L'agir doit-il primer sur les principes ?
Le primat de la praxis sur les principes, de l'agir sur l'être, selon Madiran :
«...Jean Madiran ne me démentirait pas, qui opposait aux théoriciens de la fameuse thèse (et polémique) de Cassiciacum (voir n° 242 et 243 d’Itinéraires d’avril et mai 1980) cette vérité pérenne : « La réalité est passablement plus ardue, diverse, nuancée que les croquis schématiques à deux dimensions tracés sur papier millimétré par des controversistes théoriques et abstracteurs irresponsables. » Rémi Fontaine dans le Tu es Petrus de printemps 2023
Il y a ici, la confusion fréquente entre matériel et réel. Or le réel, c'est Dieu, c'est l'Être a se et non ab alio, qui a dit en son Incarnation : « Qui n'est pas avec Moi, est contre Moi, qui croira sera sauvé, qui ne croira pas est déjà jugé ». C'est simple, pas simpliste, il suffit d'appliquer : « Celui qui m'aime, c'est celui qui garde mes commandements, la vie éternelle c'est la connaissance et l'amour de Dieu et de son Christ », rien d'ardu, ni de réservé, à des docteurs en subtilité, la bonne nouvelle de l’Évangile, est pour tous, et surtout pour les pauvres en esprit, pour les humbles, la voilà la vérité pérenne qu'Il est venu annoncé.
Il y a peu de théologiens, nous affirment certains, car la science théologique est subtile, certes nous l'avons constater, face aux Congar, Rahner, Teilhard de Chardin, de Lubac, Chenu, Schillbeeck et alii, il n'y avait guère en face de vaillants combattants, excepté, peut-être, un Garrigou-Lagrange qui n'osa pas, cependant, pourfendre le bon Maritain et sa nouvelle chrétienté laïque et non sacrale, et qui fut un des maîtres du brigandage.
Il faut effectivement déplorer ce manque alors que la situation est particulièrement confuse. Alors que toutes les sciences humaines, et naturelles ont fait des progrès considérables, force est de constater que la reine des sciences semble absente, même et surtout à la tête de l’Église.
«...Jean Madiran ne me démentirait pas, qui opposait aux théoriciens de la fameuse thèse (et polémique) de Cassiciacum (voir n° 242 et 243 d’Itinéraires d’avril et mai 1980) cette vérité pérenne : « La réalité est passablement plus ardue, diverse, nuancée que les croquis schématiques à deux dimensions tracés sur papier millimétré par des controversistes théoriques et abstracteurs irresponsables. » Rémi Fontaine dans le Tu es Petrus de printemps 2023
Il y a ici, la confusion fréquente entre matériel et réel. Or le réel, c'est Dieu, c'est l'Être a se et non ab alio, qui a dit en son Incarnation : « Qui n'est pas avec Moi, est contre Moi, qui croira sera sauvé, qui ne croira pas est déjà jugé ». C'est simple, pas simpliste, il suffit d'appliquer : « Celui qui m'aime, c'est celui qui garde mes commandements, la vie éternelle c'est la connaissance et l'amour de Dieu et de son Christ », rien d'ardu, ni de réservé, à des docteurs en subtilité, la bonne nouvelle de l’Évangile, est pour tous, et surtout pour les pauvres en esprit, pour les humbles, la voilà la vérité pérenne qu'Il est venu annoncé.
Il y a peu de théologiens, nous affirment certains, car la science théologique est subtile, certes nous l'avons constater, face aux Congar, Rahner, Teilhard de Chardin, de Lubac, Chenu, Schillbeeck et alii, il n'y avait guère en face de vaillants combattants, excepté, peut-être, un Garrigou-Lagrange qui n'osa pas, cependant, pourfendre le bon Maritain et sa nouvelle chrétienté laïque et non sacrale, et qui fut un des maîtres du brigandage.
Il faut effectivement déplorer ce manque alors que la situation est particulièrement confuse. Alors que toutes les sciences humaines, et naturelles ont fait des progrès considérables, force est de constater que la reine des sciences semble absente, même et surtout à la tête de l’Église.