jili22
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Poème écrit par l'une de nos lectrices

Émile

Ta maman ne s’était pas encor recueillie
Sur ta sainte dépouille, que les vils impies
Avaient pourtant propagé leur funeste fiel
Avant même que ton âme ne soit au Ciel.

Durant neuf mois, nous avons prié maintes fois
Pour savoir ce qu’il était advenu de toi
Le saint jour où Notre Seigneur ressuscita
Nous était annoncé ton macabre trépas.

Là-haut, tu es désormais bienheureux élu
Intercédant pour porter les tiens abattus
Tes parents, ta sœur et tous les autres Français
Qui n’oublieront jamais le Soleil que tu es.

A toi petit, soit donnée l’éternelle Paix
Qu’un jour, auprès de Dieu, et très loin des mauvais
Se retrouve, dans la Joie, le peuple des Justes
Ici, rendons honneur à ta mémoire auguste.

~ Marthe L.

@vers_les_etoiles

tiré de La Médaille de Saint Benoît (telegram)
Sainte Blandine
Paix à son âme !