Tous les cardinaux américains créés par François sont les acolytes d'un "pervers et menteur"

Le remplacement de la doctrine par des politiques sociales gauchistes est une fatalité pour des millions de fidèles catholiques, écrit Daniel J. Mahoney, professeur émérite à l'Université de l'Assomption, sur AmericanMind.org (20 septembre).

• En déclarant que "l'injustice planétaire", "le changement climatique", "la dette du tiers monde" doivent être le centre d'intérêt de l'Eglise, ajoutant que la politique est la "forme la plus élevée de charité", François se fait le porte-voix du blabla pseudo-spirituel du New Age.

• François élude la religion chrétienne par un militantisme social et une politique irréfléchis.

• Il n'y a aucune présence visible du péché originel dans sa théologie.

• François invoque le besoin de miséricorde sans l'appel au repentir qui l'accompagne, transformant ainsi la miséricorde en paresse morale et en relativisme.

• François est obsédé par le changement climatique et l'aborde par l'idéologie, un culte païen de la terre et un apocalyptisme sécularisé.

• Humanae Vitae de Paul VI se voit désintégré par excès volontaire d'interprétation

• Tous les cardinaux créés par François ont été des acolytes du cardinal McCarrick, "un pervers, un menteur et un abuseur par excellence".

• François historicise la doctrine chrétienne, annulant la loi morale immuable.

• Pour François, le "Saint Esprit" est en accord avec le Zeitgeist décadent.

• Le jugement privé de François ne peut prendre le pas sur la loi morale, l'héritage apostolique et les enseignements immuables de l'Église.

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