Affaire Gaztelueta : Martínez s'est soumis au détecteur de mensonges
José María Martínez, 47 ans, ancien professeur au collège Gaztelueta de l'Opus Dei à Leioa, en Espagne, s'est soumis au détecteur de mensonges, écrit-il sur JoseMariaMartinezGaztelueta.com (25 mars).
En 2009, un ancien élève, Juan Cuatrecasas, a accusé à tort M. Martínez d'abus homosexuels.
Le test a été réalisé dans l'institution la plus professionnelle et la plus prestigieuse d'Espagne.
M. Martínez a répondu aux questions clés concernant l'affaire Gaztelueta et le résultat final a été qu'il disait la vérité sans l'ombre d'un doute. Aujourd'hui, il met ses faux accusateurs au défi de passer eux aussi au détecteur de mensonges.
M. Martínez a subi une série d'abus flagrants de la part de prélats sans scrupules.
Il est jugé pour la deuxième fois pour un crime dont l'Église l'avait déjà déclaré innocent lors du premier procès. Martínez s'exprime à ce sujet : "Je me demande s'il y aura un troisième procès si l'issue du deuxième n'est pas du goût de certains.
Le Vatican veut appliquer rétroactivement le droit pénal à son encontre, ce qui viole un principe fondamental du droit et de la justice.
Malgré ses demandes répétées, le juge refuse de lui dire quelle peine il encourt.
Dans le second procès [illégitime], certaines des personnes à qui il a demandé de témoigner ne sont pas autorisées à le faire, par exemple les juges qui l'ont déclaré innocent lors du premier procès.
Le juge du second procès, Mgr Satué, évêque de Teruel, a refusé d'accepter une grande partie des preuves présentées par les avocats de M. Martínez.
Monseigneur Satué, dans sa première communication écrite, l'a encouragé de manière voilée à se déclarer "coupable", en violation de la neutralité judiciaire.
François a reçu l'accusateur mensonger, mais pas l'accusé, malgré la demande écrite de Martínez à deux reprises.
Il y a donc peu d'espoir que le Vatican ait l'intention de rendre justice dans cette affaire, qui montre que le processus canonique contre Martínez est une farce.
Traduction de l'IA
En 2009, un ancien élève, Juan Cuatrecasas, a accusé à tort M. Martínez d'abus homosexuels.
Le test a été réalisé dans l'institution la plus professionnelle et la plus prestigieuse d'Espagne.
M. Martínez a répondu aux questions clés concernant l'affaire Gaztelueta et le résultat final a été qu'il disait la vérité sans l'ombre d'un doute. Aujourd'hui, il met ses faux accusateurs au défi de passer eux aussi au détecteur de mensonges.
M. Martínez a subi une série d'abus flagrants de la part de prélats sans scrupules.
Il est jugé pour la deuxième fois pour un crime dont l'Église l'avait déjà déclaré innocent lors du premier procès. Martínez s'exprime à ce sujet : "Je me demande s'il y aura un troisième procès si l'issue du deuxième n'est pas du goût de certains.
Le Vatican veut appliquer rétroactivement le droit pénal à son encontre, ce qui viole un principe fondamental du droit et de la justice.
Malgré ses demandes répétées, le juge refuse de lui dire quelle peine il encourt.
Dans le second procès [illégitime], certaines des personnes à qui il a demandé de témoigner ne sont pas autorisées à le faire, par exemple les juges qui l'ont déclaré innocent lors du premier procès.
Le juge du second procès, Mgr Satué, évêque de Teruel, a refusé d'accepter une grande partie des preuves présentées par les avocats de M. Martínez.
Monseigneur Satué, dans sa première communication écrite, l'a encouragé de manière voilée à se déclarer "coupable", en violation de la neutralité judiciaire.
François a reçu l'accusateur mensonger, mais pas l'accusé, malgré la demande écrite de Martínez à deux reprises.
Il y a donc peu d'espoir que le Vatican ait l'intention de rendre justice dans cette affaire, qui montre que le processus canonique contre Martínez est une farce.
Traduction de l'IA