Canular en matière d'abus : La farce des "charniers" canadiens est enterrée
Après trois ans d'enquête et un investissement de 216,5 millions de dollars, le régime canadien a décidé de fermer la Commission consultative nationale sur "les pensionnats, les enfants disparus et les tombes anonymes".
Le régime canadien a mis fin à l'enquête après avoir échoué à trouver des "fosses communes" dans les pensionnats gérés par l'Église. Ces centres ont fonctionné de la fin du 19e siècle jusqu'aux années 1990 avec des fonds publics et étaient principalement gérés par l'Église catholique et les anglicans.
Honteux : Il n'est pas prévu que le régime, un membre de la hiérarchie de l'Église ou François présente des excuses pour avoir terni l'honneur de l'institution et de ceux qui ont travaillé dans ces centres, écrit InfoCatholica.com (3 mars).
La farce criminelle consistait à prétendre que des centaines d'enfants indigènes avaient été "abusés" et "assassinés" dans des centres catholiques. Elle a provoqué une vague d'indignation nationale, du vandalisme et la destruction de près de 120 églises à travers le pays.
Le pape François s'est spécialement rendu au Canada pour jeter de l'encens sur l'autel de la farce. Le pauvre fou a publiquement déploré ce qui a été décrit à l'époque comme "la découverte choquante des restes de 215 enfants" dans le pensionnat de Kamloops. Il a présenté son voyage au Canada comme un voyage de "pénitence".
Il a également rencontré des chefs de communautés indigènes, qui se sont révélés être des menteurs.
Les recherches effectuées à l'aide de géoradars n'ont révélé aucune preuve matérielle permettant d'étayer les allégations de "charniers".
Malgré cela, le chef du régime canadien, Justin Trudeau, a insisté jusqu'à l'année dernière (sic) sur le fait que des "crimes" avaient été commis dans ces centres.
Sans surprise, certains enfants sont morts dans les pensionnats, et les archives historiques montrent que la principale cause de décès était des maladies telles que la tuberculose.
Pour entretenir le mensonge, les fanatiques anti-Eglise ont même manipulé le monde universitaire.
Une conférence de Lord Biggar, historien et ecclésiastique anglican britannique, au Regent College de Vancouver, a été annulée à la suite d'une campagne de diffamation menée par les partisans du mensonge.
Lord Biggar a dénoncé ce qu'il a appelé une "culture agressivement répressive" au Canada, qui déforme le travail des missions chrétiennes et justifie l'incendie des églises.
Image: © Michael Swan, CC BY-ND, Traduction de l'IA