Regardez au-delà. Une approche ‘‘légale’’ du crime psychopandémique – Intervention de Mgr Carlo Maria Viganò à Varese (Italie)

Une vision folle et anti-humaine qui considère
l’humanité comme le cancer de la planète.


Vidéo en italien de l’intervention de Mgr Viganò :

Le père dont vous êtes issus, c’est le diable, et vous voulez accomplir les desseins de votre père. Il a été homicide dès le commencement,et n’est point demeuré dans la vérité, parce qu’il n’y a point de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds, car il est menteur et père du mensonge. [Jn 8, 44]
L’un des effets les plus immédiats de l’infernale opération manipulatrice de la psychopandémie est le refus des masses de reconnaître qu’elles ont été l’objet d’une fraude colossale. Sous prétexte d’empêcher la propagation d’un virus, présenté comme mortel et incurable – et dont on sait aujourd’hui qu’il n’a jamais été isolé selon les postulats du Dr. Koch – des milliards de personnes ont été contraintes de se faire inoculer un sérum expérimental dont on savait qu’il était inefficace pour l’objectif déclaré. Et pour ce faire, les autorités en charge n’ont pas hésité à discréditer les traitements existants, ce qui aurait rendu impossible l’autorisation de vente de ce sérum génique.
La raison de ce refus instinctif des masses de se reconnaître victimes d’un véritable crime contre l’humanité n’enlève cependant pas l’évidence des intentions des auteurs de ce crime.
Ces intentions, déclarées depuis des décennies sur la base d’une falsification grotesque de la réalité, se concrétisent dans une action systématique visant à favoriser le dépeuplement de la planète par les pandémies, les famines, les guerres et les affrontements entre différentes couches de la population, l’appauvrissement des classes les plus faibles et la réduction drastique des services publics – y compris la santé et la sécurité sociale – que l’État devrait garantir à ses citoyens. L’Institut Bill & Melinda Gates pour la population et la santé reproductive [Bill & Melinda Gates Institute for Population and Reproductive Health, ici et ici] est l’un des principaux architectes d’un plan de réduction de la population qui part du présupposé néo-malthusien que la population de la Terre doit être drastiquement réduite, et que ses ressources alimentaires et énergétiques doivent faire l’objet d’interventions qui favorisent cette réduction. Les déclarations confirmant ce plan d’extermination ne sont même plus cachées : au contraire, elles sont explicitement réitérées dans les congrès et les études produites par le réseau d’organismes et d’instituts financés par des philanthropes autoproclamés.
Mais si un lobby de personnages très riches déclare qu’il veut réduire la population mondiale par des vaccinations de masse qui provoquent stérilité, maladies et mort ; et si ces vaccinations provoquent effectivement stérilité, maladies et mort chez des millions de personnes vaccinées, je crois que nous devrions tous – et j’adresse mon appel aux éminents juristes et intellectuels, ainsi qu’aux médecins et aux scientifiques – lever le regard et ne pas nous limiter à une enquête qui a pour seul objet les effets néfastes et mortels du sérum expérimental. Si nous n’encadrons pas la gestion de la psychopandémie dans le contexte plus large du plan criminel qui l’a conçue, nous nous excluons de la possibilité non seulement de comprendre la préméditation du crime, mais aussi de voir sur quels autres fronts nous sommes ou serons l’objet de nouvelles attaques, qui, cependant, ont en commun avec elle le but ultime, c’est-à-dire l’élimination physique de milliards de personnes.
Les failles du capillaire système de censure qui s’instaure dans presque tous les États occidentaux – ou plutôt : de ceux qui sont soumis aux diktats de l’OMS et à la coupole subversive du Forum Économique Mondial – ont permis à beaucoup d’entre nous de voir démontré un fait indiscutable : ces sérums, produits par des agences gouvernementales utilisant des virus génétiquement modifiés avec le gain de fonction et soumis au secret militaire, non seulement ne servent pas à guérir la fantomatique maladie du Covid-19, mais ils induisent de graves effets adverses et même la mort ; et cela n’est pas seulement dû à la nouvelle technologie de l’ARNm avec laquelle ils sont produits, mais à la présence de substances qui n’ont aucun rapport avec l’objectif déclaré de combattre le virus. Des substances – dont l’oxyde de graphène – qui, par coïncidence, font l’objet de brevets pour le moins inquiétants, déposés bien avant le lancement de l’opération pandémie.
Par conséquent, étant donné que ces sérums ne font pas ce qui a été déclaré dans l’approbation par les agences de santé, mais qu’au contraire ils s’avèrent très efficaces pour induire des pathologies même très graves, pour causer la mort et pour déterminer la stérilisation des vaccinés, il est nécessaire de passer à l’étape suivante – qui est la plus redoutée par le système qui les a imposés – et donc de dénoncer la malveillance et la préméditation – la mens rea, diraient les juristes – de ceux qui ont délibérément utilisé une fausse pandémie pour exterminer la population, conformément à une vision folle et anti-humaine qui considère l’humanité comme le cancer de la planète.
C’est pourquoi je vous invite à faire le pas suivant dans cette opération louable de vérité et de dénonciation dans laquelle vous vous êtes courageusement engagés.
Ne posez pas les mauvaises questions, car vous obtiendrez les mauvaises réponses. Si vous supposez que les autorités sanitaires ont agi à des fins légitimes et que les erreurs commises sont dues à l’inexpérience ou à la pression de l’urgence ; si vous tenez pour acquis que les producteurs de sérum génique ont pour but de guérir les maladies et non de créer des malades chroniques, ainsi que le profit le plus cynique, vous finirez par falsifier la réalité, et les conclusions auxquelles vous arriverez seront nécessairement trompeuses. Avoir plutôt une approche médico-légale, pour ainsi dire, afin qu’il soit évident qu’il y a une parfaite cohérence entre les moyens adoptés et les résultats obtenus, quels que soient les objectifs déclarés ; sachant que les véritables motivations, précisément à cause de leur volonté intrinsèque de nuire, ne pouvaient être que dissimulées et niées. Qui n’admettrait jamais, avant d’imposer frauduleusement une thérapie génique de masse, que l’objectif qu’elle entend atteindre est de rendre malade, tuer ou rendre stérile une très grande partie de la population mondiale ?
Mais si c’est ce que l’idéologie néo-malthusienne vise à réaliser ; s’il existe des preuves que les effets adverses des sérums ont été dissimulés de manière criminelle ; si dans les différents lots il y a des substances qui n’ont pas de justification prophylactique mais qui, au contraire, induisent des pathologies et permettent de falsifier l’ADN humain, les conclusions logiques ne peuvent manquer de mettre en évidence la volonté criminelle, et donc la complicité coupable des institutions publiques, des entités privées, même de la hiérarchie catholique, des médias, des magistrats, de la police et des forces armées, et de toute la classe médicale – sauf pour de très rares exceptions – dans une opération d’extermination de masse.
La question que nous devons maintenant nous poser – et que nous devons poser à ceux qui prétendent nous gouverner et nous imposer des règles et des comportements qui affectent directement notre vie quotidienne et notre santé – n’est pas de savoir pourquoi les sérums ont été imposés, alors qu’ils sont manifestement nocifs et mortels, mais pourquoi aucun organe de l’État – dont le but ultime est le bien commun, la santé et le bien-être des citoyens – n’a mis fin à ce crime, et en est même devenu complice, allant jusqu’à violer les droits fondamentaux et piétiner la Constitution. Et une fois que l’on comprend la complicité du pouvoir judiciaire, du Parlement, du Gouvernement et du Chef de l’État, il faut se demander quelle peut et doit être la réponse des citoyens – que l’article 1 de la Constitution reconnaît comme les seuls détenteurs de la souveraineté nationale – face à un acte subversif et à une trahison du pouvoir.
Quis custodiet ipsos custodes ? demande Juvénal (Satires, VI, 48-49).
Si un système de gouvernement en vient à être structuré de telle sorte que ceux qui sont constitués en autorité peuvent nuire à ceux qui doivent leur obéir ; si des forces non légitimées par un mandat politique ou social parviennent à manœuvrer des gouvernements entiers et des institutions supranationales avec l’intention de s’approprier le pouvoir et de concentrer entre leurs mains tous les instruments de contrôle et toutes les ressources – finance, santé, justice, transport, commerce, alimentation, éducation, information ; si une coupole subversive peut se vanter publiquement d’avoir à son service des Premiers ministres, des ministres et des fonctionnaires, nous devons ouvrir les yeux et dénoncer l’échec de ce pacte social qui est à la base de la coexistence civile et qui légitime la délégation d’autorité par le peuple à ses représentants. Et de là, inévitablement, doit surgir la prise de conscience que la pandémie – ainsi que l’urgence climatique et toutes les autres pseudo-catastrophes envisagées à des fins d’intimidation par le même lobby – constitue une pièce fondamentale dans le cadre d’un coup d’État mondial plus large auquel il faut s’opposer, qu’il est essentiel de dénoncer et dont les auteurs – tant au sommet de ces organisations subversives que dans les gouvernements, dans les institutions publiques et dans l’Église catholique – seront inexorablement jugés et condamnés pour haute trahison et crimes contre l’humanité.
Mais pour ce faire – vous devrez le reconnaître, après quatre ans – il est essentiel de comprendre que ce lobby criminel agit pour le Mal, sert le Mal, poursuit la mort non seulement du corps mais aussi de l’âme de chacun de nous ; que ses émissaires sont des serviteurs de Satan, dévoués à la destruction de tout ce qui ressemble même de loin à l’œuvre parfaite de la Création, qui renvoie à l’acte généreux et gratuit par lequel le Créateur insuffle la vie. Satan est meurtrier depuis le commencement (Jn 8,44) et ceux qui le servent ne peuvent que désirer la mort, quels que soient les moyens par lesquels elle est infligée.
Prétendre avoir affaire à de vils marchands intéressés uniquement par l’argent et ne pas voir la matrice satanique du plan mondialiste est une erreur impardonnable qu’aucun d’entre nous ne peut commettre, si nous voulons vraiment arrêter la menace qui plane sur l’ensemble de l’humanité. Pour cela, je vous assure de mes prières et j’implore sur vous la Bénédiction de Dieu et la protection de la Sainte Vierge, Salus Infirmorum.
+ Carlo Maria Viganò, Archevêque
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