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Se convertir c’est se confier au pardon de Jésus. Se convertir c’est se confier à la puissance du pardon de Jésus, en se laissant prendre par la main, pour pouvoir « sortir des sables mouvants de …Plus
Se convertir c’est se confier au pardon de Jésus.

Se convertir c’est se confier à la puissance du pardon de Jésus, en se laissant prendre par la main, pour pouvoir « sortir des sables mouvants de l'orgueil et du péché, du mensonge et de la tristesse, de l'égoïsme et de toute fausse sécurité, pour connaître et vivre la richesse de son amour ». C’est en ces termes que Benoît XVI a comparé, hier à l’angélus, notre conversion à celle de l’apôtre Paul, célébrée par l’Eglise en ce dimanche 25 janvier.

Pour Benoît XVI, l’expérience de Paul, née de sa rencontre avec le Christ ressuscité sur la route de Damas « peut être le modèle de toute conversion chrétienne authentique ». Se convertir c’est aussi, pour chacun de nous, croire que Jésus « s’est livré pour nous » en mourant sur la croix et, une fois ressuscité « il vit avec nous et en nous ».

Benoît XVI a par ailleurs évoqué la célébration, ce dimanche, de la Journée mondiale des malades de la lèpre, se réjouissant que les Nations Unies aient récemment appelé les Etats à « protéger les malades et leurs familles ».

Puis le pape est revenu sur son message pour la Journée mondiale des communications sociales, rappelant que la sage utilisation des nouvelles technologies, comme Internet, favorise chez les peuples la recherche du vrai, du bien et du beau ; Et enfin, avec deux enfants de l’Action catholique de Rome, il a libéré deux colombes, depuis la fenêtre de son bureau, remerciant les jeunes de « leur fidèle engagement à promouvoir la paix ».
Bennor
Mais de qui les colombes étaient-elles prisonnières??