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L'obsession du commissaire François pour la lutte contre les catholiques

Ces dernières années, la manière de gouverner du pape François a suscité un mécontentement croissant au sein de l'Église.

La raison : Les tentatives de François pour "réformer" l'Église se limitent à persécuter des groupes catholiques tels que l'Opus Dei, le Sodalitium Christianae Vitae, la Communauté Saint-Martin, la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre, les diocèses français de Toulon et de Bayonne, les Hérauts de l'Évangile ou l'Ordre de Malte.

Ce n'est que dans quelques cas que les abus sexuels ont servi de prétexte. D'énormes scandales d'abus ont été révélés, par exemple chez les Jésuites, mais François n'a pas levé le petit doigt pour les "réformer", parce que les Jésuites sont anti-catholiques.

InfoVaticana.com (2 octobre) voit un modèle : Ce qui unit ces cas, c'est la perception que François a adopté une approche sévère à l'égard des groupes qui défendent des positions catholiques.

En revanche, François n'entreprend aucune visite apostolique auprès des évêques allemands. Il en a effectué une dans le diocèse du cardinal Woelki, qui est considéré comme l'un des évêques les plus "catholiques" d'Allemagne.

"Il n'a pas non plus osé interférer avec d'autres mouvements progressistes tels que la Communauté de Sant'Egidio ou les Focolari, qui contrôlent l'argent de l'Église à Cuba sans aucun contrôle ni supervision".

Image: © Mazur/cbcew.org.uk, CC BY-NC-ND, Traduction de l'IA

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