Opus Dei : La saga indigne de Torreciudad
1. Il y a environ deux ans, l'Opus Dei a demandé officiellement à Mgr Pérez Pueyo de reconnaître Torreciudad comme sanctuaire diocésain.
2. Les négociations allaient bon train, mais Pérez Pueyo, de concert avec le cardinal Ghirlanda SJ, grand ennemi romain de l'Opus Dei, a modifié les termes de l'accord. Soudain, l'évêque a demandé beaucoup d'argent à l'Opus Dei : 600 000 euros (sic) par an. L'Opus Dei a refusé. Un tollé s'ensuit. Pérez Pueyo est contraint de retirer sa demande. Dès lors, les relations se sont détériorées.
3. Pérez Pueyo demande à l'Opus Dei une liste de trois candidats pour choisir le nouveau recteur du sanctuaire. Cela contredisait l'accord selon lequel l'Opus Dei nommerait le recteur, et l'Opus Dei a refusé. Pérez Pueyo a donc illégalement nommé un prêtre diocésain très âgé comme nouveau recteur. Cela a aggravé le conflit.
4. Pérez Pueyo a demandé de l'aide à Rome et François a nommé un "médiateur plénipotentiaire" pour trouver une solution, qui est actuellement à l'œuvre.
5. Au milieu de tout cela, la Conférence épiscopale espagnole a publié son annuaire pour 2023, dans lequel Torreciudad figure comme un sanctuaire espagnol parmi d'autres.
6. Pérez Pueyo est irrité et, une semaine plus tard, l'annuaire est modifié. Les évêques ont publié une note disant que l'inclusion était une erreur et que Torreciudad n'était pas un sanctuaire mais un oratoire semi-public.
7. Cette affirmation a soulevé encore plus de doutes : pourquoi Mgr Pérez Pueyo aurait-il nommé un recteur d'un oratoire semi-public ? Si Torreciudad n'est pas un sanctuaire, quelle est la justification de son intervention ?
8. Un autre fait révèle le malaise du diocèse de Barbastro-Monzon. Le 16 décembre, les prêtres du diocèse se sont réunis à Torreciudad, comme chaque année avant Noël. Pérez Pueyo n'était pas présent, du moins pas sur la photo. Pendant qu'il se bat à Torreciudad, ses prêtres s'y réunissent.
Traduction de l'IA