Avant l'état était lié au Dieu du ciel, ils ont sorti la religion des institutions pour faire croire au peuple que le spirituel serait réservé aux choses privées, mais la laïcité n'est pas ce que vous pensez, c'est une religion maçonnique qui relie au spirituel satanique, si vous chassez la Lumière, les ténèbres prennent sa place, il n'y a aucun état entre les 2. Enlevez Dieu et Satan prendra peu à peu ses aises.
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Remid67 on GETTR : Avant l'état était lié au Dieu du ciel, ils ont sorti la religion des institutions pour faire croire au peuple que le spirituel sera...
Voici ce que saint Jean Bosco (1815-1888), cet immense saint, pensait de la "Liberté Religieuse" : Dans ses Mémoires, il écrivait : «Les chefs des sectes cherchaient à établir un État qui ne gouvernerait plus au nom de Dieu, ni ne légiférerait selon Dieu, mais au nom du peuple et selon la volonté changeante du peuple, qu’ils auraient eux-mêmes façonnée par leurs artifices. Ils voulaient renverser peu à peu ce qu’ils avaient hypocritement prêché jusqu’alors comme devant être respecté, mais de telle manière que les peuples ne s’en rendent pas compte, ou seulement lorsqu’ils y seraient déjà préparés par la corruption des mœurs, par les erreurs absorbées à travers les journaux, les livres, les théâtres, les écoles et les assemblées politiques. Dans ce but, prêchant la nécessité de l’indépendance de la nation, ils se faisaient apôtres de la liberté de pensée, de conscience, de religion et de presse. Cette liberté était définie par Saint Pierre comme Velamen habentes malitiae libertatem, c’est-à-dire rien d’autre, au fond, qu’une guerre contre tout ce qui, de près ou de loin, rappelle à l’orgueil humain qu’il existe un Dieu à qui une obéissance absolue est due. C’est pour cela que les législateurs sectaires ont proclamé et proclament encore : Nous sommes la loi, et au-dessus de la loi, il n’y a personne, ni Dieu, ni l’Église. Ils considéraient l’Église catholique comme une simple société privée, sans valeur, sans droits, sans intérêt pour la vie civile, séparée de l’État, et, pire encore, comme une ennemie à combattre sans relâche. Rex sum ego ! proclama Jésus-Christ. Mais ils lui répondent : Nolumus hunc regnare super nos !»
C'est pas compliqué, la laïcité c'est le Culte de l'Homme qui se fait Dieu, qui a tous les droits et qui décide de tout, y compris et surtout de ce qui n'appartient qu'à Dieu. Un jour c'est Robespierre, un autre c'est Hitler, un autre encore c'est Staline ou Macron avec sa propagande pour des moeurs dévoyées. Le Sacré-Coeur de Jésus veut régner sur la France mais la Démocratie Maçonnique ne le veut pas du tout; aucune "neutralité" possible là-dedans : c'est oui ou c'est non, c'est Jésus qui règne ou c'est l'Homme "libre" (indépendant, libéré de Dieu) qui règne; on est pour ou on est contre, pas de "neutralité" possible, il faut choisir. Et l'Homme libéré de Dieu devient incapable de résister à ses vices (orgueil, envie, colère, cupidité et avarice, luxure, gourmandise et paresse) et tombe infailliblement, inéluctablement, obligatoirement sous les pattes de satan qui se régale. Si tu veux pas que le Sacré-Coeur règne sur la société, c'est satan qui règnera sur la société. Cherchez pas, c'est impossible autrement, pas d'échappatoire à ce dilemme ! Quant au fait de remiser Dieu dans le privé, dans les "consciences" ou les sacristies (et encore !), c'est un truc de protestant, un truc pas catholique du tout : dans la société maçonnique, la conscience du type qui a la Foi a exactement la même valeur, les mêmes droits que la conscience de l'athée, du mahométan, du talmudiste ou du franc-maçon. Celui qui tranche dans tout ça, c'est l'Homme débarrassé de Dieu, l'homme "laïc".
2 autres commentaires de Catholique et Français
La laïcité est une monstrueuse injure faite à Dieu. Hypocritement elle prétend être une neutralité alors qu’elle signifie interdiction à Dieu de se manifester dans la sphère publique qui est réservée au Culte de l’Homme qui se fait Dieu. En France, ce régime abominable s’est imposé en 1789 par le mensonge, la cautèle, la ruse et la violence et en chassant le Christ du trône qu’Il occupait depuis presque 1300 ans. « Nous ne voulons pas qu’Il règne sur nous ! », on connaît ça depuis longtemps, mais ils n’auront pas le dernier mot…
N'oublions pas les communistes infiltrés au XXe siècle dans l'Eglise avec mission d'y infiltrer toute la hiérarchie pour grimper vers les sommets et saboter l'Eglise de l'intérieur.
La période post conciliaire et la période actuelle (même si l'état soviétique a disparu) forment deux apothéoses dans ces sabotages : J.P. II et Benoît XVI ont freiné les dérives. Mais l'actuelle "mise à blanc" n'est pas la moins ravageuse...
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