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Trame de l'Antéchrist pour faire passer l'avortement en Argentine

Article précédent : Non, Ferrara, ce n'est pas la fin : nous verrons largement pire !

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[Ces deux articles ont été écrit avant l'adoption du projet de loi. Mais voilà qui est fait grâce à Bergoglio ; voir ici : François parle du foot et ignore la légalisation de l'avortement en Argentine ]

Limogeage express

Où l'on voit qu'il ne fait pas bon compter parmi les ennemis du Pape. Le cas d'un compatriote argentin, Mgr Aguer, évêque de La Plata, remplacé "in fretta e furia" par le chouchou de François, Victor "Tucho" Fernandez

("Benoît-et-moi", le 8/6/2018)

Marco Tosatti retrace dans les grandes lignes les épisodes récents; et Carlota a traduit l'article très informé d'un journaliste argentin, fin connaisseur de la situation dans son pays, qui retourne aux sources de l'inimitié entre Jorge Bergoglio et Hector Aguer - deux hommes, en fait, que tout oppose.

Aguer, évêque exilé : il ne plaît pas au Pape

Marco Tosatti
8 juin 2018
www.lanuovabq.it/it/aguer-vescovo-e…
Ma traduction

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À l'échéance des 75 ans, l'archevêque de La Plata a été remplacé sur le champ et invité à quitter immédiatement le diocèse, où il ne pourra plus résider. Une authentique humiliation. La raison? Il n'était pas d'accord avec le pape François.

D'Argentine nous arrive une histoire guère plaisante à raconter. Mgr Hector Aguer, archevêque du deuxième diocèse du pays, La Plata, est arrivé le 24 mai à l'échéance de sa 75e année et a présenté sa démission au Pontife. Non seulement celui-ci l'a immédiatement acceptée, mais il a donné plusieurs dispositions que nous allons voir. C'est un événement qui jette une lumière peu sympathique sur les caractéristiques humaines du Pontife, et qui risque de mettre en difficulté les hagiographes présents et futurs.

Habituellement, lorsqu'un archevêque - ou un titulaire d'une charge à la Curie - atteint l'âge de 75 ans et est en bonne santé, on laisse passer des mois, voire des années (comme par exemple Angelo Amato aux Saints [Congrégation pour les causes des Saints]) avant de le remplacer. Mais avec le Pape Bergoglio, si l'intéressé est pour une raison quelconque antipathique au Pontife, ou ne semble pas être dans sa ligne, le couperet tombe comme l'éclair. Il suffit de rappeler le cas de l'archevêque de Malines-Bruxelles, Léonard; ou celui du Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Müller. Mais les cas sont nombreux.

Mais la destitution de l'archevêque Aguer présente d'autres détails encore moins sympathiques. Le site Web Wanderer, en espagnol et en anglais, qui a de bonnes sources, en a parlé. Nous avons traduit quelques lignes.

«Comme Mgr Aguer lui-même l'a expliqué dans son homélie de congé, et comme cela a été précisé par d'autres sources, le renoncement a été présenté lorsqu'il a eu 75 ans le 24 mai. Sept jours plus tard, il a reçu l'appel du chargé d'affaires de la Nonciature qui lui a transmis les ordres pontificaux: la Fête Dieu devait être sa dernière liturgie publique; Mgr Bochatey était nommé administrateur apostolique; il devait quitter immédiatement l'archidiocèse, tout de suite après la célébration, il ne pouvait y résider comme archevêque émérite, et il ne pouvait même pas procéder à l'échange de consigne avec son successeur Mgr 'Tucho' Fernández. A la fin de la messe, l'évêque grec-melkite a pris le micro et a offert à Mgr Aguer l'hospitalité de sa maison parce que, littéralement, il n'a nulle part où aller (son projet était de se retirer dans l'ancien petit séminaire de La Plata)».

Peu importe que par la suite - comme l'indique le site OnePeterFive - quelques jours supplémentaires aient été accordés pour le déménagement. Tout cela est très inhabituel et ressemble à une forme de vengeance. La nomination d'un autre prélat comme administrateur apostolique est un geste hostile. Habituellement, c'est le prélat qui est sur le point de partir qui est nommé administrateur apostolique. Comme si l'on craignait que dans la période d'interim, Aguer puisse faire qui sait quoi! S'enfuir avec l'argenterie de l'évêché. Et même les autres dispositions, si elles sont maintenues, respirent la méchanceté. Aguer a passé vingt ans à La Plata, et n'a certainement pas fait des gestes qui méritent l'exil.

Ou peut-être que si. Le samedi 25 juin 2016, l'archevêque de La Plata, dans une lettre à ses prêtres, a expliqué que l'exhortation du Pape François Amoris Laetitia ne peut pas être interprétée comme une rupture dans le Magistère des Papes précédents: les divorcés qui se remarient civilement ne peuvent être admis à la Sainte Communion. L'évêque a joint à la lettre la fameuse note de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi du 14 septembre 1994: «Lettre aux évêques de l'Église catholique sur la réception de la communion eucharistique par les fidèles divorcés remariés».

Aguer a toujours été très apprécié par le Pape Benoît XVI, qui l'avait nommé parmi les participants de la XIIIe Assemblée générale ordinaire du Synode, prévue du 7 au 28 octobre 2012, avec le thème «La nouvelle évangélisation pour la transmission de la foi chrétienne». La présence d'Aguer revêtait un grand intérêt à la lumière des changements profonds et radicaux que subissait le pays latino-américain, et qui constituaient une attaque violente contre les principes chrétiens sur lesquels s'est formée l'identité de la nation.

Et puis nous apprenons, à travers le livre "François, vie et révolution" d'Elisabetta Piqué, journaliste argentine et fan du Pape Bergoglio, qu'il y avait de vieux soupçons d'inimitié: le livre décrit aussi les difficultés rencontrées par Bergoglio dans ses relations avec la Curie romaine avant l'élection. Piqué parle d'un groupe de personnes qui «commence à lui faire la guerre» et inclut parmi elles le nonce en Argentine, Adriano Bernardini (aujourd'hui nonce en Italie) et le secrétaire d'État Angelo Sodano. La plupart des problèmes étaient liés aux nominations d'évêques, étant donné qu'à Rome, les candidats proposés par la Conférence épiscopale argentine étaient rejetés.
«Monseigneur Héctor Aguer, archevêque de La Plata, plusieurs évêques et instituts sacerdotaux et laïcs, y compris certains professeurs de l'UCA (Universidad Católica Argentina), font partie du groupe opposé à Bergoglio» (cf. www.lastampa.it/…/pagina.html).

C'est Victor "Tucho" Fernandez, recteur de l'Université catholique d'Argentine, "ghost writer" théologique du Pontife, également célèbre pour son livre sur les baisers, "Guéris-moi avec ta bouche", qui ira à La Plata. «Le chouchou», selon le site espagnol qui raconte l'histoire d'Aguer. Ce que le site - qui a des sources directes en Argentine -, dit de Fernandez n'est pas vraiment exaltant. Et il rappelle que Bergoglio l'a proposé comme recteur à plusieurs reprises, mais la Congrégation pour l'éducation catholique l'a rejeté, non seulement à cause de son niveau académique très modeste, mais aussi des doutes sur l'orthodoxie de certaines de ses déclarations. Bergoglio l'a finalement emporté, et le 15 décembre 2009 Fernandez fut nommé, bien qu'en raison de l'opposition romaine, il ne prît pleinement possession de son poste que deux ans plus tard.

«Il est surprenant de voir comment les journalistes parviennent à annoncer ce qui va se passer, même s'il s'agit de faits voilés par le secret pontifical, qui est le plus vulnérable de tous - a dit Mgr Aguer dans sa dernière homélie, celle de la Fête Dieu. Beaucoup d'entre vous reçoivent une revue paroissiale, qui n'a certainement pas été imprimée ce matin, contenant ce qui a été publié aujourd'hui à Rome». C'est-à-dire l'impitoyable changement.

Une renonciation expresse

Mario Caponatto
6 juin 2018
prensarepublicana.com/una-renuncia-ex…
Traduction de Carlota

* * *

[…]
Comment s’explique une telle célérité, absolument inédite dans un processus de relève épiscopale ? La réponse, il faut la chercher en partie dans le passé. Aguer et Bergoglio ont été désignés le même jour comme évêques auxiliaires de Buenos Aires, en 1992, sur les instances de l’évêque de l’époque, le Cardinal Quarracino. À son époque, la désignation des deux évêques auxiliaires se fit comme reconnaissance au « conservatisme ». Comme « compensation », comme cela a l’habitude de se faire dans l’Église avec une certaine fréquence, à la nomination, en même temps, de deux progressistes, Frassia et Rodríguez Melgarejo.
Mais les choses ne se sont pas passées comme l’on pouvait à l’époque le supposer. Alors que Frassia et Rodríguez Melgarejo sont restés durant toutes ces années dans un anonymat virtuel. Aguer et Bergoglio, au contraire, ont acquis une notoriété croissante et sont progressivement devenus les deux figures les plus significatives de l’Épiscopat argentin bien que d’une façon impensable au moment de leur désignation à tous deux. La distance doctrinale et pastorale entre eux s’est en effet faite de plus en plus grande et notoire.

Aguer, d’un profil intellectuel de haut niveau, d’une formation thomiste reconnue, d’une fine sensibilité artistique, polyglotte et expert éminent en matière liturgique, est devenu le principal représentant de l’orthodoxie catholique en Argentine. Maître dans la pratique d’un style direct qui ne craint ni ne refuse la confrontation quand celle-ci s’impose, ses interventions dans les médias se sont faites de plus en plus fréquentes suscitant toujours - en même temps que l’adhésion des cercles catholiques orthodoxes et traditionnels -, l’attaque des ennemis de l’Église et le silence de la majorité des évêques.

Bergoglio, de son côté, doté d’une notable capacité de dissimulation, a silencieusement gravi les échelons de la carrière ecclésiastique jusqu’à occuper le Siège de Primat d’Argentine avec comme conséquence sa désignation comme cardinal. Il s’est alors transformé presque imperceptiblement en principal promoteur de la «progressie», de la théologie du peuple, de l’œcuménisme à outrance, ses petits clins d’œil à destination de la gauche se faisant de plus en plus visibles; l’histoire de son passage dans l’Épiscopat peut se résumer en disant simplement qu’il a fait la promotion de tout ce qui est mal et a fait obstacle et a persécuté tout ce qui est bien. Ainsi, crescendo, jusqu’à son étonnante et tout aussi inattendue élection comme Évêque de Rome.

L’affrontement entre Aguer et Bergoglio n’a jamais été public ou tout au moins trop public mais il était évident qu’ils représentaient tous les deux des lignes doctrinales et pastorales antithétiques. Alors que l’âge de la retraite de Bergoglio se faisait plus proche les pressions et les négociations auprès du Saint Siège n’ont pas manqué pour faire hâter la renonciation de celui qui était le Cardinal primat; chose qui ne s’est pas faite puisqu’au moment du départ de ce dernier pour assister au Conclave qui allait élire un nouveau Pape, Benoît XVI n’avait pas encore accepté la renonciation présentée presque deux ans plus tôt. La situation a alors connu un revirement inattendu. Que peut-t-on supposer que Bergoglio devenu le Pape François, ferait avec son vieux rival?

Mais nous nous tromperions complètement si nous prétendions réduire toute cette histoire à une simple rivalité personnelle de deux évêques. Cette rivalité a existé, sans doute, et a eu un poids relatif; mais ce n’est pas l'essentiel, ni le plus significatif, bien au contraire, et ce n’est finalement qu’une simple anecdote à côté des vraies raisons en jeu. Je fais référence à la douloureuse situation de l’Église en ce moment où la Foi parait se languir et qu’un vent glacial d’apostasie souffle avec une intensité croissante. Notoires, bien en vues, les plaies du corps ecclésial s’exhibent; et bien que tout cela affecte l’Église Universelle, le cas de l’Église dans l’Amérique latine en convulsion (et par conséquent l’Argentine) en arrive à des niveaux singuliers.

Il s’agit d’une Église fortement secouée par des phénomènes comme celui de la Théologie de la Libération, le Tiersmondisme et maintenant ce qui est appelé la Théologie du Peuple (métamorphose des deux théologies antérieures) qui ont dénaturé gravement l’essence même du message chrétien en le transformant en une utopie salvatrice si chère à la gauche, hier sous la bannière de la lutte armée et aujourd’hui engagée dans la guerre culturelle et sociale. Dans les années qui ont suivi immédiatement la fin du Concile, le Tiersmondisme argentin fortement allié aux groupes subversifs, est venu à bout de rien de moins que de deux archevêques. Avec des manigances bien loin de la sainteté, celui qui était alors l’évêque auxiliaire de Córdoba, Enrique Angelilli, meneur du mouvement tiesmondiste, - aujourd’hui promu comme candidat aux autels (**) -, a réussi à obtenir la renonciation de Mgr Ramón José Castellano, archevêque, avec l’évidente intention de prendre sa place sur son Siège d’archevêque. L’attitude du Saint-Siège (Paul VI) fut « à la Salomon », il déplaça l’Archevêque légitime, promut le rebelle comme Évêque du diocèse de la Rioja, et fit transférer au Siège du diocèse de Córdoba celui qui en son temps deviendra le Cardinal Primatesta.

L’autre cas fut celui de l’Archevêque de Mendoza, Mgr Alfonso Buteler qui eut à supporter la rébellion de 27 curés tiersmondistes. Dans ce cas aussi Paul VI choisit de déplacer le légitime archevêque en lui nommant un Coadjuteur sede plena.
Un autre prélat, Mgr Guillermo Bolatti, Archevêque du diocèse de Rosario, eut à souffrir d’une tentative du même genre, mais heureusement la manœuvre put être mise en échec.
J’ai rappelé ces cas pour que l’on puisse mesurer jusqu’à quel point étaient arrivées les tensions au sein de l’Église argentine, ce qui explique, d’une certaine façon, la situation actuelle. Beaucoup d’années ont passé et maintenant nous avons cette affaire de Mgr Aguer traitée d’une manière expresse.

Le catholicisme dans ces terres de l’Amérique hispanique (avec ses honorables exceptions évidemment) fortement compromis avec la révolution sociale et les options politiques les plus radicalisées, n’a rien fait d'autre que perdre toute influence authentiquement évangélisatrice dans la vie publique et dans la culture alors que dans le même temps s’est réduit d’une manière constante le nombre des fidèles qui ont été accrochés par les sectes protestantes. Le cas du Chili, en un autre temps majoritairement catholique, avec sa vertigineuse chute à des pourcentages alarmants est le plus représentatif. La décatholisation de ce pays est l’œuvre exclusive d’un épiscopat et d’un clergé qui, pour une part importante, ont renoncé à leur mission évangélisatrice pour s’embarquer dans les plus déraisonnables aventures politiques et sociales. À cela s’ajoutenr l’effrayante ignorance du clergé fruit de sa très mauvaise formation dans les séminaires et la démobilisation totale du laïcat. Cette faiblesse du catholicisme ibéro-américain l’a rendu, d’autre part, perméable à toutes les nouveautés de la «progressi » européenne, en important le pire du Vieux Continent et en ajoutant ainsi un autre facteur de désagrégation. Dans ce panorama les évêques fidèles à la vraie Foi, à la Tradition et au Magistère sont chaque jour plus rares et, donc, restent en marge.

François est fils de cette Église qu’il incarne et sert. Depuis son accession à la Papauté il s’est engagé dans une réforme aussi dangereuse qu’évanescente et l’on comprend que l’un de ses plus grands efforts est d’améliorer en changeant tout ce qui s’oppose à lui et que son attention se centre sur son pays natal où, malgré tout, l’Église a réussi à rester relativement à l’abri des aires ibéroaméricaines. C’est dans ce contexte, avant le fait de son ancienne rivalité avec celui qui est désormais l’Archevêque Émérite de la Plata, que l’on comprend cette célérité à se défaire d’un des dernières évêques catholiques restant encore.

Aguer est une gêne, un obstacle qu’il faut balayer dès que possible de la scène ecclésiale. Il y a une précipitation qui perturbe. Je ne sais pas bien pourquoi, mais en ces jours revient d’une manière récurrente à ma mémoire le passage de Jean 13, 27 : [21-27… En vérité, en vérité, je vous le dis, l'un de vous me livrera[…Seigneur, qui est-ce? Jésus répondit : C'est celui à qui je donnerai le morceau trempé. Et, ayant trempé le morceau, il le donna à Judas, fils de Simon l'Iscariote. Dès que le morceau fut donné, Satan entra dans Judas. Alors Jésus lui dit : Ce que tu fais, fais-le promptement].

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Ndt

(*) Mgr Hector Aguer est né en 1943, il est le cadet de 7 ans du Pape François. Il a des ancêtres hispano-argentins du côté de sa mère et une ascendance française (notamment de la Soule , en France) du côté paternel. Sa devise épiscopale est SILENTI OPERE, œuvres silencieuses, travailler dans le silence. Tout est dit en deux mots!

(**) Mgr Enrique Angelelli décédé d’un accident de la route en 1976. Différentes enquêtes et expertises, selon les époques et les gouvernements, ont conclu à un accident, d’autre à un attentat politique. Le futur Pape François en 2006, lors d’une messe pour les 30 ans de sa mort, a parlé de lui comme d’un martyr. Devenu pape, il a fait demande officielle pour qu'une nouvelle ...

Source : benoit-et-moi.fr/…/limogeage-expre…

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La disgrâce de Mgr Aguer

Il part au "bon" moment: adversaire acharné de la culture de mort, il fallait le réduire au silence au moment où le Parlement d'Argentine s'apprête à voter une loi facilitant l'avortement...

("Benoît-et-moi", le 10/6/2018)

Voici la vraie raison du "limogeage express" de l'archevêque de La Plata, Mgr Aguer. Le Parlement d'Argentine s'apprête à légiférer sur l'IVG, et les pronostics sont très serrées. Et, comme par hasard, Mgr Aguer, adversaire acharné de l'avortement, était le fer de lance du front pro-vie dans l'épiscopat argentin. Andrea Zambrano utilise la métaphore footballistique pour expliquer le sens de son départ précipité: «Un peu comme si, lors de la finale de Champions League, on remplaçait l'attaquant de l'équipe favorite».

Aguer exilé, le "Non à l'avortement" perd son attaquant.

Andrea Zambrano
1à juin 2018
www.lanuovabq.it/it/aguer-esiliato-…
Ma traduction

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L'une des conséquences de l'exil de l'évêque argentin Hector Aguer du diocèse de La Plata est de priver, au moment même où commence la bataille parlementaire, le front du "Non à l'avortement" d'un des principaux représentants de l'épiscopat argentin contre la loi sur la dépénalisation.

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L'une des conséquences les plus immédiates de la non-prolongation du mandat de l'évêque argentin Hector Aguer est de priver le front contre l'avortement d'un des représentants de pointe de l'épiscopat local opposé à la loi sur la dépénalisation. Après l'Irlande, qui a approuvé un amendement constitutionnel pour permettre la rédaction d'une loi facilitant l'interruption de grossesse (cf. Irlande, avortement, une défaite catholique), les projecteurs sont désormais braqués sur le pays andin. Le 13 juin, après de longs débats en commission, un projet de loi unifiant les différents projets présentés à ce jour sera déposé au Parlement et la bataille se joue jusqu'au dernier député. Selon les dernières données de Unidad Provida ["fédération" de mouvent anti-avortement en Argentine], 130 membres sont en faveur du "non", alors que 112 se sont déjà exprimés en faveur [du oui]. Quinze députés encore indécis manquent encore à l'appel. Sur le papier, c'est le vote contre qui devrait passer, mais dans les faits, les obstacles et les imprévus sont encore si nombreux qu'on ne peut pas considérer la partie comme terminée. Au contraire, étant donné que même au sein du gouvernement de Mauricio Macri, il existe des positions en faveur de l'interruption de grossesse.

Dans cette campagne qui polarise l'opinion publique argentine, la figure d'Aguer, évêque considéré comme traditionaliste et pas du tout enclin à des compromis avec le monde, s'est distinguée comme celle du leader principal du courant pour le non.

Aguer, en effet, a souvent tonné contre l'avortement et a soutenu à plusieurs reprises les nombreuses marches qui ont eu lieu dans le pays ces derniers mois en soutien du slogan: Salvemos las dos dos vidas.

Il y a tout juste une semaine, à l'occasion de son homélie pour la solennité de la Fête Dieu, qui était sa dernière messe publique en tant qu'archevêque titulaire de La Plata avant de quitter brausquement la direction du diocèse, Aguer a eu des mots clairs de condamnation. Il a qualifié l'avortement de meurtre, de crime abominable, et il a poursuivi: «Les petites âmes des innocents seront accueillies dans la miséricorde de Dieu, mais qui libérera une société meurtrière des pauvres et des sans défense, qui la libèrera de la vengeance pour le sang versé? Ce ne sera certes pas le Fonds monétaire international - a-t-il ajouté - faisant allusion aux polémiques qui lient la campagne en faveur de l'avortement dans le pays avec le prêt que le FMI devra accorder pour sauver l'économie argentine (cf. www.lanuovabq.it/it/aborto-le-press…).

Puis il a dit : «La chair et le sang d'une fillette violée, enceinte sans le vouloir et la chair et le sang de son enfant sacrifié sont unis à la chair et au sang du Christ. Caïn, Hérode, Pilate et tous les bourreaux peuvent nouer un mouchoir vert autour de leur cou (symbole de la campagne en faveur de l'avortement, ndr), mais le prix du crime sera facturé au monde le jour du Jugement, et à la société argentine bien avant».

Des mots durs, très durs, mais en accord avec la doctrine catholique de toujours sur le thème du meurtre d'enfants dans le sein maternel.

Eh bien, le 24 mai dernier, à peine atteint l'âge de 75 ans, Aguer a remis son mandat entre les mains du Pape et une semaine après, il a été remplacé par son successeur, qui prendra ses fonctions à la fin du mois, Victor Tucho Fernandez. Nous avons déjà évoqué des soupçons d'inimitiés personnelles de la part du Pape Bergoglio, derrière ce changement, et de l'humiliation et l'exil de l'émérite qui s'est retrouvé de fait sans abri du jour au lendemain.

Ce qui est remarquable maintenant, c'est qu'avec la sortie de scène d'Aguer, le front du Non à l'avortement perd l'un de ses principaux acteurs. Un peu comme si, lors de la finale de la Champions League, l'attaquant de l'équipe favorite était remplacé. Des positions de Fernandez sur le débat politique en cours, on ne sait encore rien. Mais il est difficile d'imaginer qu'il soutiendra la cause avec la force d'Aguer.

Les politiciens ont également remarqué cette absence. Ces derniers jours, par exemple, une délégation avec Maria Eugenia Vidal, gouverneur de la province de Buenos Aires, soutien du non à l'avortement avec son parti Cambiemos del no et grande admiratrice d'Aguer, est arrivée à Rome.

Pendant la rencontre, elle a demandé au Pape François les raisons du changement soudain de locataire dans le diocèse de La Plata. La rencontre s'est tenue à huis clos et on ne connaît pas les réponses du Pape.

Restent toutefois le regret et la consternation, y compris de la part de nombreux politiques, qui voyaient en Aguer un leader, en constatant qu'au moment décisif d'une bataille pour la liberté et la vérité, l'Église envoie "dans la tribune" ses meilleurs hommes. Au-delà des motivations qui sont derrière ce changement, c'est une conséquence qui jette un éclairage lugubre sur l'engagement de l’Église en Argentine pour arrêter une loi contre la vie ...

Source : benoit-et-moi.fr/…/la-disgrace-de-…

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Album ACTU


>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.
Symphytum
@Ne nous laissez pas sucomber Justement j’etais en train de penser que je ne comprenai pas vos expressions... Que voulez vous ça a bien servi nos chers élites ! Vous pourriez être mon grand père et déjà on ne parle plus la même langue, c’est triste c’est vrai. Enfin on peut toujours se comprendre, mais c’est pas facile ! Mais si on ne cherche pas à se comprendre c’est eux qui ont gagné, faut …Plus
@Ne nous laissez pas sucomber Justement j’etais en train de penser que je ne comprenai pas vos expressions... Que voulez vous ça a bien servi nos chers élites ! Vous pourriez être mon grand père et déjà on ne parle plus la même langue, c’est triste c’est vrai. Enfin on peut toujours se comprendre, mais c’est pas facile ! Mais si on ne cherche pas à se comprendre c’est eux qui ont gagné, faut pas s’arreter à ca. Quand ils auront tout saccagé, c’est la qu’on pourrat tout reconstruire ! C’est la volonté de Dieu, on doit la respecter, la dessus certainement que nous serons d’accord.
Ne nous laissez pas sucomber
@Symphytum ,mon pauvre monsieur ,je croix que nous ne pourrons nous comprendre ,car nous n'avons pas changer d'époque mais de FRANÇAIS aussi ,c'est comme un tablars qui répondit au téléphone à une question (vous n'avez pas vu que l'on à changer de gouvernement ?)drôle de pays notre pauvre FRANCE ,ils non pas fini de la saccager ?
Symphytum
@Ne nous laissez pas sucomber Dans ce cas je n’ai pas compris votre histoire... Qui me semble être légèrement hors sujet...
M’enfin si vous vous exprimiez plus clairement peut être que nous pourrions échanger plus facilement, je suis pas dans votre tête, parlez moi comme à un petit enfant comme ça on se comprendra peut être !
Non je ne suis pas de la génération 68, je n’etais même pas né !…Plus
@Ne nous laissez pas sucomber Dans ce cas je n’ai pas compris votre histoire... Qui me semble être légèrement hors sujet...

M’enfin si vous vous exprimiez plus clairement peut être que nous pourrions échanger plus facilement, je suis pas dans votre tête, parlez moi comme à un petit enfant comme ça on se comprendra peut être !

Non je ne suis pas de la génération 68, je n’etais même pas né ! Mon père l’a fait lui, à ma grande confusion ! Moi maintenant c’est vraiment plus mon truc ces absurdités de gauchistes.
Ne nous laissez pas sucomber
@Symphytum P.S. Et l'histoire.
Ne nous laissez pas sucomber
@Symphytum ,Je doute fort qu"à l'époque 1946 ;il y avait la fsspx ,vous me sembler ne pas connaitre l'histoire ,êtes vous du sérail de mais 1968?ce qui ne m'étonnerais pas vu que depuis c'est un four-tout la géo.
Symphytum
@Ne nous laissez pas sucomber A l’epoque certainement que vous n’aviez pas tord d’aller à la Fsspx, mais maintenant les choses ont bien changé. Si à l’epoque, bien que faisant des erreurs, Mgr Lefebvre fut certainement une option de bonne foi, ce n’est plus le cas aujourd’hui. La messe en latin c’est bien, mais il est totalement nécessaire d’etre NON UNA CUM, sinon votre messe ne vaut rien, …Plus
@Ne nous laissez pas sucomber A l’epoque certainement que vous n’aviez pas tord d’aller à la Fsspx, mais maintenant les choses ont bien changé. Si à l’epoque, bien que faisant des erreurs, Mgr Lefebvre fut certainement une option de bonne foi, ce n’est plus le cas aujourd’hui. La messe en latin c’est bien, mais il est totalement nécessaire d’etre NON UNA CUM, sinon votre messe ne vaut rien, elle ne produit aucun fruits, la bonne foi ne peut plus être une excuse, car aujourd’hui ceux qui résistent savent que ceux qui siègent au Vatican ne sont que des imposteurs, et il faut agir en conséquence. Vous ne devriez pas vous moquer de cette question de UNA CUM ou pas. Bien à vous, bonne soirée !
Ne nous laissez pas sucomber
@Symphytum Mon cher ami ,enfant ayant habiter Fribourg ,(suite à la guerre)région de mon père ,j'avais environ 6 ans ,ayant eu une peur je me suis réfugier en cette Basilique notre Dame et ce fut la seul fois dans toute ma vie ,ors cherchant la MESSE EN LATIN CELLE DE NOS PÈRES celle qui nous vient des Apôtres ,Dieu ma guider la,je lui demande et je suit le chemin qu'il me donne ,alors je n'est …Plus
@Symphytum Mon cher ami ,enfant ayant habiter Fribourg ,(suite à la guerre)région de mon père ,j'avais environ 6 ans ,ayant eu une peur je me suis réfugier en cette Basilique notre Dame et ce fut la seul fois dans toute ma vie ,ors cherchant la MESSE EN LATIN CELLE DE NOS PÈRES celle qui nous vient des Apôtres ,Dieu ma guider la,je lui demande et je suit le chemin qu'il me donne ,alors je n'est que faire des cum des non cum des à cum ETC .Bien à vous .
Symphytum
@Ne nous laissez pas sucomber Pourquoi ce serais nulle part ? Vous croyez quand même pas que c’est soit le Vatican, soit la Fsspx ? Vous assistez à une messe ou on reconnaît officiellement que François est le pape, comment voulez vous être crédible une seule seconde ? Vous êtes en union avec les apostats de Vatican d’eux. La condition pour rester Catholique c’est au moins d’etre non una cum, …Plus
@Ne nous laissez pas sucomber Pourquoi ce serais nulle part ? Vous croyez quand même pas que c’est soit le Vatican, soit la Fsspx ? Vous assistez à une messe ou on reconnaît officiellement que François est le pape, comment voulez vous être crédible une seule seconde ? Vous êtes en union avec les apostats de Vatican d’eux. La condition pour rester Catholique c’est au moins d’etre non una cum, vous les membres de la Fsspx vous êtes une fausse résistance, vous avez mordu à l'hameçon depuis bien longtemps. Personnellement vous avez beau avoir une position sedevacantiste vous êtes comme quelqu’un qui scie la branche sur laquelle il est assît, tout en espérant que ce soit l’arbre qui tombe ! Jamais je ne pourrai comprendre comment vous faites pour rester là bas, si vous pensez que François n’est pas pape devenez non una cum mince alors !! Soyez logique !!!
Ne nous laissez pas sucomber
@Symphytum C.T. D. nul-part ou que chez le magnifique@Symphytum ?
Symphytum
@Ne nous laissez pas sucomber Au Vatican ce n’est pas l’Eglise. À la fraternité ce n’est pas l’Eglise. L’Eglise c’est ceux qui sont restés fidèles à la foi catholique, ce sont les fidèles NON UNA CUM.
Ne nous laissez pas sucomber
@Symphytum,Vous ne me dite pas si c'est celle du Vatican ou la fsspx ,vous nagé en eaux trouble ,oui c'est oui non c'est non ,ce n'est pas mois qui l'ais dit ,ayez le courage d’être franc ,comme je le suis .
Symphytum
@Ne nous laissez pas sucomber La véritable Église ! Celle de toujours. C’est la seule qu’on peut appeler l’Eglise ! Je vais pas appeler l’Eglise ce qui n’est qu’une secte de toute plus.
Et si vous avez du mal à comprendre mes propos c’est pas pour autant que je fume la moquette !Plus
@Ne nous laissez pas sucomber La véritable Église ! Celle de toujours. C’est la seule qu’on peut appeler l’Eglise ! Je vais pas appeler l’Eglise ce qui n’est qu’une secte de toute plus.

Et si vous avez du mal à comprendre mes propos c’est pas pour autant que je fume la moquette !
Ne nous laissez pas sucomber
@Symphytum Quelle "Eglise" il vous faudrait voir a arrêter de fumé la moquette .
Symphytum
@GChevalier
C'est à l'Eglise de juger quel mariage est valide ou pas. Et en attendant ce jugement on doit les présumer valides. Déjà cette seule chose condamne tout ton raisonnement...
De plus Gilbert, selon le droit canon, pour juger de la validité, il faut précisément savoir: si l'on a été baptisé dans l'Eglise ou dans la secte conciliaire, et si l'on a été ordonné dans l'Eglise ou dans …Plus
@GChevalier
C'est à l'Eglise de juger quel mariage est valide ou pas. Et en attendant ce jugement on doit les présumer valides. Déjà cette seule chose condamne tout ton raisonnement...

De plus Gilbert, selon le droit canon, pour juger de la validité, il faut précisément savoir: si l'on a été baptisé dans l'Eglise ou dans la secte conciliaire, et si l'on a été ordonné dans l'Eglise ou dans la secte conciliaire, pour cela il faut précisément connaitre la date de l'éclipse, et si on peut s'avancer dans ces choses on ne peut substituer notre avis à celui de l'Eglise. Et en conséquence de ces choses, si on appliquait strictement le droit canon, certains mariages seraient invalides, d'autres parfaitement valides, car le mariage de personnes nées dans le schisme ou l'hérésie, mariés dans le schisme ou l'hérésie et parfaitement valide selon ce même droit canon ! Qui lui rend invalide le mariage de baptisés Catholiques qui se marient en dehors de l'Eglise Catholique, tu ne peux donc pas décemment dire que tout les mariages "tradis" sont invalides (ni les mariages conciliaires d'ailleurs)! De plus il faudrait précisément savoir qui est dans le schisme ou pas, et on ne peut pas façon décente se baser sur ton avis, car tu considères qu'il n'y a plus de hiérarchie Catholique, ce qui est totalement impossible !! Si l'on peut avancer certains faits de façon certaine, c'est au minimum l'examen approfondi de chaque cas individuel qui pourrait déterminer quel mariage est valide ou pas ! Mais ils ne seraient certainement pas tous invalides ! Et dans tous les cas on devrait les présumer valides tant que l'Eglise n'a pas jugé elle même de la validité ou non !

Et pour couronner le tout il a cas très spéciaux ou l'Eglise à jugé comme valide et licite ce qu'elle considère comme illicite de façon habituelle ! Comme pendant l'absence d'autorité incontestable, où la bonne foi peut suffire pour la licéité des sacrements (comme dans le schisme d'occident avec l'exemple de Saint Vincent Ferrier et Sainte Colette de Corbie).

On peut sans trop se mouiller juger comme valides ces mariages, de droit divin, car il n'y a personne pour exercer la juridiction et c'est donc un scandale pour la foi de demander une juridiction strictement et totalement impossible à obtenir !! D'autant plus qu'à une époque on ne pouvait même pas savoir que la juridiction manquait...

Tu critiques les sedevacs comme étant chacun leur propre chef, mais tu fais pas mieux Gilbert !

De plus j'en profite pour insister sur d'autres choses importantes...

Le secret de la Salette n'a jamais été condamné par l'Eglise, c'est un manuscrit contenant le secret mais additionné d'un pamphlet injurieux envers le pape qui à été condamné et mis à l'index, le secret en lui même n'a jamais été condamné !

Il y a certains sedevacs qui ne sont absolument pas schismatiques, il n'y a personne pour donner la juridiction normale, les évêques n'ont donc pas de juridiction comme évêques résidentiels, mais ils peuvent sacrer de façon licite d'autres évêques, et ce n'est pas une acte schismatique, puisque c'est un scandale pour la foi de demander une juridiction strictement et totalement impossible à obtenir pour la continuité du sacerdoce Catholique ! Qui ne peut être rétabli par miracle, ou par le sacre d'un évêque schismatique ou hérétique, mais qui doit perdurer telle que NSJC l'a établie chez les apôtres !

Et pour finir on doit présumer comme valide le sacrement conféré par quelqu'un qui a suivi de façon complète le rite prescrit par l'Eglise Catholique jusqu'à preuve formelle de son invalidité! De plus il est hors de doutes qu'un sacrement conféré in forma ecclesiae, ne soit absolument valide tant que celui qui le confère ne stipule pas façon claire et intelligible qu'il ne souhaite pas conférer le sacrement! Il est donc idiot de croire que les consécrations épiscopales de Mgr Thuc sont invalides ou douteuses, tant que l'on a pas la preuve claire de son invalidité et alors que les témoignages de ceux qui y ont assistés penchent clairement vers le fait que Mgr Thuc était parfaitement sain d'esprit à ce moment et qu'il ne s'est nullement opposé de façon claire au fait de conférer le sacrement que ses propres actes suggéraient.

Voici le pourquoi du comment !
Ne nous laissez pas sucomber
L'Eglise du Vatican est comme une fleur qui se fane et perd ses pétales de jours en jours ,bientôt il ne restera qu'une tige morte que Dieu brûlera.
Montfort.
- Nos tribunaux sont légitimes !
- Pas vrai : ils sont illégitimes !
D'ailleurs, vous n'en avez pas besoin
Puisque mariés vous n'êtes point.
Je te le dis carrément :
Des tradis, tous les mariages
Ne sont que des concubinages !
Voici le pourquoi du comment !
Montfort AJPM
- Bon, rien de neuf dans ton affaire !
- Primo, chez les conciliaires
On peut maintenant divorcer :
En moins d'un mois c'est emballer !
- Chez nous, c'est un peu plus sérieux !
- Cela reste à démontrer
Puisque vous pouvez divorcer
Via vos tribunaux très creux !
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GChevalier
- J'ouvre mes écoutilles !
Tu peux y aller : babille !
- Quand on est marié, on est marié.
Si quelqu'un te tape dans le nez,
Tu ne peux pas te démarier
Pour avec lui aller coucher.
Et c'est pour toute la vie.
Mais tout est changé aujourd'hui.
AJPM
Hâtons-nous d'entrer dans la bienheureuse nacelle qu'est la dévotion à la Sainte Vierge ;
Grouillez-vous de rentrer dans mon rafiot, hurle Antéchrist en désignant la porte surmontée de trois 6...