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Selon François, les différences religieuses "sont nécessaires".

"Nos différences sont nécessaires ", a affirmé avec beaucoup d'insistance le pape François lors d'une rencontre interreligieuse avec des jeunes à Maputo, au Mozambique, le 5 septembre.

Au même moment, son controversé secrétaire d'État adjoint, l'archevêque Edgar Peña Parra, était assis dans le fond et mâchait du chewing-gum.

C'est la déclaration de Francis, prononcée à l'origine en portugais (vidéo ci-dessous) :

"Je remercie les membres des différentes confessions religieuses qui se sont joints à nous, ainsi que ceux qui n'appartiennent à aucune tradition religieuse particulière. Merci de vous encourager les uns les autres à vivre et à célébrer aujourd'hui le défi de la paix en tant que famille que nous sommes. Vous faites l'expérience que nous sommes tous nécessaires : avec nos différences, nous sommes tous nécessaires. Nos différences sont nécessaires."

Dans le monde réel, les différences ne sont pas nécessaires, la compréhension de la vérité l'est.

NovusOrdoWatch.org (7 septembre) a qualifié le discours de François de discours de motivation sur la base du plus petit dénominateur commun, usant de platitudes naturalistes trop entendues sur les espoirs, les rêves, les racines et les horizons - complètement dépourvu de tout surnaturel, à part un générique "Dieu vous aime" à la fin.

#newsMkniovojwx

00:41
Spina Christi 2
Qui veut le "dialogue interreligieux" ?
Les modernistes, les tièdes, les tolérants à l'erreur, ceux qui veulent trouver de l'enrichissement dans les cultes antichrist, les traitres, les apostats, les faibles, les formatés à l'esprit du monde...

Quant aux véritables disciples du Seigneur, voici ce qu'ils font et ce qu'ils disent :
"L'Evangile du jour"
levangileauquotidien.org/FR/gospel
Lettre de …
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Qui veut le "dialogue interreligieux" ?

Les modernistes, les tièdes, les tolérants à l'erreur, ceux qui veulent trouver de l'enrichissement dans les cultes antichrist, les traitres, les apostats, les faibles, les formatés à l'esprit du monde...


Quant aux véritables disciples du Seigneur, voici ce qu'ils font et ce qu'ils disent :

"L'Evangile du jour"

levangileauquotidien.org/FR/gospel

Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens :


"Frères, maintenant je trouve la joie dans le dialogue les souffrances que je supporte pour vous ; ce qui reste à souffrir des épreuves du Christ dans ma propre chair, je l’accomplis pour son corps qui est l’Église.
De cette Église, je suis devenu ministre, et la mission que Dieu m’a confiée, c’est de mener à bien pour vous
le dialogue l’annonce de sa parole, le mystère qui était caché depuis toujours à toutes les générations, mais qui maintenant a été manifesté à ceux qu’il a sanctifiés.
Car Dieu a bien voulu leur faire connaître en quoi consiste la gloire sans prix de ce mystère parmi toutes les nations : le Christ est parmi vous, lui, l’espérance de la gloire !
Ce Christ, nous l’annonçons :
nous dialoguons nous avertissons tout homme, nous instruisons chacun en toute sagesse, afin de l’amener à sa perfection dans le Christ.
C’est pour cela que je m’épuise à combattre
dialoguer, avec la force du Christ dont la puissance agit en moi.
Je veux en effet que vous sachiez quel dur
dialogue combat je mène pour vous, et aussi pour les fidèles de Laodicée et pour tant d’autres qui ne m’ont jamais vu personnellement.
Je combats pour que leurs cœurs soient remplis de courage et pour que, rassemblés dans l’amour, ils accèdent à la plénitude de l’intelligence dans toute sa richesse, et à la vraie connaissance du mystère de Dieu. Ce mystère, c’est le Christ, en qui se trouvent cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance."


VS
Psaume 62
Citation de la Lettre sur La spiritualité du dialogue du cardinal africain Francis Arize (ex président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux) :
« Nous sommes fermement convaincus que Dieu veut que tous les hommes soient sauvés (cf. 1 Tm 2,4) et que Dieu peut aussi accorder sa grâce au-delà des frontières visibles de l’Église (cf. LG 16 ; Redemptor hominis, 10). En même temps …Plus
Citation de la Lettre sur La spiritualité du dialogue du cardinal africain Francis Arize (ex président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux) :

« Nous sommes fermement convaincus que Dieu veut que tous les hommes soient sauvés (cf. 1 Tm 2,4) et que Dieu peut aussi accorder sa grâce au-delà des frontières visibles de l’Église (cf. LG 16 ; Redemptor hominis, 10). En même temps, le chrétien est conscient que Jésus-Christ, le Fils de Dieu fait homme, est le seul et unique Sauveur de toute l’humanité et que ce n’est que dans l’Église fondée par le Christ que l’on peut trouver les moyens du salut dans leur plénitude. Cela ne doit pas conduire le chrétien à adopter une attitude triomphaliste ou à développer un complexe de supériorité. Au contraire, c’est dans l’humilité et avec le désir d’un enrichissement mutuel que l’on peut rencontrer d’autres croyants, tout en s’en tenant fermement aux vérités de la foi chrétienne. Lorsqu’il est pratiqué avec cette vision de foi, le dialogue interreligieux ne conduit en rien au relativisme religieux.

6. Annonce et Dialogue. […] Il est nécessaire de redécouvrir le lien étroit qui existe entre l’annonce et le dialogue en tant qu’éléments de la mission évangélisatrice de l’Église (cf. Dialogue et Annonce, 77-85). […]

7. La nécessité de comprendre les autres croyants. Le chrétien qui participe à des initiatives interreligieuses ressent de plus en plus la nécessité de comprendre les autres religions, afin précisément de mieux comprendre les membres de ces religions. On pourra constater qu’il existe de nombreux points de contact : la croyance en un Dieu qui est Créateur, l’aspiration à la transcendance, la pratique du jeûne et de l’aumône, le recours à la prière et à la méditation ou encore l’importance du pèlerinage. Toutefois, les différences ne doivent pas être passées sous silence. […] »
Psaume 62
S. Paul VI, 1968, aux fidèles, le 3e dimanche après la Pentecôte :
« Aujourd’hui, nous en venons à ne plus avoir aucune exigence envers ceux qui se fourvoient. Nous demeurons indifférents, nous ne voulons accuser personne, nous laissons chacun vivre comme il veut. La mode veut même que nous allions vers ceux qui sont sortis du chemin plutôt que vers ceux qui sont demeurés dans la même ligne que …Plus
S. Paul VI, 1968, aux fidèles, le 3e dimanche après la Pentecôte :

« Aujourd’hui, nous en venons à ne plus avoir aucune exigence envers ceux qui se fourvoient. Nous demeurons indifférents, nous ne voulons accuser personne, nous laissons chacun vivre comme il veut. La mode veut même que nous allions vers ceux qui sont sortis du chemin plutôt que vers ceux qui sont demeurés dans la même ligne que leurs frères fidèles. Se rapprocher des premiers, c’est ce qu’on appelle “le dialogue”. C’est certes une application de l’Évangile, mais c’en est seulement une première partie, non la partie définitive. Si nous en restons au dialogue initial, c’est-à-dire au respect réciproque que nous voulons établir avec ceux qui ne partagent pas notre conception de la vie et nos idées, nous avons pris un bon départ, mais nous nous sommes arrêtés aux premiers pas du chemin qui mène au salut. L’Évangile nous enseigne qu’il ne suffit pas de se rapprocher des autres, d’entrer en dialogue avec eux, de leur confirmer notre confiance, de vouloir leur bien. Il faut de plus faire en sorte qu’ils se convertissent, qu’ils reviennent, il est nécessaire de les regagner à l’ordre divin, ce seul ordre divin qui est celui de la grâce, de la foi, de l’Église, de la vie chrétienne. »

S. Paul VI, 1968, Allocution au Secrétariat pour les non-chrétiens :

« Le Secrétariat doit s’affirmer ainsi dans l’Église comme un signe visible et institutionnel du dialogue avec les non-chrétiens, et mener une action qui inspire, stimule, guide, et dans la mesure du possible, coordonne, sur ce terrain délicat, où il faut prévenir tout danger d’irénisme et de syncrétisme et écarter toute fausse idée d’égale valeur des diverses religions. »

S. Paul VI, 1968, Profession de foi :

« Nous croyons que l’Église est nécessaire au salut, car le Christ, qui est seul médiateur et voie de salut, se rend présent pour nous dans son Corps, qui est l’Église [cf. LG 14]. Mais le dessein divin du salut embrasse tous les hommes, et ceux qui, sans faute de leur part, ignorent l’Évangile du Christ et son Église, mais cherchent Dieu sincèrement et, sous l’influence de la grâce, s’efforcent d’accomplir sa volonté, reconnue par les injonctions de leur conscience, ceux-là, en un nombre que Dieu seul connaît, peuvent obtenir le salut [cf. LG 16]. »

S. Jean-Paul II, Exhortation apostolique Novo millennio ineunte (2001) :

« Mais le dialogue ne peut être fondé sur l’indifférentisme religieux, et nous avons le devoir, nous chrétiens, de le développer en offrant le témoignage plénier de l’espérance qui est en nous (cf. 1 P 3,15). […] Tout cela, comme la Déclaration Dominus Iesus l’a aussi souligné récemment, ne peut faire l’objet d’une sorte de négociation dialogique, […]. L’Église ne peut donc se soustraire à l’activité missionnaire envers les peuples […]. Le dialogue interreligieux “ne peut pas simplement remplacer l’annonce, mais reste orienté vers l’annonce”. […]. Le Concile a aussi invité à adopter à l’égard des autres religions cette attitude d’ouverture et en même temps de discernement attentif. »

S. Jean-Paul II, Exhortation Ecclesia in Asia (1999) :

« 31. […] Du point de vue chrétien, le dialogue interreligieux est bien plus qu’une façon de promouvoir la connaissance et l’enrichissement réciproques ; il est une partie de la mission évangélisatrice de l’Église, une expression de la mission ad gentes. Les chrétiens apportent au dialogue interreligieux la ferme conviction que la plénitude du salut provient seulement du Christ et que la communauté ecclésiale à laquelle ils appartiennent est le moyen ordinaire du salut. […] Le fait que les adeptes d’autres religions peuvent recevoir la grâce de Dieu et être sauvés par le Christ en dehors des moyens ordinaires qu’il a institués n’annule donc pas l’appel à la foi et au baptême que Dieu veut pour tous les peuples”. […] Seuls ceux qui sont dotés d’une foi chrétienne mûre et convaincue sont qualifiés pour s’impliquer dans un dialogue interreligieux authentique. […]. »

« Notre rencontre nous demande de lutter pour discerner et accueillir tout ce qui est bon et saint en nous, afin que nous puissions reconnaître, protéger et promouvoir les vérités morales et spirituelles qui seules garantissent l’avenir du monde (cf. Nostra Aetate, n. 2). Dans ce sens, le dialogue n’est jamais une tentative pour imposer nos opinions aux autres, car un dialogue de ce genre prendrait la forme d’une domination spirituelle et culturelle. Cela ne signifie pas abandonner nos convictions. Cela veut dire que, fermes dans ce que nous croyons, nous écoutons avec respect les autres, en cherchant à discerner ce qui est bon et saint et ce qui favorise la paix et la coopération. »
Psaume 62
S. Jean-Paul II sur la mission et le dialogue interregieux, Redemptoris missio (1990) :
« 36. […] l’un des motifs les plus graves du manque d’intérêt pour l’engagement missionnaire est une mentalité marquée par l’indifférentisme, malheureusement très répandue parmi les chrétiens, souvent fondée sur des conceptions théologiques inexactes et imprégnée d’un relativisme religieux qui porte …Plus
S. Jean-Paul II sur la mission et le dialogue interregieux, Redemptoris missio (1990) :

« 36. […] l’un des motifs les plus graves du manque d’intérêt pour l’engagement missionnaire est une mentalité marquée par l’indifférentisme, malheureusement très répandue parmi les chrétiens, souvent fondée sur des conceptions théologiques inexactes et imprégnée d’un relativisme religieux qui porte à considérer que “toutes les religions se valent”. Nous pouvons ajouter […] qu’il existe aussi “ des alibis qui peuvent nous détourner de l’évangélisation. Les plus insidieux sont certainement ceux pour lesquels on prétend trouver appui dans tel ou tel enseignement du Concile” [citation de Paul VI].

55. Le dialogue interreligieux fait partie de la mission évangélisatrice de l’Église. Entendu comme méthode et comme moyen en vue d’une connaissance et d’un enrichissement réciproques, il ne s’oppose pas à la mission ad gentes, au contraire il lui est spécialement lié et il en est une expression. Car cette mission a pour destinataires les hommes qui ne connaissent pas le Christ ni son Évangile et qui, en grande majorité, appartiennent à d’autres religions. Dieu appelle à lui toutes les nations dans le Christ, il veut leur communiquer la plénitude de sa révélation et de son amour, il ne manque pas non plus de manifester sa présence de beaucoup de manières, non seulement aux individus mais encore aux peuples, par leurs richesses spirituelles, dont les religions sont une expression principale et essentielle, bien qu’elles comportent “des lacunes, des insuffisances et des erreurs”. Le Concile et les enseignements ultérieurs du magistère ont amplement souligné tout cela, maintenant toujours avec fermeté que le salut vient du Christ et que le dialogue ne dispense pas de l’évangélisation.

À la lumière de l’économie du salut, l’Église estime qu’il n’y a pas contradiction entre l’annonce du Christ et le dialogue interreligieux, mais elle sent la nécessité de les coordonner dans le cadre de sa mission ad gentes. En effet, il faut que ces deux éléments demeurent intimement liés et en même temps distincts, et c’est pourquoi on ne doit ni les confondre, ni les exploiter, ni les tenir pour équivalents comme s’ils étaient interchangeables.

J’ai écrit récemment aux évêques d’Asie : “Bien que l’Église reconnaisse volontiers tout ce qui est vrai et saint dans les traditions religieuses du bouddhisme, de l’hindouisme et de l’islam, comme un reflet de la vérité qui éclaire tous les hommes, cela ne diminue pas son devoir et sa détermination de proclamer sans hésitation Jésus-Christ qui est « la Voie, la Vérité et la Vie » […]. Le fait que les adeptes d’autres religions puissent recevoir la grâce de Dieu et être sauvés par le Christ en dehors des moyens ordinaires qu’il a institués n’annule donc pas l’appel à la foi et au baptême que Dieu veut pour tous les peuples”. [Suit une citation de LG 14, omise ici]. Le dialogue doit être conduit et mis en œuvre dans la conviction que l’Église est la voie ordinaire du salut et qu’elle seule possède la plénitude des moyens du salut. »
BLANCHE HERMINE
Cela rejoint le document signé en février, où il est écrit :
" « Le pluralisme et la diversité de religion, de couleur, de sexe, de race et de langues sont une sage volonté divine avec laquelle Dieu a créé l’être humain. ».Plus
Cela rejoint le document signé en février, où il est écrit :

" « Le pluralisme et la diversité de religion, de couleur, de sexe, de race et de langues sont une sage volonté divine avec laquelle Dieu a créé l’être humain. ».
Claudius Cartapus
Le prosélytisme est maintenant un péché… Mais comment donc l'Église aurait-elle pu naître sans déplaire aux autres religions ??? L'Église naissante a versé son sang pour évangéliser.
Claudius Cartapus
Dans un article d'octobre 2016, le pape François a dit: « le prosélytisme est le poison » et « Luther un médicament »
dvdenise
Le prosélytisme désigne l'attitude de personnes cherchant à
susciter, voire forcer l'adhésion d'autres personnes à leur foi.
dvdenise
Claudius Cartapus
Jésus en évangélisant a bel et bien converti des juifs ? Et les apôtres de par le monde aussi. Convertissez-vous et croyez à la bonne nouvelle ! Prosélytisme à toute époque, mais évangéliser, c'est ça. En Russie, l'évangélisation catholique, c'est du prosélytisme.
Spina Christi 2
Parole du jour :
levangileauquotidien.org/FR/gospel
Saint Paul Apôtre aux Colossiens 1,21-23.

"Frères, vous étiez jadis étrangers à Dieu, et même ses ennemis, par vos pensées et vos actes mauvais."
En quoi les Colossiens étaient-ils ennemis de Dieu ?
Pour n'être pas dans la Vérité mais étrangers à Dieu. Pour accomplir des actes rebelles à la Loi Naturelle.
Le public de François étant composé …
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Parole du jour :

levangileauquotidien.org/FR/gospel

Saint Paul Apôtre aux Colossiens 1,21-23.

"Frères, vous étiez jadis étrangers à Dieu, et même ses ennemis, par vos pensées et vos actes mauvais."

En quoi les Colossiens étaient-ils ennemis de Dieu ?
Pour n'être pas dans la Vérité mais étrangers à Dieu. Pour accomplir des actes rebelles à la Loi Naturelle.

Le public de François étant composé de catholiques, de protestants hérétiques (catéchisme saint Pie X), de musulmans antichrists, d'animistes et autres encore, en quoi est-il "nécessaire" aux yeux du pape qu'il puisse exister sur terre des étrangers à Dieu, et même ses ennemis ?

Le Seigneur n'a t-il pas dit de faire des nations, TOUTES LES NATIONS, des disciples ?

Si cette exhortation avait pu connaitre la perfection, TOUS les hommes de cette terre seraient catholiques et il n'y aurait pas ces "différences nécessaires" aux yeux de François, mais une paix véritable dans le Règne de Notre Seigneur Jésus-Christ.
AveMaria44
Pélagien polyèdrique, pas catholique à la suite de Jean XXIII Pacem in terris sur le dos du Christ.....Le naturalisme qui nie la nécessité de la conversion de l’Évangélisation, sans charité pour ces pauvres esclaves des fausses religions
GChevalier
C'est tout le polyèdre de l'Antéchrist !