Whiplash347
@Whiplash437
La grande réhabilitation a commencé
La Cour suprême vient de rétablir le pouvoir constitutionnel de Trump de révoquer les commissaires rebelles des agences fédérales. Pour la première fois en quatre-vingt-dix ans, le président peut faire le ménage. Les murs de la tyrannie bureaucratique se fissurent.
Depuis 1935, la présidence était une prisonnière. Une décision cachée, Humphrey’s Executor v. United States, avait créé un bouclier autour des bureaucrates non élus, enfouis au sein des soi-disant agences indépendantes. Ils ne pouvaient pas être renvoyés. Ni par le Congrès. Ni par le peuple. Pas même par le commandant en chef.
C’étaient les châteaux de l’« État profond » au cœur du gouvernement. Protégés. Intouchables. Rédigeant des règles ayant force de loi sans rendre de comptes à quiconque. Pendant des décennies, ils ont dicté la politique, détruit la responsabilité, et transformé chaque président en simple figurant dans sa propre maison.
Cela a pris fin cette semaine.
Dans une décision que peu attendaient, mais que l’histoire n’oubliera pas, la Cour suprême a confirmé que le président Trump dispose de la pleine autorité constitutionnelle pour révoquer les commissaires démocrates Mary Boyle, Richard Trumka Jr. et Alexander Hoehn-Saric de la Consumer Product Safety Commission (Commission de sécurité des produits de consommation).
La Cour a rappelé à la nation que le pouvoir exécutif appartient au président seul. Pas aux agences. Pas aux conseils. Pas à des avocats sans visage.
La décision, adoptée à six voix contre trois, a fait exploser les fondations de l’immunité bureaucratique. Trump peut désormais limoger tout commissaire qui fait obstacle à la réforme, démanteler les mandats idéologiques et reprendre le contrôle exécutif sur des agences qui fonctionnaient comme des empires privés.
Ce jugement établit un précédent qui pourrait se propager dans chaque recoin du labyrinthe fédéral — FTC, SEC, NLRB, CDC, FDA, DOE.
Des centaines d’opérateurs non élus, dissimulés derrière le mot « indépendant », sont désormais exposés.
La Consumer Product Safety Commission n’est que le début. Près de 700 postes à Washington reposent sur le même modèle. Avec ce jugement, Trump détient l’arme légale qui lui avait été refusée lors de son premier mandat. L’épée est de retour dans ses mains.
Au sein de l’État profond, la panique a déjà commencé. Pendant des décennies, ils n’avaient pas besoin de gagner des élections. Il leur suffisait de contrôler ceux qui restaient en place.
En plaçant des agents loyaux dans des postes intouchables, ils s’assuraient que leur programme survivait à chaque présidence.
Ils rédigeaient des lois sous couvert de réglementation. Ils censuraient des industries à travers des « normes de sécurité ». Ils modifiaient la politique sans jamais se soumettre à un vote. Cette structure s’effondre désormais.
Cette décision ne concerne pas les effectifs. Elle concerne la souveraineté.
Le coup d’État caché entamé il y a quatre-vingt-dix ans vient d’être renversé. L’État non élu ne surpasse plus l’État élu.
L’échafaudage juridique qui protégeait ce régime est démantelé, pièce par pièce.
C’est pourquoi les médias gardent le silence. Ils comprennent ce que cela signifie.
Si Trump use de cette autorité — et il le fera — toute l’architecture du gouvernement de l’ombre s’effondrera.
Les agences qui ont instrumentalisé la politique à des fins idéologiques seront dépouillées de leur pouvoir.
Les mandats seront annulés. Les infiltrés politiques seront écartés.
L’armée invisible de l’État profond est enfin à portée de main.
Le second mandat de Trump commence maintenant, avec le pouvoir qui lui avait été refusé en 2016.
La présidence n’est plus une cage. C’est un poste de commandement.
Il peut purger l’État administratif, reconstruire des institutions fédérales responsables devant le peuple, et restaurer un gouvernement au service de ses citoyens plutôt que de ses maîtres.
C’est la Grande Restauration. La fin de quatre-vingt-dix ans d’humiliation de l’exécutif. Le jour où l’équilibre revient. L’État profond avait enterré la présidence sous la paperasse et appelé cela la démocratie.
Mais les chaînes ont été rompues. Et Trump tient désormais la hache.