Un membre extrémiste du synode François pleure un autre extrémiste

L'idéologue communiste Antonio Negri est décédé à Paris le 16 décembre à l'âge de 90 ans.

Membre de l'Azione Cattolica dans les années 1950, il a été professeur de philosophie politique à Padoue dans les années 1960.

En 1984, il a été condamné par contumace à 30 ans de prison pour avoir prétendument orchestré le terrorisme communiste, qui s'est traduit par les meurtres des Brigate Rosse. C'est le Parti communiste italien (sic) qui est à l'origine de la condamnation de Negri. Cependant, Negri s'est enfui en France où il est devenu professeur de philosophie sous la protection du régime de Mitterrand.

Il est revenu en Italie en 1997 et a purgé une peine réduite de 13 ans. À la fin des années 1980, le président italien Francesco Cossiga (+2010) a décrit Negri comme un "psychopathe" qui avait "empoisonné l'esprit de toute une génération de jeunes Italiens [avec l'aide des oligarques]".

Ce n'est pas le cas de Luca Casarini, l'activiste de gauche notoire que François a nommé à l'Ex-Synode sur la synodalité et qui est actuellement accusé de trafic d'êtres humains en collaboration avec des évêques italiens.

Casarini a salué Negri sur Twitter.com : "Tu resteras à jamais dans mon cœur et dans mon esprit, cher maître, père, prophète".

Traduction de l'IA