Mettons fin aux mutilations d’enfants — ensemble, en France et dans le monde
Chers amis,Je suis heureux de vous informer que le Salon beige s’associe activement à la campagne Children of the world, lancée par mon ami Brian Brown à la tête de l’International Organization for the Family.
Il s’agit de faire interdire sur toute la planète les mutilations de mineurs que les médias wokistes appellent « transition de genre » (comme si l’on pouvait transformer un homme en femme ou inversement !). Ce terrible fléau prospère sur une donnée bien connue : les adolescents sont assez souvent mal dans leur peau et désemparés face aux changements de la puberté. Mais ce qui est une réalité vieille comme le monde est aujourd’hui utilisée pour les convaincre qu’ils ne sont pas nés « dans le bon corps » et qu’il suffirait de les charcuter pour que tout aille mieux. Evidemment, non seulement ils ne vont pas mieux, mais ils sont irréversiblement détruits ! Nous devons absolument mettre un terme à cette horreur : toute mutilation d’un enfant mineur devrait être purement et simplement interdite (il n’y a pas plus de mutilation « éthique » que de torture « éthique » ou d’esclavage « éthique » !). D’une part parce qu’un mineur n’a pas le recul nécessaire pour choisir de « changer de sexe » ; d’autre part parce que ces changements sont irréversibles.
Cette campagne est à la fois mondiale, au sens où nous la lançons dans tous les pays, et nationale, au sens où nous voulons faire évoluer chaque législation nationale.
Pour ce qui nous concerne, en France, nous voulons faire voter à l’Assemblée une loi qui a déjà été votée au sénat, à l’initiative de la sénatrice LR Jacqueline Eustache-Brinio – et qui prévoit d’interdire les « transitions de genre » (qu’elles soient à base de traitements hormonaux ou chirurgicaux) chez les mineurs.
Un groupe de grands donateurs a promis de doubler chaque euro donné, jusqu’à 300 000 € d’ici le 31 décembre !
Votre don de 50 € devient 100 €
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Votre don de 500 € devient 1 000 €
Mais je vous avoue que j’aimerais beaucoup faire mieux encore.
Mon rêve est d’organiser le premier référendum d’initiative partagée sur ce sujet. Pour cela, il nous faut deux choses :
- Tout d’abord, 20% des parlementaires (c’est-à-dire autour de 185 députés et sénateurs) – ce qui est facilement accessible puisqu’au sénat seulement 180 sénateurs ont voté pour.
- Ensuite, 10% des électeurs, c’est-à-dire un peu plus de 4,5 millions d’électeurs. Un tel nombre n’a jamais été réuni. Mais ce n’est pas impossible.
D’abord parce que, dans tous les pays, une majorité de citoyens sont hostiles ou réservés à la mutilation des mineurs. Et aussi parce que nous menons cette campagne avec le soutien des meilleurs spécialistes de la mobilisation digitale (nos amis américains ont mené des dizaines de campagnes référendaires « conservatrices », y compris en Californie, l’un des Etats les plus « progressistes » des Etats-Unis).
En tout cas, nous devons faire le maximum. Au moins pour faire pression sur l’Assemblée.
Nous le devons en particulier à tous ces enfants qui « détransitionnent » – c’est-à-dire qui, après avoir été dupés par la propagande wokiste et après avoir subi un traitement irréversible, disent publiquement qu’ils regr
ettent de n’avoir pas rencontré d’adultes les invitant à accepter leur sexe de naissance pour s’épanouir. Comme Chloe Cole – qui a donné son nom à la loi actuellement débattue aux Etats-Unis pour interdire dans tout le pays les mutilations de mineurs.
Nous devons protéger nos enfants !
Guillaume de Thieulloy
Directeur du Salon Beige