Napo Lissou
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Car l’homme n’a pu troubler par son péché l’ordre suprême, ni forcer Dieu de modifier ses décrets, puisque la divine prévoyance avait marqué jusqu’où devait aller la malice de l’homme, et quel bien elle en devait tirer.
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De la chute du premier homme et de la prescience de Dieu

Mais Dieu ayant tout prévu, et le péché de l’homme ne pouvant échapper à sa prescience, c’est suivant les dispositions do cette prescience et …