Conférence de presse du Synode : Les apparences avant tout !
Au lieu de cela, il a affirmé que le Synode avait produit un dialogue ecclésial "sans précédent" dans l'histoire de l'Eglise, non seulement en termes de "quantité de réponses" (sic !) mais aussi en termes de "qualité de la participation" [très focalisée sur le sexe et l'homosexualité].
Le prélat a admis que l'entreprise n'était "certainement pas parfaite", ce dont on peut conclure qu'il n'attribue aucun caractère divin au Synode.
Sa demande antérieure que l'homosexualité ne soit plus appelée un péché parce que - selon lui - cette partie de la Bible est "fausse", Hollerich l'a reformulée de façon malhonnête : "Je ne veux pas un changement de doctrine de l'Eglise, je veux un changement d'attitude". Qui veut-il tromper ? L'attitude est déterminée par la doctrine.
Au début du processus de consultation du Synode en septembre 2021, François a dit aux fidèles romains qu'il est très important de participer parce qu'un manque d'engagement "ferait mauvaise figure, pour le pape, mais aussi pour vous !"
En d'autres termes, le Synode a pour but explicite de faire "bella figura" (= bonne figure).
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