Une contrebandière de la Charité. Régulièrement une soeur de la Charité, Soeur Bernèze (portant la cornette) franchit à pied la frontière entre la Jordanie et Israël. Après avoir salué le militaire …Plus
Une contrebandière de la Charité.
Régulièrement une soeur de la Charité, Soeur Bernèze (portant la cornette) franchit à pied la frontière entre la Jordanie et Israël. Après avoir salué le militaire jordanien puis le soldat israélien, elle est accueillie en Israël par Jean FELLER. Dans la voiture qui les conduit vers l'hospice Saint Vincent de Paul, la soeur parle de ses allers et retours entre les 2 pays. L'hospice Saint-Vincent de Paul, surnommé l'Arche de Noé de la charité, abrite 350 personnes. Dans son bureau Soeur Bernèze décrit cette maison qui regroupe des enfants, parfois même des bébés, sans dictinction de race ni de religion. La Soeur parle de son arrivée ici et de l'organisation du centre. La langue commune est le français. Visite de la partie qui accueille les plus jeunes enfants : le dortoir, les jeux, l'école où ils récitent en français. Visite de l'orphelinat des filles (une classe), du dortoir qui accueille les enfants handicapés, rencontre avec des femmes agées, avec Paul et autres hommes handicapés physiques ou mentaux. Soeur Bernèze explique comment elle fait fonctionner la Maison sur le plan financier, du personnel. Malgré toutes les difficultés, cette Maison est pour les filles de la Charité, l'idéal, elles sont parmi les pauvres et les malheureux comme chez elles, dans la joie. Etre à Jérusalem, la ville où le Christ a enseigné la charité, est vécu comme un privilège. La charité est leur raison d'être, elle est nécessaire partout. Le sujet se termine par un office religieux chanté auquel assistent tous les pensionnaires, jeunes filles, handicapés, vieillards ...
Régulièrement une soeur de la Charité, Soeur Bernèze (portant la cornette) franchit à pied la frontière entre la Jordanie et Israël. Après avoir salué le militaire jordanien puis le soldat israélien, elle est accueillie en Israël par Jean FELLER. Dans la voiture qui les conduit vers l'hospice Saint Vincent de Paul, la soeur parle de ses allers et retours entre les 2 pays. L'hospice Saint-Vincent de Paul, surnommé l'Arche de Noé de la charité, abrite 350 personnes. Dans son bureau Soeur Bernèze décrit cette maison qui regroupe des enfants, parfois même des bébés, sans dictinction de race ni de religion. La Soeur parle de son arrivée ici et de l'organisation du centre. La langue commune est le français. Visite de la partie qui accueille les plus jeunes enfants : le dortoir, les jeux, l'école où ils récitent en français. Visite de l'orphelinat des filles (une classe), du dortoir qui accueille les enfants handicapés, rencontre avec des femmes agées, avec Paul et autres hommes handicapés physiques ou mentaux. Soeur Bernèze explique comment elle fait fonctionner la Maison sur le plan financier, du personnel. Malgré toutes les difficultés, cette Maison est pour les filles de la Charité, l'idéal, elles sont parmi les pauvres et les malheureux comme chez elles, dans la joie. Etre à Jérusalem, la ville où le Christ a enseigné la charité, est vécu comme un privilège. La charité est leur raison d'être, elle est nécessaire partout. Le sujet se termine par un office religieux chanté auquel assistent tous les pensionnaires, jeunes filles, handicapés, vieillards ...