fr.news
32,1 k

Royaume-Uni : Le canular des abus est utilisé pour rendre un sacrement illégal

L'enquête britannique indépendante sur les abus sexuels envers les enfants, qui a duré sept ans et coûté 186,6 millions de livres, a publié ses conclusions le 20 octobre.

Elle concernait toutes les grandes institutions comme le centre politique de Westminster, les organismes d'aide sociale, les anglicans et l'Église catholique.

7 000 victimes présumées ont été entendues, mais le rapport affirme qu'une enquête sur la criminalité de 2019 a indiqué qu'il y avait 3,1 millions de victimes d'abus en Angleterre et au Pays de Galles, soit environ 7,5 % de la population âgée de 18 à 75 ans.

Le rapport recommande de forcer les prêtres à briser le sceau de la confession en introduisant un "signalement obligatoire" pour les abus sur mineurs. Il met en opposition deux droits inaliénables (la liberté de religion et la protection des mineurs) et conclut que le second est "plus important" que la "confession sacramentelle."

Il est intéressant de noter le rapport ne dit pas si les avocats ou les psychiatres devraient également être contraints de trahir leur secret professionnel.

En Australie, les évêques ont déclaré, face à des réglementations similaires, qu'ils préféreraient la prison à l'obéissance à des lois aussi injustes.

Image: © Mazur, CC BY-NC-ND, #newsZfaadigail

Catholique et Français
"...À comparer avec l'épidémie de peste de 1720 à Marseille qui a tué une personne sur deux." >>> Grande Peste de Marseille (1720-1722) : "Un mal qui répand la terreur" : La Grande Peste de Marseille (1720-1722) : "Un mal qui répand la terreur" "...Il (Mgr de Belzunce) est tous les jours sur le pavé, dans tous les quartiers de la ville, et va partout visiter les malades [...]. Les plus …Plus
"...À comparer avec l'épidémie de peste de 1720 à Marseille qui a tué une personne sur deux." >>> Grande Peste de Marseille (1720-1722) : "Un mal qui répand la terreur" : La Grande Peste de Marseille (1720-1722) : "Un mal qui répand la terreur" "...Il (Mgr de Belzunce) est tous les jours sur le pavé, dans tous les quartiers de la ville, et va partout visiter les malades [...]. Les plus misérables, les plus abandonnés, les plus hideux, sont ceux auxquels il va avec le plus d’empressement et sans craindre ces souffles mortels qui portent le poison dans les cœurs. Il les approche, les confesse, les exhorte à la patience, les dispose à la mort, verse dans leurs âmes des consolations célestes. (...) "...arguant du risque de ranimer la contagion, ils (les autorités civiles ou échevins) s’opposèrent à la réouverture des églises que demandait Mgr de Belsunce, tout en s’abritant derrière une décision du Régent : «Son Altesse Royale (le Régent) croit qu’en ouvrant les églises, pour y remettre de la chaux, il en pourrait sortir des exhalaisons capables de ranimer la maladie; et désire pour cette raison qu’on les fasse au contraire sceller le plus solidement qu’il sera possible avec défense de les ouvrir qu’après une année expirée.» C’était la solution la moins chrétienne, évidemment..."
dvdenise
fr.news, pour votre info, ce qu'a dit le Pape François le 20.03.2020 est similaire à ce que disent plusieurs Saints, comme Saint Louis-Marie Grignion de Montfort et le Saint curé d'Ars.
L'effroi
Donnez nous précisément les citations de ces deux saints sur ce sujet au lieu de les extrapoler.
Ce qu'ils ont dit ne s'applique qu'à des cas d'urgence extrême comme un péril mortel imminent avec l'impossibilité d'avoir l'assistance d'un confesseur.
Notre curé ne nous a jamais refusé une confession pendant la crise du Covid. On prenait certaines précautions d'éloignement dans une pièce, ou …Plus
Donnez nous précisément les citations de ces deux saints sur ce sujet au lieu de les extrapoler.
Ce qu'ils ont dit ne s'applique qu'à des cas d'urgence extrême comme un péril mortel imminent avec l'impossibilité d'avoir l'assistance d'un confesseur.
Notre curé ne nous a jamais refusé une confession pendant la crise du Covid. On prenait certaines précautions d'éloignement dans une pièce, ou encore en plein air.
De nombreux prêtres italiens ont contracté le virus en apportant héroïquement les secours de la religion (en particulier la Bénédiction Apostolique "in articulo mortis") aux malades dans les hôpitaux et plusieurs d'entre eux en sont morts.
En France la plupart des hôpitaux furent fermés aux prêtres, sans protestations des évêques.
Tout ça pour une maladie qui ne tue qu'une personne sur miIIe...
A comparer avec l'épidémie de peste de 1720 à Marseille qui a tué une personne sur deux.