professe et n'a jamais professé que chrétiens et musulmans adoraient le même Dieu, mais qu'ils ONT le même Dieu.
C'est très différent. Comme le dit l'abbé …More
Bonsoir Beranger, oui, c'est l'évidence, une vérité de foi, tout simplement. Peu importe que la vidéo ait été éjectée de la page d'accueil, juste au moment de l'arrivée de Dumouch sur le site. Cela ne changera pas la donne, L'Eglise ne professe et n'a jamais professé que chrétiens et musulmans adoraient le même Dieu, mais qu'ils ONT le même Dieu.
C'est très différent. Comme le dit l'abbé, de fait, nous avons le même Dieu, car Il est le Dieu de tous, c'est Lui qui a créé tous les hommes, qu'ils soient musulmans, bouddhistes, athées et j'irai même plus loin, satanistes !
Le dialogue inter-religieux est et a toujours existé dans l'Eglise, depuis Saint Paul jusqu'à nos jours, c'est UNE NÉCESSITÉ ABSOLUE pour prêcher l'Evangile. Comment faire sinon ?
La question est de savoir COMMENT nous dialoguons avec les musulmans. Devons-nous les séduire en brossant leur religion dans le sens du poil ou devons-nous poser les vraies questions, celles qui sont à même de les faire s'interroger ?
C'est très différent. Comme le dit l'abbé, de fait, nous avons le même Dieu, car Il est le Dieu de tous, c'est Lui qui a créé tous les hommes, qu'ils soient musulmans, bouddhistes, athées et j'irai même plus loin, satanistes !
Le dialogue inter-religieux est et a toujours existé dans l'Eglise, depuis Saint Paul jusqu'à nos jours, c'est UNE NÉCESSITÉ ABSOLUE pour prêcher l'Evangile. Comment faire sinon ?
La question est de savoir COMMENT nous dialoguons avec les musulmans. Devons-nous les séduire en brossant leur religion dans le sens du poil ou devons-nous poser les vraies questions, celles qui sont à même de les faire s'interroger ?
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Donc pour connaitre qui est Dieu, il faut recevoir la révélation qu’Il nous donne de Lui-même, et seul Dieu peut nous dire qui est Dieu. C’est pourquoi nous, chrétiens, nous croyons en Jésus- Christ, et en croyant en Jésus- Christ nous croyons en Dieu, qu’Il est Dieu et que Lui seul peut nous révéler le mystère de l’intériorité divine. Voilà pourquoi chrétiens et musulmans n’ont pas le …More
Donc pour connaitre qui est Dieu, il faut recevoir la révélation qu’Il nous donne de Lui-même, et seul Dieu peut nous dire qui est Dieu. C’est pourquoi nous, chrétiens, nous croyons en Jésus- Christ, et en croyant en Jésus- Christ nous croyons en Dieu, qu’Il est Dieu et que Lui seul peut nous révéler le mystère de l’intériorité divine. Voilà pourquoi chrétiens et musulmans n’ont pas le même Dieu : les chrétiens ont pour Dieu Jésus- Christ, alors que les musulmans, que je sache, n’adorent pas Jésus Christ, Il n’est pas le Dieu des musulmans.
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Le coran enseigne que chrétiens et musumans ont le même dieu (2.139 : 29.46). Or la meilleure preuve que chrétiens et musulmans n'adorent pas le même Dieu est que les chrétiens adorent Jésus-Christ, Dieu fait homme, ce que ne font pas les musulmans.