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Cardinal Farrell : NON, François n'est pas un hypocrite

Les critiques de François opposent à sa [fausse] image d'"apôtre de la miséricorde de Dieu" - une illusion créée par les médias officiels - une "image inventée (sic) d'un style autocratique interne qui ne permet aucune dissidence", se plaint le cardinal Farrell, préfet pour les laïcs, sur AmericaMagazine.org (28 mars),

Il cite des fonctionnaires du Vatican anonymes qui ont "soi-disant" peur de dire ce qu'ils pensent vraiment et manquent de confiance les uns envers les autres, ce qui fait que l'état actuel de l'Église n'est pas discuté honnêtement aux niveaux les plus élevés de la gouvernance de l'Église.

Farrell répond par cet argument : "De tels experts croient-ils vraiment que François est capable d'une telle hypocrisie ?" [La réponse est, oui].

Comme on pouvait s'y attendre, Farrell se réfugie dans l'habituelle théorie du complot selon laquelle les critiques de François "promeuvent leurs propres agendas anti-François". [alors qu'ils défendent la foi catholique].

Pour Farrell, il s'agit d'une injustice à l'égard d'un "pape courageux" qui a appelé l'Église à affronter l'avenir sans crainte. Nul courage n'est nécessaire pour suivre aveuglément François, comme le fait Farrell.

Image: Kevin Farrell © Mazur, CC BY-NC-SA, #newsKfzogioeuk

Etienne bis
Le caudillo est, bien sûr, d'une malhonnêteté crasse et d'une profonde hypocrisie. En effet...
1. Il se place au service d'une humanité... au-delà de la perspective catholique.
2. Et ça ne le dérange pas de se présenter comme le leader de cette famille religieuse. Celle qu'il déstabilise autant qu'il le peut, chaque fois qu'il le peut.
Par rapport à l'Eglise catholique, le caudillo est un ennemi …Plus
Le caudillo est, bien sûr, d'une malhonnêteté crasse et d'une profonde hypocrisie. En effet...

1. Il se place au service d'une humanité... au-delà de la perspective catholique.
2. Et ça ne le dérange pas de se présenter comme le leader de cette famille religieuse. Celle qu'il déstabilise autant qu'il le peut, chaque fois qu'il le peut.

Par rapport à l'Eglise catholique, le caudillo est un ennemi infiltré au sommet de son ennemi.