François tempête contre "les jeunes prêtres [qui] achètent des soutanes"
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François sait que les jeunes prêtres en soutane sont l'avenir alors que lui appartient aux années 1960. Pour François, le "cléricalisme" est un "fouet", un "fléau", une "forme de mondanité" qui souille et abîme le visage de l'Église. Personne ne sait ce qu'il entend par "cléricalisme".
Ensuite, le dictateur s'est livré à un autoportrait : "Lorsque les clercs outrepassent leur ministère et maltraitent le peuple de Dieu, ils défigurent le visage de l'Église par des attitudes sexistes et dictatoriales".
Il a énigmatiquement mis en garde contre le fait que son Église devienne un "supermarché du salut" où "les prêtres sont de simples employés d'une multinationale". C'est la "grande défaite à laquelle nous conduit le cléricalisme". Qu'est-ce que le "cléricalisme" a à voir avec les "employés d'une multinationale" ou le "supermarché du salut" ? Qu'est-ce qu'un "supermarché du salut" ?
Même le site lénifiant IlSismografo.Blogspot.com en a assez de l'hypocrisie de François et pose les questions difficiles :
• Pourquoi a-t-il permis au cardinal Semeraro d'accepter une soutane rouge de 6 000 euros offerte par un groupe d'amis ?
• Pourquoi n'a-t-il jamais parlé du scandale de l'ancien jésuite Marko Rupnik, coupable de faits bien plus graves et inquiétants ?
• Pourquoi n'a-t-il pas parlé du vice-secrétaire d'État, Edgar Peña, qui, peu après sa nomination, a fait transformer son bureau et sa résidence privée dans le palais apostolique par des rénovations très coûteuses ?
Image: Pool Vatican Media, #newsGcadlihopn
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