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Le synode 2023-2024 possiblement vu par La Bienheureuse Anne-Catherine Emmerich

Notez surtout le dernier paragraphe, la pause serait elle le laps de temps entre la première cession d'octobre 2023 et la deuxième d'octobre 2024 qui n'aurait pas lieu si cela s'avérait être cet événement dont elle parlait.

--Bienheureuse Anne-Catherine Emmerich

Le dragon contre les enfants de l'Église.

On gardait le silence sur la croix, sur le sacrifice et la satisfaction, sur le mérite et le péché, où les faits, les miracles et les mystères de l'histoire de notre rédemption devaient céder la place à de creuses «théories de la révélation », où l'homme-Dieu, pour être supporté, ne devait plus être présenté que comme « l'ami des hommes, des enfants, des pécheurs », où sa vie n'avait de valeur que comme « enseignement », sa Passion comme « exemple de vertu », sa mort comme « charité » sans objet ; où l'on enlevait au peuple croyant l'ancien catéchisme qu'on remplaçait par des « histoires bibliques » où le manque total de doctrine devait être voilé sous « un langage naïf à la potée de toutes les intelligences » ; où les fidèles étaient forcés d'échanger leurs livres de piété, leurs vieilles formules de prière et leurs anciens cantiques contre des productions de fabrique moderne aussi mauvaises et aussi impies que celles par lesquelles ont cherchait à remplacer le missel, le bréviaire et le rituel. (A.I.415)

Ce n'était pas seulement pour les incrédules et les ennemis de Dieu qui combattaient la sainte Église avec toutes les armes de la violence et de la ruse que la croix était une folie et un scandale, mais, à ne considérer que les hommes qui ne voulaient pas renier la foi en Jésus-Christ, on était effrayé du nombre de ceux qui comprenaient encore le témoignage du prince des apôtres : « Sachant que vous n'avez pas été rachetés par l'or et l'argent, choses périssables, mais par le sang précieux du Christ, comme par celui d'un Agneau sans tache. » (A.I.415)

La reconstruction de l'Église.

Alors je vis rétablir l'Église très promptement et avec plus de magnificence que jamais. (A.III.114)

Je vis une femme pleine de majesté s'avancer dans la grande place qui est devant l'église (Saint-Pierre de Rome, symbolisant l'Église catholique tout entière). Elle avait son ample manteau relevé sur les deux bras et elle s'éleva doucement en l'air. Elle se posa sur le dôme et étendit sur toute l'étendue de l'église son manteau qui semblait rayonner d'or. Les démolisseurs venaient de prendre un instant de repos, mais, quand ils voulurent se remettre à l'œuvre, il leur fut absolument impossible d'approcher de l'espace couvert par le manteau. (A.II.204)

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Fanfan 64
Merci pour votre publication ! on les aura !