@crocodile Sauf que s'il ne suivait pas le plan, il sautait automatiquement ! Donc il appliquait ce qui était 'suggéré'... C'est comme pour les employés dans les hôpitaux. Pour les injections, fais ce que l'on te suggère (fortement). Tu le fais librement, et à défaut, on te coupe les vivres tout simplement... N'est-ce pas merveilleux ! Au Québec, ça s'en vient spécial. Les employés n'ont plus l'obligation de se faire injecter. Alors ceux qui refusent les injections doivent se faire tester dans le nez avec les tests rapides 3 fois par semaines. C'est une forme de représailles du gouvernement pour punir ceux qui ont refusé les injections salvatrices... Se faire injecter ou bien se faire tester par routine, ça doit certainement équivaloir à bien des injections. Le but est le même d'inoculer quelque chose, parce qu'ils refusent d'offrir le test par gargarisme qui consiste à donner un échantillon plutôt que de se faire entrer quelque chose d'inconnu dans le nez à répétition... Et ceux qui refusent les tests à répétition, bien ils se font couper les vivres !!! Est-ce que les tests rapides inoculent quelques choses dans le nez des personnes testées à répétition ? Si on refuse les injections libres, il est plus sage de refuser cette forme de harcèlement. Ceux qui ont déjà été injectés deux fois, même si ça fait maintenant plus d'un an ont la paix ! Ah oui ? Alors c'est comme si le 'vaccin' après tout ce temps était toujours efficace... et qu'il n'ont pas besoin d'être testés... Combien de temps encore les 'deux dosés' pourront éviter les tests à répétition ? Je crains qu'ils les forcent bientôt à se faire injecter à nouveau à défaut de commencer à se faire tester sans cesse. C'est comme ça que ça se passe au Québec. Donc le licenciement déguisé dans la santé n'est pas à cause du refus des injections, mais du refus d'être testés à outrance, et tant qu'à moi, c'est la même chose !