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L ’ONU et Amnesty International à l’Irak : « n’exécutez pas les militants de l’Etat islamique » Vidéo la débacle de daesh à Mossoul: les rats sortent des tunnels Le Conseil des droits de l'homme,…Plus
L ’ONU et Amnesty International à l’Irak : « n’exécutez pas les militants de l’Etat islamique »

Vidéo la débacle de daesh à Mossoul: les rats sortent des tunnels

Le Conseil des droits de l'homme, Amnesty et Human Rights Watch condamnent les procès trop hâtifs contre les djihadistes

Les ˮPasdaranˮ de la tolérance, les bureaucrates de l’angélisme à tout prix se dissimulent hypocritement derrière le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, d’Amnesty International et de l’ONG ˮHuman Rights Watchˮ.

E
n Libye, les défenseurs des égorgeurs de l’EI ferment les yeux sur le trafic d’êtres humains géré par des organisations criminelles.

En Irak, ils ont déjà relégué aux oubliettes de l’histoire les atrocités commises par les tueurs de l’EI. Ils défendent avec zèle les criminels du Califat en déroute, accusant les tribunaux de les envoyer à la potence par des jugements hâtifs et impartiaux. Les nombreuses victimes innocentes de ces tueurs immondes ont-ils eu droit à des procès équitables avant d’être égorgés, décapités, crucifiés, brûlés vifs dans des cages, noyés dans l’acide, démembrés, enterrés vivants ?
Ces défenseurs des Droits des assassins de l’EI se sont-ils révoltés contre les horreurs perpétrées par leurs protégés ?

Le plus acharné à dénoncer les tribunaux de Bagdad est évidemment le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, présidé par le prince jordanien Zeid Raad Zeid al-Hussein.

E
ntre frères d’Allah, on se soutient ! Ce dernier s’était déjà distingué pour avoir accusé l’Italie d’inhumanité suite à l’accord du gouvernement italien avec la Libye afin de ralentir le flux des migrants.

Après l’exécution de 42 militants de l’EI le 25 septembre 2017 et la pendaison de 38 combattants le 14 décembre dernier, le prince jordanien et ses portes-paroles ont exigé la suspension immédiate des exécutions des soldats d’Allah.

ˮ Nous sommes face à la perspective d’erreurs judiciaires irréversibles. L’imposition de la peine de mort, après un procès, n’ayant pas respecté les procédures, est une violation du droit à la vieˮ s’est exclamée la porte-parole Liz Throssell.

Amnesty International et Human Rights Watch ont joint leurs voix indignées au chœur des ˮPasdaranˮ de l’angélisme.
Selon Amnesty International, la peine de mort ne « devrait être prononcée en aucune circonstance et surtout pas en Irak, où le gouvernement a la sinistre réputation d’envoyer à la mort les accusés après les avoir torturés pour obtenir des aveux, pour ensuite les juger lors de procès expéditifs.ˮ
D’après Human Rights Watch ˮ au cours des procès, dont la durée parfois n’excède pas une heure, aucune distinction n’est faite entre ceux qui participèrent aux atrocités et les simples militants de l’EI.ˮ
Accusations renvoyées à l’expéditeur par les juges irakiens rappelant qu’en novembre dernier, les tribunaux irakiens avaient émis 449 condamnations à mort et 1 490 acquittements.

Mais ce qui fit le plus hurler d’horreur les talibans de l’angélisme fut la décision du Premier ministre irakien Haider al-Abadi de juger et de condamner à mort tous les combattants de l’EI munis d’un passeport étranger. Le premier à en payer le prix et à rejoindre le paradis d’Allah fut un djihadiste en possession d’un passeport suédois, pendu le 14 décembre 2017, malgré les plaintes de Stockholm, pays gouverné par des gauchistes humanistes, grands islamophiles devant Allah.

S
elon ces défenseurs des Droits de l’Homme à outrance, les tribunaux de Bagdad n’auraient pas la compétence juridictionnelle pour condamner les centaines de prisonniers étrangers, parmi lesquels figurent des ˮAméricainsˮ, des ˮFrançaisˮ, des ˮCanadiensˮ, desˮ Britanniquesˮ, des ˮAllemandsˮ, desˮ Belges,ˮ des Italiensˮ… de papier.

D
’après l’ONU, tous ces volontaires de la Terreur devraient être remis à la Cour Internationale de Justice de La Haye, ouvrant ainsi la voie à une nouvelle odyssée judiciaire, semblable à celle qui se poursuivit pendant 22 ans pour les criminels de guerre de l’ex-Yougoslavie.
Une odyssée que les Autorités irakiennes ne veulent pas voir se répéter.
» Ils sont venus ici pour tuer les citoyens de ce pays et ils seront jugés selon les lois de notre paysˮ a scandé maintes fois Salem Mohammed, Procureur en chef de Mossoul.

Un point de vue, qui reflète au fond celui de certains gouvernements occidentaux.

A ce jour, l’Allemagne a fait entendre sa voix pour discuter d’un seul cas : celui d’une jeune fille de 16 ans, partie à Mossoul, après être tombée amoureuse en ligne d’un commandant de l’EI. Elle est actuellement détenue dans un centre pour mineures. ( Linda wenzel

Une djihadiste allemande de 17 ans emprisonnée)
www.24heures.ch/…/22013502


» Malheureusement, dans presque tous les cas, la seule manière d’affronter le problème, est celui de les exécuter.ˮ a admis en octobre dernier le ministre britannique Rory Stewart.

U
ne opinion partagée par la ministre de la Défense française :
ˮwww.europe1.fr/politique/parly-si-des-dj… sur le sort des djihadistes, parfois français, Florence Parly, ministre française de la Défense, n’a pas laissé planer le moindre doute sur ses convictions. ˮ

Si des djihadistes périssent au cours des combats», je dirai que c’est tant mieux ˮ, a-t-elle affirmé. Et de préciser que » s’ils tombent entre les mains des forces syriennes, ils dépendront de la juridiction syrienne. Nous ne pouvons rien faire pour empêcher le retour des djihadistes, à part poursuivre ce combat et aller jusqu’au bout.ˮ, a-t-elle ajouté.ˮ

M
ais ce n’est pas le sentiment partagé par Justin Trudeau, le Premier ministre canadien, au cœur si tendre et si compatissant envers les vaincus de l’EI.
Repentis, ces derniers peuvent devenir ˮ une voix extraordinairement puissante pour la prévention de la radicalisation des générations futures et des jeunes au sein de la communautéˮ, a déclaré Justin lors de son interview du 21 décembre dernier à la chaîne de télévision CTV
Le retour des djihadistes serait donc une chance pour le Canada !!!
Et pourtant, Justin a affirmé qu’il boit très peu d’alcool, ne fume pas, ne se drogue pas, ne boit pas de café !

En Suède, autre pays dirigé par des bisounours en guimauve, les Autorités– dans l’espoir qu’un accueil humain contribuera à la déradicalisation des mercenaires inhumains de l’EI de retour au royaume des bobos gauchistes– ont mis au point un programme de réintégration des ˮcombattantsˮ de l’EI prévoyant l’octroi d’un logement, d’un emploi et d’une aide financière.

Ou comment récompenser ceux qui vous haïssent, vous trahissent, rêvent de vous asservir et s’aspergent les mains du sang d’innocents !

© Rosaly pour Dreuz.info.
www.ilgiornale.it/…/irak-lipocrisia…

Irak : le Premier ministre frappe fort avec l'exécution de 13 "terroristes"
www.ladepeche.fr/…/2827559-irak-pr…

Une Allemande d'origine marocaine a été condamnée à mort dimanche en Irak pour avoir rejoint Daech, une première dans ce pays où des centaines de djihadistes étrangers attendent en prison leur procès.

Dimanche, la Cour pénale centrale de Bagdad, chargée notamment des affaires de terrorisme, a condamné à la pendaison cette ressortissante allemande d'origine marocaine, dont l'identité n'a pas été précisée.

«L'accusée a reconnu lors des interrogatoires avoir quitté l'Allemagne pour la Syrie puis l'Irak pour rejoindre l'EI, avec ses deux filles qui ont épousé des membres de l'organisation terroriste», a indiqué le porte-parole de la cour.

Selon les services allemands de renseignement, 910 personnes ont «quitté l'Allemagne pour rejoindre des groupes djihadistes en Syrie ou en Irak». Environ un tiers d'entre eux sont rentrés en Allemagne dont 70 qui sont considérés comme des combattants. Ils ajoutent que 145 autres ont été tués.
Dans un rapport datant d'octobre, le centre de recherches Soufan notait que 190 Allemandes avec 70 enfants avaient rejoint le «califat» proclamé en 2014 par l'EI en Irak et en Syrie, et aujourd'hui en lambeaux.
Plus de 5000 détenus
Sur le blog Lawfare, spécialisé dans les questions de sécurité, la chercheuse Kim Cragin de la National Defense University, affirmait fin novembre que 5.395 combattants étrangers, de retour de Syrie et d'Irak, se trouvaient actuellement en prison.

Le nombre total de personnes emprisonnées en Irak pour appartenance supposée à l'EI s'élève à 20'000, selon des chercheurs.

www.24heures.ch/…/10736560