Le Pape se doit d'être soumis à la fonction pour laquelle il a été élu, gardé le dépôt intact et le défendre contre toute corruption.
Le libéralisme, le modernisme, les panchrétiens, la liberté religieuse, l'indifférentisme.....tout cela a été condamné par le Magistère des papes précédant le concile.
La caractéristique des papes conciliaires, c'est qu'ils ont agit comme s'ils étaient les propriétaires, les auteurs de la doctrine.
Paul VI abroge de facto la Sainte Messe et la remplace par la cène luthérienne, change les rites des sacrements, des ordinations, alors que c'est contraire à sa fonction. Pie XII venait à peine vingt ans plus tôt de définir avec précision quelles étaient les matières et les formes dans Sacramentum ordinis.
Jean XXIII anathématise "les prophètes de malheur", mais oublie de condamner le communisme, car il a fait un accord secret à Metz avec eux.
Jean-Paul II nous prêche la rédemption universelle, le Christ par son incarnation s'étant en quelque sorte uni à tout homme. Mais ce en quelque sorte est un en puissance encore faut-il adhérer à Lui par la foi et la charité. Il convoque la réunion, le pandémonium d'Assise, insulte invraisemblable à Notre Seigneur Jésus-Christ........
Il est nécessaire d'être soumis au Pape, au Souverain Pontife mais lui se doit d'être parfaitement soumis au Christ dont il est le Vicaire.
Or force est de constater que ces derniers papes, déjà "saints", sont des novateurs.