Madame Schönborn jacasse / Johnny grille

Mercredi, 6 décembre 2017 (Madame Schönborn jacasse) :

Le 1er décembre dernier, à l’occasion de la “journée mondiale du sida”, le cardinal Christoph Schönborn, archevêque de vienne (AU) a ouvert sa cathédrale Saint-Étienne à des militants homosexuels ou transsexuels.

La célébration liturgique œcuménique s’est ouverte par l’accueil du militant homosexuel Gerry Keszler à la porte de la cathédrale par le cardinal autrichien lui-même qui a ensuite, depuis l’autel, prononcé un discours de bienvenue à l’activiste et à tous ceux qui avec lui organisent le “Life Ball” de Vienne.

Au moment de la “prière universelle” au cours de cette liturgie, en pleine cathédrale, c’est le “transformiste” Thomas Neuwirth, mieux connu sous son nom de scène de Conchita Wurst, qui a dénoncé la persécution de ceux qui “vivent leur identité différente”.

Toujours sous le regard bienveillant du cardinal, au cœur de sa sainte cathédrale, Gerry Keszler a déclaré à la fin de la cérémonie : « Peu importe qui tu aimes ou ce que tu crois. »
Le cardinal Schönborn l’a remercié pour ces admirables paroles.

Un jour, ceux qui seront restés (malgré tout) catholiques se réveilleront.
Et lorsqu’ils ouvriront les yeux, ils constateront les résultats du travail de sape effectué par le pape François et ses plus proches collaborateurs (Schönborn, Marx, Kasper...) Alors, ils ne verront plus de l’Église qu'un amas de ruines...

Jeudi, 7 décembre 2017 (Johnny grille) :
Tout le tralala larmoyant auquel on a droit depuis la mort de Johnny Hallyday montre à l’envi à quel niveau se situe désormais l’esprit français : on baigne dans le pathos, dans le théâtralisme... Plus de retenue, plus de dignité, plus de décence : nous avons plus droit qu’à un concours de belles phrases.

Pour ce qui est des obsèques qui se dérouleront à Saint-Sulpice (Paris), on doit s’attendre au pire. D’abord, Johnny n’était pas le premier venu : il aura donc droit à un enterrement de première classe célébré par plusieurs concélébrants. L’illustre inconnu du fin fond de la campagne française n’a droit, lui, qu’à une cérémonie présidée par l’ “équipe funérailles du secteur”. Nous sommes donc tous égaux devant la mort, sauf que certains sont un peu plus égaux que d’autres, aurait pu dire Coluche.

Et puis, à la messe, il y aura des chants. Quelques titres intéressants pour l’ “équipe liturgique” en manque d’inspiration.

Enfin, la cérémonie se terminera par des applaudissements nourris. Confondue avec la popularité, la sainteté d'une personne défunte se mesure désormais avec un applaudimètre.

Ainsi le veulent les nouveaux rites imaginés par ceux qui se moquent bien de ce que célèbre la liturgie catholique, du moment qu’une église peut servir de salle de spectacle. Oui, entraînés par un certain clergé, nous ne finissons plus de tomber toujours plus bas.

Source : www.proliturgia.org

* * * * * * * * * * * * *
Album ACTU