François semble reconnaître ses torts lors d'une audience générale

"Aujourd'hui encore, beaucoup cherchent la sécurité religieuse [est-ce mal ?] en se concentrant sur les rituels [de l'idéologie de la pauvreté] et les préceptes [de Traditionis Custodes] au lieu d'embrasser l'amour de Dieu de tout leur être [à travers la beauté du rite tridentin]", a déclaré François lors de son audience générale du 27 octobre.

Il dénonce "la tentation des nouveaux fondamentalistes [climatolâtres et de gauche], de ceux à qui il semble que le chemin à suivre est effrayant et ils n'avancent pas mais reculent [jusqu'à Mama Gaïa] parce qu'ils se sentent plus en sécurité [dans leur idéologie soixante-huitarde]".

François a qualifié ces gens de "petit groupe" - ce qui est vrai car ils sont en train de disparaître. "Ils vivent "comme jadis" [dans les années 1960], ils s'éloignent de l'Esprit [Saint]", a-t-il souligné.

Manifestement pris de remords, le pape a admis que "parfois, ceux qui s'approchent de l'Église [politiquement correcte] ont l'impression d'avoir affaire à une masse dense de règles et de règlements : mais non, ce n'est pas l'Église !"

François a déclaré que la foi "ne peut être saisie sur la base de tant de commandements ou d'une vision morale [casuistique] développée en de nombreuses couches [par exemple Amoris Laetitia] qui peut nous faire oublier la fécondité originelle de l'amour nourri par la prière [telle qu'exprimée dans le rite tridentin]."

#newsVugdvgohph