Sans blague : Walter Kasper, l'amateur de Luther, qualifie le cardinal Müller de "nouveau Luther"
Le théologien de cour de Bergoglio, le cardinal Walter Kasper, 85 ans, relativiste radical, a attaqué le Manifeste de la foi. du cardinal Ludwig Müller.
Le texte de Kasper a été publié par katholisch.de, le site des évêques hétérodoxes allemands.
Dans son attaque, Kasper regrette que le cardinal Müller appelle la doctrine de la Sainte Trinité une "différence fondamentale" qui sépare l'Église des juifs et des musulmans. Pour Kasper, cette position met "la paix mondiale" en danger. Par conséquent, il appelle cela une "demi-vérité".
La déclaration de Müller selon laquelle "le prêtre poursuit sur la terre l'œuvre de rédemption" n'est pas plus acceptable pour Kasper, car - sans blague - elle blesserait les victimes d'abus.
Il va sans dire que Kasper contredit l'enseignement catholique, réaffirmé par le cardinal Müller, selon lequel les divorcés remariés ne peuvent pas recevoir la Sainte Communion.
À la fin, Kasper joue la carte des émotions en disant qu'il est "totalement horrifié" de la mention par le cardinal Müller de la "supercherie de l'Antéchrist" (2 Thess 2:10). Cette référence innocente et vraie à Saint-Paul rappelle à Kasper "presque littéralement l'argumentation de Martin Luther". Mais pourquoi saint Paul serait-il "luthérien"?
Le philo-luthérien Kasper suggère même que le cardinal Müller est un "Luther redivivus", un "Luther ressuscité" - comme si la proclamation de la foi catholique était "luthérienne".
Il l'accuse de s'engager dans des réformes "sans et contre" le pape. Mais ce n’est pas Müller, c’est Kasper qui, en juillet 1993, a publiquement défié la doctrine catholique et le pape Jean-Paul II en permettant aux adultères de recevoir la Sainte Communion.
Reste un mystère d’iniquité : pourquoi, moins de dix ans plus tard, Jean-Paul II avait fait de ce dangereux libéral un cardinal.
Image: Walter Kasper, © Mazur/catholicnews.org.uk, CC BY-SA, #newsUdgqkopwca
Le texte de Kasper a été publié par katholisch.de, le site des évêques hétérodoxes allemands.
Dans son attaque, Kasper regrette que le cardinal Müller appelle la doctrine de la Sainte Trinité une "différence fondamentale" qui sépare l'Église des juifs et des musulmans. Pour Kasper, cette position met "la paix mondiale" en danger. Par conséquent, il appelle cela une "demi-vérité".
La déclaration de Müller selon laquelle "le prêtre poursuit sur la terre l'œuvre de rédemption" n'est pas plus acceptable pour Kasper, car - sans blague - elle blesserait les victimes d'abus.
Il va sans dire que Kasper contredit l'enseignement catholique, réaffirmé par le cardinal Müller, selon lequel les divorcés remariés ne peuvent pas recevoir la Sainte Communion.
À la fin, Kasper joue la carte des émotions en disant qu'il est "totalement horrifié" de la mention par le cardinal Müller de la "supercherie de l'Antéchrist" (2 Thess 2:10). Cette référence innocente et vraie à Saint-Paul rappelle à Kasper "presque littéralement l'argumentation de Martin Luther". Mais pourquoi saint Paul serait-il "luthérien"?
Le philo-luthérien Kasper suggère même que le cardinal Müller est un "Luther redivivus", un "Luther ressuscité" - comme si la proclamation de la foi catholique était "luthérienne".
Il l'accuse de s'engager dans des réformes "sans et contre" le pape. Mais ce n’est pas Müller, c’est Kasper qui, en juillet 1993, a publiquement défié la doctrine catholique et le pape Jean-Paul II en permettant aux adultères de recevoir la Sainte Communion.
Reste un mystère d’iniquité : pourquoi, moins de dix ans plus tard, Jean-Paul II avait fait de ce dangereux libéral un cardinal.
Image: Walter Kasper, © Mazur/catholicnews.org.uk, CC BY-SA, #newsUdgqkopwca