Lors d'une réunion avec la Curie romaine le 8 novembre, François a expliqué que le secret de la confession était "inviolable et inaliénable", soit un truisme de base.
Selon IlMessagero.it, il a déclaré que l'Eglise n'accepterait jamais la levée du secret de la confession et que François était "prêt à y mettre tout mon poids [léger] magistériel". Cependant, il a considérablement perdu de son autorité doctrinale après ses tentatives de "changer" l'enseignement catholique sur la peine de mort et l'indissolubilité du mariage.
Le droit canonique 983 explique que le sceau sacramentel est inviolable, "Il est donc absolument interdit à un confesseur de trahir de quelque manière que ce soit un pénitent en paroles ou de quelque manière et pour quelque raison que ce soit." Des prêtres ont donné leur vie pour protéger le secret de la confession.
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