Le cardinal Brandmülle désigne le crime mais pas les coupables
Le cardinal Walter Brandmüller, 89 ans, estime que l'Église actuelle est "ébranlée dans ses fondements" à cause d'abus homosexuels "presque épidémiques dans le clergé et même dans la hiérarchie" - une affirmation confirmée uniquement par l'hystérie des médias, pas par les faits.
[L'église d'aujourd'hui est "ébranlée" par l'effondrement de la liturgie et par le sentimentalisme théologique.]
Dans les pages du mensuel allemand Vatican Magazin, Brandmüller reproche à François et à ses prédécesseurs de ne pas s'opposer à la théologie immorale incluant l'homosexualité. Notons bien que François promeut activement de telles choses.
Apparemment peu disposé à nommer les coupables, Brandmüller répertorie les dissidents depuis longtemps oubliés, tels que Josef Fuchs (+2005), Bernhard Häring (+1998), Franz Böckle (+1991) et Alfons Auer (+2005), comme "les véritables hérétiques".
L'un d'entre eux, Häring, a été salué par François en novembre 2016 comme "le premier à commencer à chercher une nouvelle façon d'aider la théologie [non] morale à se développer à nouveau".
Image: Walter Brandmüller, © Manfred Ferrari, #newsHdzzorxdpd
[L'église d'aujourd'hui est "ébranlée" par l'effondrement de la liturgie et par le sentimentalisme théologique.]
Dans les pages du mensuel allemand Vatican Magazin, Brandmüller reproche à François et à ses prédécesseurs de ne pas s'opposer à la théologie immorale incluant l'homosexualité. Notons bien que François promeut activement de telles choses.
Apparemment peu disposé à nommer les coupables, Brandmüller répertorie les dissidents depuis longtemps oubliés, tels que Josef Fuchs (+2005), Bernhard Häring (+1998), Franz Böckle (+1991) et Alfons Auer (+2005), comme "les véritables hérétiques".
L'un d'entre eux, Häring, a été salué par François en novembre 2016 comme "le premier à commencer à chercher une nouvelle façon d'aider la théologie [non] morale à se développer à nouveau".
Image: Walter Brandmüller, © Manfred Ferrari, #newsHdzzorxdpd