Montfort.
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Fait beau « Oui » Ça mouille « Ouais » Lequel a raison ? « Les deux ensemble »

Article précédent : Sous l'Antéchrist, l'absurdité n'a plus de limites : les petits hommes verts ne vont pas tarder à débarquer !!!

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Le Pape François ne serait-il pas (un peu) péroniste ?

Pro Liturgia, le jeudi 19 juillet 2018

D’après Matthias Rüb, rédacteur au journal FAZ ( Frankfurter Allegemeine Zeitung), il semblerait que le pape François ne soit pas seulement un compatriote de Juan Perón, mais aussi un bon élève de l’ancien président argentin.

Dans son article intitulé « Vous avez tous raison », le journaliste rappelle que le président Juan Perón (1895-1974) avait été critiqué par son neveu pour avoir donné raison, coup sur coup, à deux groupes de pression aux positions radicalement opposées ; ils les avaient renvoyés tous les deux avec un réconfortant : « Vous avez tout à fait raison ».

Matthias Rüb raconte que Perón « était toujours d’accord avec tout le monde » et qu’ainsi il pouvait « imposer n’importe quelle décision selon son bon vouloir ». Perón était connu pour son populisme, pour « avoir mené à sa perfection le culte de la personne et la détention totale du pouvoir sans le moindre arrière-fond idéologique ».

Le journaliste rappelle que le pontificat de l’actuel pape argentin avait déjà été décrit comme « une application du péronisme dans le domaine religieux » ; il voit dans l’attitude de François face aux évêques allemands dans les discussions autour de la « communion pour tous » un nouvel exemple confirmant cette comparaison.

Le journaliste décrit en effet la situation comme suit : le pape François a commencé par répondre à chacun des deux groupes d’évêques allemands rassemblés l’un derrière le cardinal Reinhard Marx, l’autre derrière le cardinal Rainer Maria Woelki : « Vous avez tout à fait raison ». Puis il a demandé au cardinal Luis Ladaria, Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la Foi, d’envoyer à la Conférence épiscopale allemande une lettre dans laquelle il refuse l’officialisation des propositions qui lui avaient été soumises - à savoir une ouverture des conditions d’accession à la communion - s’appuyant sur le fait que cette question concernait l’Église universelle et devait de ce fait être discutée par les dicastères compétents à Rome. Cette décision pouvait être comprise à bon droit comme un coup de frein donné au processus œcuménique et comme une victoire pour le groupe conservateur regroupé autour du cardinal Woelki. Sur ce, le pape, qui, avec cette lettre du cardinal Ladaria avait tout attiré à soi et à la Congrégation pour la doctrine de la Foi, retourne l’affaire entre les mains des évêques locaux ! Ainsi, le groupe de la gauche libérale regroupée autour du cardinal Marx se sent à nouveau dans son plein droit.

D’autre part, ces « propositions » de François non officialisées ont été débaptisées, devenant des « orientations », des « pistes de réflexion », et ont été publiées sous ces appellations. Parmi les 27 évêchés que compte l’Allemagne, 9 se sont exprimés jusqu’ici à ce sujet, se disant tous encore plus désorientés qu’auparavant.

Pour finir, Matthias Rüb note que « ce qui devait rester valable pour des cas isolés, exceptionnels, va devenir la règle pour tous ».

Bien qu’au départ le degré d’exigence posé par le droit canonique à la participation à l’Eucharistie soit plutôt élevé, dans les faits il s’agira plutôt, à l’avenir, d’une irrémédiable dégradation de la doctrine catholique : lors des messes, on célèbrera la convivialité autour de l’ « absence réelle » de Dieu.

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A Rouffach, paroisse du diocèse de Strasbourg dotée d’une magnifique (mais mal entretenue) église du XIIIe siècle, la désacralisation et la profanation de l’église en question vont bon train dans l’indifférence des paroissiens - de moins en moins nombreux - ainsi qu’avec le soutien les élus locaux dont la religion est le cadet des soucis et du curé dont le comportement ne permet pas de savoir s’il croit ou non aux responsabilités du sacerdoce qu’il entend exercer.

L’espace d’un festival de musique, donc, l’église paroissiale... n’est plus une église mais une salle de concert : le transept est barré en son milieu par un immense podium qui s’avance jusqu’à la hauteur des premiers bancs de la nef ; ce podium est entouré d’immenses tentures qui, sur trois côtés, tombent de la voûte ; l’une d’elle dissimule totalement le chœur. Quand au chœur, justement, puisqu’il est caché, il sert de vestiaire (la sacristie étant trop petite) : dans un coin, on y a poussé l’autel-face-au-peuple, le siège du célébrant, l’ambon... Dans un autre coin, c’est un véritable bric-à-brac. En visitant ce chœur, j’ai vu que quelqu’un avait oublié une veste : elle avait été accrochée à un bras de la croix d’autel datant du XVIIIe siècle. Tout ça devant l’ancien maître-autel dont le tabernacle - si l’on en croit la petite lampe rouge demeurée allumée - abrite le Corps du Christ.

Se recueillir dans cette église alsacienne, ou simplement la visiter, relève d’une mission impossible : y entrer pendant un concert est illusoire ; y entrer pendant une répétition des artistes vous fait prendre le risque d’être refoulé.

Le festival attire beaucoup de mélomanes qui ne savent plus qu’ils sont dans une église ou, s’ils le savent, s’en moquent : brouhaha, rires, conversations bruyantes, échanges de bises, papiers jetés sur le pavage...

Après ça, on entendra certaines personnes se lamenter sur la perte des valeurs ou critiquer certaines conduites irrespectueuses. « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes », disait Jacques-Bénigne Bossuet, évêque de Meaux.

Source : www.proliturgia.org/actua.html

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Album ACTU


>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez
AJPM
Pour eux, Benoît est tout blanc
Et Bergoglio est tout noir.
En fait, tous les six sont noirs
Et aucun d'eux n'est blanc.
De Jean XXIII à François,
C'est un tout homogène :
Pour qui n'a pas compris cela,
Son espérance sera vaine.
Montfort AJPM
La tactique est toujours la même,
Et cela depuis Vatican II ;
Qui n'a pas compris ce stratagème,
Bien sûr n'y voit que du bleu.
Certains disent qu'avant François,
Tout allait comme de soi :
En deux-mille-treize, ils mettent la coupure !
Voilà de fausses conjectures.
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GChevalier
L'Antéchrist est une personne
Qui dépasse beaucoup Perón !
Certes, il a de ses manières
En disant oui à toute affaire,
Aussi le tout et son contraire.
En cela n'est pas son mystère
Mais une bien piètre partie
Puisqu'il est ce que Saint Paul dit.
Montfort.
Il faut avoir la volonté de se confier en Dieu parce qu'il a promis de nous aider ;
Je vous promets, dit Antéchrist en réfléchissant,... la lune !