De nouvelles questions difficiles pour François

De nouvelles questions "difficiles" ! Le chemin est de plus en plus rude et "difficile" ! Pauvre Louis XVI ! Un jour, il approuve et encourage les séditieux et, un autre jour, parfois le lendemain même, il les critique et les réprimande ! Mais tous les jours que Dieu fait, il ajoute lui-même puissamment et majestueusement, avec toute l'autorité dont il est investi, à l'anarchie, au désordre et à la désorientation, désarmant, désavouant, paralysant et condamnant les lucides et les défenseurs de l'Eglise et de la France. Pauvre Louis XVI ! : comment cela va-t-il finir pour lui, pour sa famille, pour ses vrais amis et pour la France ? Un jour, j'ai entendu un excellent historien rappeler à la radio qu'il était essentiel de bien comprendre et de bien se rappeler qu'à la fin du XVIII°s, la vénération et le respect dont était entouré le roi de France, quoi qu'il dise et fasse..., ne pouvaient se comparer qu'à la vénération et au respect dont est entouré "de nos jours" (c'était peu après le Concile), quoi qu'il dise et fasse..., le Saint-Père. Conseils de fuite du roi à Compiègne pour monter à cheval, cette fois en chef de guerre, remontrances privées ou publiques, ironie (Rivarol...), émigration et lutte contre la "France" depuis l'étranger, projets de destitution ou de remplacement du roi par son frère cadet Provence, folles espérances placées dans le petit Dauphin, ce petit ange, tentatives de sauver le roi par la force ou malgré lui (Affaire des poignards en février 1791, Varennes, Retour de La Fayette au printemps 1792, sacrifices héroïques aux Tuileries le 10 août etc... etc...), démarches des dévôts du Sacré-Coeur auprès de madame Elisabeth qui avait l'oreille de Louis XVI. Tout a été humainement tenté, absolument tout, le plus insensé comme le plus sage : en vain ! Car c'est du coeur du roi que le Sacré-Coeur veut triompher ! Sinon...
Oui, mon Dieu, cette révolution qui a commencé en 1789, comment va-t-elle finir ? Répondez-nous, nous qui sommes dans l'angoisse ! : "...Fais savoir à mes ministres (les Papes), étant donné qu'ils suivent l'exemple du roi de France en retardant l'exécution de ma Demande, qu'ils le suivront dans le malheur. Jamais, il ne sera trop tard pour recourir à Jésus et Marie !" (Paroles de Notre-Seigneur. Lettre de soeur Lucie dos Santos à son Evêque, datée du 29/08/1931, confirmée par un autre courrier ultérieur).
En la Fête de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus ET de la Sainte Face, Patronne secondaire de la France.

Le problème de la parole du pape François sur les migrants est qu'elle semble fluctuante et contradictoire, qu'elle semble illisible. Un jour il rappelle le devoir de prudence des gouvernements en la matière, un autre jour il dit : "recevons les migrants à bras ouverts !". Il ne fait pas de doute qu'il appelle de bon droit les catholiques européens à se montrer compatissants envers les migrants qui sont déjà là en Europe, mais ses paroles semblent également encourager l’immigrationnisme qui n'est une chance ni pour les nations européennes ni pour les pays d'origine des migrants.

François se fiche pas mal des accords ou des désaccords ! Une seule chose l'intéresse : lui-même ! "Je crois en l'homme !" a-t-il écrit, ce qui signifie : "Je crois en moi !"
Maintenant, répondons aux 4 interrogations de Salvini :
1- Accueillir les réfugiés, tous ? Bien entendu, et sans exception !
2- Où ? Au Vatican !
3- Avec quel argent ? Le denier de Saint-Pierre bien sûr !
4- Dans quelles maisons ? À Sainte-Marthe bien évidemment !
Mais François jette les hauts cris : "Tous dehors et qu'on me débarrasse de cette vermine !" (Les "pauvres" du pape François lui créent des problèmes )