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Saint Isidore le Laboureur. Jusepe Leonardo Chabacier. GoyaMuseum Fête le 15 Mai Saint Isidore le laboureur Modèle d’un paysan chrétien très pieux (1070-1130) I sidore naît à Madrid, en Espagne, …Plus
Saint Isidore le Laboureur. Jusepe Leonardo Chabacier.

GoyaMuseum Fête le 15 Mai

Saint Isidore le laboureur
Modèle d’un paysan chrétien très pieux
(1070-1130)

I
sidore
naît à Madrid, en Espagne, de parents très pauvres qui ne purent le faire étudier, mais lui apprirent à aimer Dieu et à détester le péché. L'enfant devint bientôt très habile dans cette science, la meilleure de toutes. Quand il fut en âge de travailler, il se plaça comme laboureur chez un riche habitant de la ville, nommé Jean de Vargas.

Plus tard, il épousa une femme aussi pauvre et aussi vertueuse que lui, et il eut un enfant auquel il enseigna le service de Dieu. Un jour, cet enfant tomba dans un puits ; ses parents, désolés, adressèrent au Ciel de si ferventes prières, que l'eau du puits s'élevant jusqu'en haut, y apporta cet enfant plein de vie et de santé. En reconnaissance, les deux époux se séparèrent et vouèrent à Dieu une continence perpétuelle.

Quoiqu’occupé du grossier travail de mener la charrue, Isidore n'en avait pas moins des heures fixes et réglées pour ses exercices de piété. Les jours ordinaires, après avoir passé une partie de la nuit en oraison, il se levait de grand matin et s'en allait visiter les principales églises de Madrid ; les jours de fête étaient entièrement consacrés à suivre les offices et à prier.
Jamais il ne négligeait en rien son travail ; malgré cela, ses compagnons l'accusèrent auprès du maître, qui voulut s'assurer par lui-même de la vérité ; il regarda Isidore travailler, et vit deux Anges qui l’aidaient. Dès lors, Jean de Vargas conçut la plus grande estime pour son serviteur, et les bénédictions du Ciel se répandirent sur sa maison.
Isidore opéra des miracles en sa faveur ; il rendit la vie à un cheval dont on avait grand besoin; la fille de Jean de Vargas étant morte à la suite d'une maladie douloureuse, il la ressuscita. Un jour, en frappant du pied la terre, il fit jaillir, afin d'étancher la soif de son maître, une fontaine qui coule encore. À la suite de ces miracles, Jean de Vargas se déchargea sur Isidore du soin de sa maison.

Isidore était pauvre, et cependant il trouvait le moyen de se montrer libéral envers les indigents ; il partageait avec eux son dîner, et un jour qu'il avait tout donné, il pria sa femme d'aller voir s'il ne restait pas quelque chose : celle-ci trouva le plat qui venait d'être vidé, aussi plein que si personne n'y eût touché. Une autre fois, il avait été invité à un dîner de confrérie, et ses dévotions le retinrent si longtemps, qu'il arriva quand tout était fini.

Une multitude de pauvres le suivaient comptant sur ses restes. Les confrères lui dirent, d'assez mauvaise humeur, qu'on lui avait gardé sa part, mais qu'il n'y avait rien pour les mendiants. « C'est assez, répondit-il, cela suffira pour moi et pour les pauvres de Jésus-Christ. » En effet, on trouva un repas entier là où on n'avait mis de côté que quelques morceaux.

La femme d’Isidore, de son côté, donnait des marques d'une sainteté aussi grande que celle de son mari. Elle aussi faisait des miracles. Retirée dans un petit héritage, près de l'ermitage de Caraquiz, elle avait à traverser une rivière pour se rendre à une église de la Sainte Vierge qu'elle fréquentait assidûment. Un jour, elle trouva cette rivière débordée, et, avec une entière confiance dans la puissance de Dieu, elle détacha son tablier, l'étendit sur les eaux, et, à l'aide de cette barque d'un nouveau genre, passa tranquillement à l'autre bord.

Isidore meurt avant sa femme, en 1170, et on l'enterra sous une gouttière, dans le cimetière de Saint-André, où il fut oublié quarante ans. Alors il apparut à une dame vertueuse pour la presser de procurer l'élévation et la translation de son corps. Quand on l'eut retiré de terre, il fut trouvé aussi frais et aussi sain que s'il venait de mourir ; un parfum de délicieuse odeur embauma les airs, et toutes les cloches sonnèrent d'elles-mêmes. L'église de Saint-André fut choisie pour recevoir ses saintes reliques ; on y vit un grand concours de peuple ; de nombreux miracles s'opérèrent et firent croître et grandir la dévotion à saint Isidore.
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dvdenise MADRID: A Week-end Visit
✍️ À Madrid je les ai vénerés en 2018... Vidi Aquam 🤗
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✍️ María Toribia, conocida como Santa María de la Cabeza, según la tradición, ya que el dato no consta documentalmente, nació en Caraquiz, municipio de Uceda, provincia de Guadalajara, no obstante son varias las localidades que se disputan ser el lugar de nacimiento de la santa. Gran parte de su vida transcurrió a lo largo de la vega del río Jarama, a la cual pertenece geográficamente Cobeña …Plus
✍️ María Toribia, conocida como Santa María de la Cabeza, según la tradición, ya que el dato no consta documentalmente, nació en Caraquiz, municipio de Uceda, provincia de Guadalajara, no obstante son varias las localidades que se disputan ser el lugar de nacimiento de la santa. Gran parte de su vida transcurrió a lo largo de la vega del río Jarama, a la cual pertenece geográficamente Cobeña, al lado de su marido, San Isidro, que vino a parar a estas tierras sirviendo a su amo Iván de Vargas, noble que posiblemente ya ostentase el señorío de Cobeña, otorgado quizás junto con más tierras y heredades a los Vargas por el rey Alfonso VI tras la conquista de Madrid y debido al apoyo que esta familia prestó a dicho rey.

Cobeña, Talamanca de Jarama, Caraquiz, Torrelaguna, e incluso Uceda son pueblos vinculados a la vega del Jarama y que revindican la naturalidad de la Santa en su jurisdicción. Más aún, numerosos hechos prodigiosos se vinculan a las tierras de estos lugares que testimonian el posible origen de la Santa.

Tampoco existen datos documentales sobre la fecha de nacimiento como de defunción y todos son atribuidos a la tradición. No hay datos históricos que puedan confirmar o desmentir estas tradiciones. En 1629, en su obra A la muy antigua, noble y coronada villa de Madrid : historia de su antigüedad, nobleza y grandeza, Jerónimo de Quintana analiza la cuestión del origen de Santa María de la Cabeza y termina concluyendo que debió de nacer en Cobeña o en Uceda. En 1752, al tratar la cuestión en su obra Historia puntual y prodigiosa de la vida, virtudes y milagros de la bendita María, Francisco Serrano rechaza el argumento de Cobeña pero es de gran interés que detalla las declaraciones de varios cobeñeros sobre el asunto en el expediente de beatificación (el 3 de septiembre de 1613).
dvdenise
Saint Isidore et sa femme dont on ne connaît malheureusement pas le nom, priez pour nous.
Irapuato