« Il faut le dire une nouvelle fois avec fermeté, RIEN ni PERSONNE ne peut autoriser que l'on donne la mort à un être humain innocent, fœtus ou embryon, enfant ou adulte, vieillard, malade incurable ou agonisant ».
Congrégation pour la doctrine de la foi , Déclaration sur l'euthanasie, 1980, Doc. cath. N° 1790
Le simple fait que le résultat auquel on vise est atteint par cette voie ne justifie …Plus
« Il faut le dire une nouvelle fois avec fermeté, RIEN ni PERSONNE ne peut autoriser que l'on donne la mort à un être humain innocent, fœtus ou embryon, enfant ou adulte, vieillard, malade incurable ou agonisant ».
Congrégation pour la doctrine de la foi , Déclaration sur l'euthanasie, 1980, Doc. cath. N° 1790
Le simple fait que le résultat auquel on vise est atteint par cette voie ne justifie pas l'emploi du moyen lui-même ; ni le désir, en soi très légitime chez les époux, d'avoir un enfant, ne suffit à prouver la légitimité du recours à la fécondation artificielle qui réaliserait ce désir.
S.S. le Pape Pie XII, Discours au Congrès des médecins catholiques, 29 septembre 1949.
« Pour qu'un acte concret soit moralement bon, il faut qu'il ne soit contraire à la règle de moralité par aucun de ces éléments : Bonum ex integra causa, malum ex quocumque defectu ; cependant seule une circonstance gravement mauvaise peut vicier un acte bon dans son objet et sa fin. C'est ainsi qu'il n'est pas permis de prendre des moyens mauvais pour atteindre une fin bonne, à l'encontre de l'adage calomnieusement attribué aux Jésuites : La fin justifie les moyen. La vérité est que : Non sunt facienda mala ut eveniant bona ».
Abbé Henri Collin (Docteur en philosophie et en théologie, Licencié ès sciences bibliques, Licencié ès lettres-philosophie), Manuel de philosophie Thomiste, L'acte humain en tant que moral, T. II, Troisième Ed., Téqui Paris, 1927, p. 210