La surpopulation est un mythe
Les projections des Nations unies estiment que la population mondiale atteindra son maximum plus tôt et à un niveau plus bas que prévu : 10,2 milliards, soit 6 % de moins que ce qui avait été prédit il y a dix ans.
Aujourd'hui, plus de la moitié des pays du monde ont des taux de fécondité inférieurs au seuil de remplacement, notamment les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie.
Près d'un cinquième des pays ont un taux de fécondité "ultra-faible", inférieur à 1,4 naissance par femme.
Les démographes prévoient un effondrement de la population après 2100, avec des conséquences dévastatrices pour les économies et la qualité de vie.
Dean Spears, économiste au Centre de recherche sur la population de l'Université du Texas, est coauteur d'un document estimant les projections de la population mondiale au-delà de 2100.
L'un des trois scénarios du document montre que si la population mondiale reste en dessous du taux de remplacement, le nombre d'habitants de la planète tombera rapidement à un niveau "très bas".
Darrel Bricker et John Ibbitson, auteurs de Empty Planet : The Shock of Global Population Decline, ont affirmé qu'une fois que le déclin de la population mondiale aura commencé, ce qui, selon eux, se produira dans trois décennies, "il ne s'arrêtera jamais".
Le déclin de la population entraînera une diminution des services et des infrastructures de base, du chômage, un recul de l'innovation, des soins de fin de vie inadéquats pour les personnes âgées et une détérioration de la santé mentale.
Traduction de l'IA
