L'holocauste secret

Alexandre Soljenitsyne raconte que quelque soixante-six millions * de "vrais Russes" ont été assassinés depuis la révolution bolchevique aux mains des révolutionnaires yiddish, et maintenant deux cents millions de citoyens des États-Unis attendent leur tour dans les abattoirs des terroristes sionistes assoiffés de sang.
(*Dans le livre « Warning to the west », page 129, Soljénitsyne cite, faisant suite aux prédictions de 1880, 40 ans en avance, de Fedor Dostoïesvski de 100 millions de morts causés par les Juifs en Russie, le statisticien russe Yvan Kochkine Kurganov (1895-1980) qui établit le chiffre de 110,7 millions de victimes russes chrétiennes, dans un rapport présenté à la presse britannique en 1963 et resté sans suite)
Le révérend Denis Fahey, dans son livre "The Rulers of Russia", a révélé les vrais noms de nombreux terroristes juifs qui ont fait fonctionner la machine à tuer soviétique en Russie. Trotsky était Bronstein, Martov était Zederbaum, Zinoviev était Apfelbaum, Kamenev était Rosenfeld, Parvus était Helphand, Bohrin était Nathanson, et ainsi de suite.
Une grande partie des Russes blancs s'enfuit vers le Pacifique, de Vladivostock au port de Dairen. Les femmes russes, qui avaient présidé aux plus gracieux palais connus de la civilisation européenne, furent contraintes de se tourner vers la prostitution pour trouver du pain pour leurs enfants affamés ; d'autres, trouvant la dégradation insupportable, se suicidèrent ou moururent lentement de faim. Des décennies après la révolution russe, on pouvait encore trouver certaines des femmes russes blanches dans des maisons de prostitution à Shanghai, Pékin et Tokyo.
Les survivants masculins de la Terreur marxiste, dont beaucoup étaient des érudits, des philosophes et des scientifiques très cultivés, n'ont trouvé aucun moyen d'exploiter leurs talents hautement spécialisés dans le dur monde asiatique des réfugiés. Un général russe a été vu tirant un pousse-pousse comme coolie à Shanghai pendant quelques jours ; il s'est ensuite pendu dans sa chambre stérile.
Ceux qui ont survécu à la Terreur initiale en Russie étaient destinés à une mort encore plus dure, une lente agonie en tant que prisonnier dans un camp de concentration exploité par les Juifs, dirigé par des Juifs.
Pendant de nombreuses années, les Juifs, grâce à leur contrôle total des médias dans les nations chrétiennes, ont empêché le monde extérieur d'entendre parler des horreurs qu'ils perpétraient quotidiennement sur les chrétiens en Russie soviétique.
Finalement, une victime, qui avait survécu à une condamnation dans un camp de concentration, Alexandre Soljenitsyne, est parvenue à se mettre en sécurité. Dans son livre, "L'archipel du Goulag", il a informé un monde incrédule que les terroristes juifs assoiffés de sang avaient assassiné soixante-six millions de victimes en Russie entre 1918 et 1957 !
Soljenitsyne a cité l'ordre n° 10 de la Tchéka, émis le 8 janvier 1921 : "Intensifier la répression de la bourgeoisie." C'est sur cet ordre que reposait la création des terribles camps sibériens, de Kolyma et de bien d'autres. Soljenitsyne a également porté à la connaissance du monde chrétien les noms des meurtriers de masse qui dirigeaient ces camps.
Tous étaient juifs. Le cas typique est celui de Lazar Kogan, qui a vu mourir des milliers d'esclaves pendant qu'il dirigeait la construction du canal de la mer Blanche. Il faisait parfois la remarque suivante à un nouveau prisonnier : "Je crois que vous n'étiez personnellement coupable de rien. Mais, en tant que personne instruite, vous devez comprendre que la prophylaxie sociale était largement appliquée."
"Prophylaxie sociale" était l'une des vicieuses phrases juives qu'ils utilisaient comme euphémisme pour leur massacre des chrétiens. Leurs victimes, une fois consignées dans les camps, n'étaient plus considérées comme des êtres humains, car les Juifs considéraient tous les autres comme des non-humains. Elles étaient simplement connues sous le surnom de "zeks", terme argotique pour "zakluchenny", qui signifie "prisonnier" en russe.
Les Juifs ont eu une autre occasion de massacrer des chrétiens sans défense pendant la guerre civile espagnole. Ernest Elmhurst déclare dans "World Hoax", p. 157, "D'une importance non moindre fut le transfert de l'ancien délégué à la paix de la Russie soviétique à Genève ~ le Juif Rosenberg (Moses Israelsohn) avec son équipe de 140 membres au bureau de l'ambassadeur en Espagne en août 1936."

L’holocauste secret/ Eustace Mullins/ page 12
Marie-Pierre Jeanine THIERY partage ceci
215