L'objectif n'est rien d'autre que le Plan Morgenthau (PDF disponible) remis au goût du jour à l'échelle de l'Occident expliqué par feu Léon de Poncins avec des déplacés internationaux qui apportent leurs faibles ressources humaines qui n'ont pas permis de développer leur pays. C'est évidemment la destruction du Christianisme qui est visée et par là de la France, terre chrétienne par excellence historiquement.

Un des moyens : la Stratégie Cloward-Piven

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La stratégie Cloward-Piven est une stratégie politique définie en 1966 par les sociologues et activistes politiques américains Richard Cloward et Frances Fox Piven.

Il s'agit d'une stratégie qui consiste à forcer un changement politique conduisant à l'effondrement de la société par le biais de crises orchestrées. La "stratégie Cloward-Piven" vise à accélérer la chute du capitalisme en surchargeant la bureaucratie gouvernementale d'un flot de demandes impossibles, en accumulant une dette nationale massive et impayable, et en recourant à d'autres méthodes telles que l'immigration sans entraves, poussant ainsi la société à la crise et à l'effondrement économique en submergeant le système.

L'histoire
Cloward et Piven étaient tous deux professeurs à l'école de travail social de l'université de Columbia. La stratégie a été exposée dans un article paru en mai 1966 dans le magazine libéral The Nation, intitulé "The Weight of the Poor : A Strategy to End Poverty" (Le poids des pauvres : une stratégie pour mettre fin à la pauvreté)[1].

Stratégie
L'article de Cloward et Piven vise à forcer le parti démocrate, qui en 1966 contrôlait la présidence et les deux chambres du Congrès des États-Unis, à prendre des mesures fédérales pour aider les pauvres. Ils affirment que l'inscription complète des personnes éligibles à l'aide sociale "entraînerait des perturbations bureaucratiques dans les organismes d'aide sociale et des perturbations fiscales dans les gouvernements locaux et d'État", ce qui aurait pour effet de "creuser les divisions existantes" : "... approfondir les divisions existantes entre les éléments de la coalition démocrate des grandes villes : la classe moyenne blanche restante, les groupes ethniques de la classe ouvrière et les minorités pauvres de plus en plus nombreuses. Pour éviter un nouvel affaiblissement de cette coalition historique, une administration nationale démocrate serait contrainte de proposer une solution fédérale à la pauvreté qui passerait outre les échecs locaux de l'aide sociale, les conflits locaux de classe et de race et les dilemmes locaux en matière de recettes"[2].

Ils ont également écrit :

L'objectif ultime de cette stratégie - éliminer la pauvreté en établissant un revenu annuel garanti - sera remis en question par certains. L'idéal de mobilité sociale et économique individuelle étant profondément ancré, même les militants semblent réticents à l'idée d'appeler à des programmes nationaux visant à éliminer la pauvreté par une redistribution pure et simple des revenus[2].

Michael Reisch et Janice Andrews ont écrit que Cloward et Piven "ont proposé de créer une crise dans le système d'aide sociale actuel - en exploitant le fossé entre la loi sur l'aide sociale et la pratique - qui entraînerait finalement son effondrement et le remplacerait par un système de revenu annuel garanti. Ils espéraient atteindre cet objectif en informant les pauvres de leurs droits à l'aide sociale, en les encourageant à demander des prestations et, en fait, en surchargeant une bureaucratie déjà surchargée"[3].

L'accent mis sur les démocrates
Les auteurs espèrent créer des perturbations au sein du parti démocrate :
"Les républicains conservateurs sont toujours prêts à dénoncer les méfaits de l'assistance publique, et ils seraient probablement les premiers à pousser des cris d'orfraie. Mais des conflits plus profonds et politiquement plus révélateurs se produiraient au sein de la coalition démocrate... Les Blancs - à la fois les groupes ethniques de la classe ouvrière et de nombreux membres de la classe moyenne - s'élèveraient contre les pauvres des ghettos, tandis que les groupes libéraux, qui jusqu'à récemment ont été confortés par l'idée que les pauvres sont peu nombreux... soutiendraient probablement le mouvement. Les conflits entre groupes, qui sont autant de crises politiques pour l'appareil local des partis, deviendront donc aigus au fur et à mesure que les listes de bénéficiaires de l'aide sociale augmenteront et que les contraintes sur les budgets locaux deviendront plus sévères"[4].

Réception et critiques
Michael Tomasky, écrivant sur la stratégie dans les années 1990 et à nouveau en 2011, l'a qualifiée de "malavisée et autodestructrice", écrivant : "Il n'est apparemment pas venu à l'esprit [de Cloward et Piven] que le système considérerait les Noirs turbulents comme un phénomène à ignorer ou à étouffer"[5].

Impact de la stratégie
Dans des articles publiés en 1971 et 1977[6], Cloward et Piven ont soutenu que les troubles de masse aux États-Unis, en particulier entre 1964 et 1969, ont effectivement conduit à une expansion massive des listes d'allocataires sociaux, mais pas au programme de revenu garanti qu'ils espéraient[7]. Le politologue Robert Albritton n'était pas d'accord, écrivant en 1979 que les données ne soutenaient pas cette thèse ; il a proposé une autre explication pour l'augmentation du nombre de dossiers d'allocataires sociaux.

Dans son livre Winning the Race paru en 2006, le commentateur politique John McWhorter attribue la montée de l'État-providence après les années 1960 à la stratégie Cloward-Piven, mais il en parle de manière négative, déclarant que cette stratégie "a créé des générations de Noirs pour qui travailler pour gagner leur vie est une abstraction"[8].

Selon l'historien Robert E. Weir en 2007 : "Bien que la stratégie ait contribué à augmenter le nombre de bénéficiaires entre 1966 et 1975, la révolution envisagée par ses partisans n'a jamais eu lieu"[9].

Voir aussi
Revenu minimum garanti

twitter.com/sansfiltre_info/status/1737808907928494333
La différence entre la république française fondée sur les « Lumières » (Voltaire, Rousseau, Montesquieu, Descartes, etc.) versus la France chrétienne.

Les mêmes qui prétendent que la France les pillerait n'osent pas reconnaître que si les Européens ne s'étaient pas arrêtés sur leurs rivages, ils seraient encore esclaves de leurs maîtres de même race vu que ce sont les Européens qui y ont mis fin en-dehors de leurs frontières et sans y être obligés. Le Christianisme de nos populations y a mis fin et la maçonnerie veut nous y voir retourner tous cette fois.

Sans le Christianisme, tous les hommes seraient encore obligés de vivre sous la loi du plus fort aussi appelée loi de la jungle. Et nous y revenons en raison de cette opposition communiste qui vise à nous opposer les uns aux autres. Cette opposition est bien communiste puisqu'elle vient du socialisme qui vise à mettre toutes nos ressources en commun afin de combattre le Christianisme de façon idéologique. Un exemple que tout le monde peut voir est la mise à disposition de tampons et autre matériel pour les menstruations des femmes dans les toilettes des hommes au Canada. Et de même, le capitalisme vise à aider le communisme en allant exploiter les travailleurs dans les pays les plus pauvres de manière à ce que le socialo-communisme encourage leur venue chez nous pour faire baisser les salaires et nous opposer selon les races, le genre, l'âge, la richesse, etc.

La maçonnerie vise à détruire l'Église Catholique en opérant Ses missions via l'argent que les banques peuvent imprimer de façon illimitée mais pas infini car dépendant des ressources limitées que Dieu met à disposition sur terre comme l'eau. Dieu aura donc le dernier mot car tôt ou tard ce système ne pourra pas durer.

Ces gens qui n'apprennent pas de savoir-faire sont voués à être pauvre et il n'est pas surprenant que les plus grandes inventions de ces deux derniers millénaires soient nées dans les nations chrétiennes comme le moteur, l'avion, l'hélicoptère, le sous-marin, le cinéma, l'internet, etc. La France n'est pas responsable du peu de développement de ces pays qui n'ont pas fait leur révolution industrielle et ne se sont jamais tournés vers Dieu complètement comme les pays d'Europe de l'Ouest qui ont été officiellement Catholiques. Et nous n'y sommes pour rien non plus si ces pays sont devenus Catholiques lors de l'apostasie à laquelle nous vivons nous-mêmes... ! ! !