Et, si cela ne suffisait pas, nous avons les paroles du Dieu Trinitaire Catholique dans la Sainte Écriture, telles qu'elles nous ont été données par l'Église catholique romaine. La citation ci-dessus de l'éminent théologien, le p. Szal, termine avec un exemple des lèvres de Jésus-Christ, retrouvé dans les évangiles de Matthieu et de Luc:

"Mais celui qui me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux." (Matthieu 10:33 RDC)

Et:

"Mais celui qui me reniera devant les hommes sera renié devant les anges de Dieu." (Luc 12: 9 RDC)

Parce que, bien sûr, comparaître en public avec des non-catholiques lors de leurs cérémonies religieuses - que ce soit dans un lieu de culte ou non - revient à paraître comme si vous approuviez leur fausse religion. Soit vous agissez comme si leur fausse religion était vraie, ce qui était un mensonge, soit vous agissiez comme s’il importait peu que leur religion soit fausse, ce qui est aussi un mensonge. Quel que soit le cas, le scandale public est donné et Notre Seigneur nous refusera devant Son Père céleste, nous condamnant à jamais si nous mourons dans un état de péché mortel aussi terrible, après avoir violé gravement le 1er Commandement ('aucuns faux dieux les fausses religions ').

Cependant, nous pouvons aussi nous souvenir de ces paroles de Jésus:

"Mais celui qui scandalisera l'un de ces petits qui croient en moi, il valait mieux pour lui qu'une meule soit pendue à son cou et qu'il soit noyé au fond de la mer." (Matthieu 18: 6 RDC)

Sans parler de:

«Et quiconque scandalisera l'un de ces petits qui croient en moi; il valait mieux pour lui qu'une meule soit pendue à son cou et qu'il soit jeté à la mer. »(Marc 9:41 RDC)

Et aussi:

«Il valait mieux pour lui qu'une meule soit pendue à son cou et jeté à la mer plutôt que de scandaliser l'un de ces petits.» (Luc 17: 2 RDC)

Car bien que les catholiques «scandalisent» les non-catholiques en semblant tolérer ou tolérer spirituellement une fausse religion s'ils participaient à de telles fausses religions par leur présence aux cérémonies religieuses ou aux prières de non-catholiques, ils étaient en outre --- et même bien pires --- «scandaliser» les autres catholiques qui peuvent être des «petits» en termes de foi catholique. C’est-à-dire qui peut être égaré par un mauvais exemple ou désespéré à cause de l’apostasie apparente d’un autre catholique de la seule et unique religion de vérité de Dieu.

Une autre citation de la Bible extrêmement pertinente est la suivante:

«Regardez en vous, afin que vous ne perdiez pas ce que vous avez accompli, mais que vous receviez une pleine récompense. Quiconque se révolte et ne continue pas dans la doctrine de Christ n'a pas Dieu. Celui qui persévère dans la doctrine a le Père et le Fils. Si quelqu'un s'approche de vous et n'apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans la maison, ni ne lui dites: "Que votre vitesse soit à la hauteur", car celui qui lui dit: "Que sa vitesse vous conduise", communique avec ses mauvaises oeuvres. " (2 Jean 1: 8-11 RDC)

En effet, le commentaire biblique de Haydock dit ceci à propos de ces versets:

«Cet avertissement est généralement destiné à informer les fidèles des dangers qui peuvent résulter d'une familiarité avec ceux qui ont prévalu et sont partis de la vraie foi et avec ceux qui enseignent la fausse doctrine. Mais ceci n'interdit pas une charité pour tous les hommes, par laquelle nous devrions souhaiter et prier pour le salut éternel de chacun, même de nos ennemis. »(Commentaire de Haydock Bible sur 2 Jean 1:10)

Et nous faisons bien de revoir les instructions de Notre Seigneur Jésus-Christ, cette fois-ci à ses paroles concernant les exclus de l’Église catholique:

«Mais si ton frère t'offense, va, reprends-le entre toi et lui seul. S'il t'écoute, tu gagneras ton frère. Et s'il ne t'écoute pas, prends-en un ou deux de plus: afin que chaque mot soit retenu dans la bouche de deux ou trois témoins. Et s'il ne les entend pas, dites-le à l'église. Et s'il n'entend pas l'église, qu'il soit pour vous comme un païen et un publicain. ”(Matthieu 18: 15-17 RDC)

Cependant, d'autres déclarations de l'Église ont aussi du poids. Ils peuvent ne pas faire autorité (par exemple, un conseil qui, bien que légitime, n'était pas œcuménique (Vatican 2 n'était pas oecuménique pour le Père Hesse, spécialiste du droit canon et c'est très important de le savoir car un concile non-oecuménique ne change rien NDR) ou directement pertinents (par exemple, une loi qui, bien que vraie, ne mentionne pas la participation aux offices ou aux prières de non-catholiques), néanmoins, ils sont très respectés et au moins indirectement pertinents. Par exemple.:

"Personne ne doit prier en commun avec les hérétiques et les schismatiques ... Il n'est pas permis aux hérétiques d'entrer dans la maison de Dieu tant qu'ils restent dans l'hérésie." (Concile de Laodicée au 4ème siècle, citant le Canon 6)

Ainsi que:

«On ne doit ni prier ni chanter des psaumes avec des hérétiques, et quiconque communiquera avec ceux qui sont coupés de la communion de l'Église, qu'il s'agisse d'un clergé ou d'un laïc, soit excommunié.» (Concile de Carthage)

Aussi:

«Une personne qui, de son plein gré et sciemment, aide de quelque manière que ce soit à propager une hérésie, ou qui communique par des rites sacrés avec des hérines en violation de l'interdiction du Canon 1258, encourt un soupçon d'hérésie.» (Code de Canon de 1917) Law, Canon 2316)

En outre:

«Toute personne soupçonnée d'hérésie et qui, après avertissement, n'a pas éliminé la cause du soupçon, sera défendue d'exercer des actes ecclésiastiques légaux; s'il est un clerc, et après que des avertissements répétés n'ont pas enlevé la cause du soupçon, il sera suspendu comme un devin [des rites sacrés]. Si une personne soupçonnée d'hérésie a été punie des peines énoncées ici et qu'elle ne se modifie pas dans les six mois suivant son imposition, elle sera considérée comme un hérétique et passible des peines d'hérésie. "(Code de droit canonique de 1917, Canon 2315)

Et:

"On ne peut pas dire la messe dans les églises d'hérétiques ou de schismatiques, même si elles étaient dans le passé bien consacrées ou bénies." (Code de droit canonique de 1917, canon 823)

Il est également très utile de lire des commentaires bien informés et orthodoxes sur ces citations de droit canonique. Par exemple, le p. Szal, théologien catholique du milieu du XXe siècle, a déclaré ceci à propos du Canon 1258 du Code de droit canonique de 1917:

«La communication est interdite en vertu de la loi divine, mais l'Église a défini plus clairement quel type de communication est interdit et quel type de participation peut être autorisé avec des non-catholiques. Cette loi de l'Église qui régit la communication religieuse avec les non-catholiques est énoncée dans le canon 1258 du Code de droit canonique. Le paragraphe 1 de ce canon est en général une reformulation, sinon de la loi naturelle elle-même, alors certainement de la loi divine divine. Il se lit comme suit:

«Canon 1258: Il est illégal pour les fidèles d’assister de manière active ou de prendre part aux services sacrés de non-catholiques.»

«… On ne peut assister à des prières, des offices ou des sermons non catholiques ni dans une église ni ailleurs.

«Ici encore, il convient de noter que la loi actuelle de l'Église ne concerne que le type de participation appelé communicatio in sacris, ou communication religieuse. Le droit canonique ne permet la communication à profanes, ou communication civile, que dans le cas de vitandi [ceux qui étaient autrefois personnellement catholiques mais qui ont été excommuniés de l'Église de la manière la plus grave].

“… Les schismatiques en tant que tels ne sont pas vitandi…

«La participation religieuse active avec les schismatiques est toujours intrinsèquement illicite. Les raisons de cette interdiction absolue du canon 1258, § 1, ont pour origine la loi divine naturelle et positive. Ces raisons sont les suivantes: 1) L’Église est la seule véritable société religieuse existant de jure dans laquelle il est permis de rendre à Dieu le culte qui lui est dû; 2) il faut éviter de donner le scandale par le biais de la quasi-approbation d’une fausse secte; et 3) le danger de perversion de la vraie foi doit rester efficacement neutralisé.

«… Tous les types de communication religieuse active avec les non-catholiques sont gravement illicites. Une telle assistance est intrinsèquement et gravement mauvaise pour a) si le culte est de forme non catholique (comme dans les ablutions mahométanes ou dans le fait de manger de l’agneau pascal juif), il exprime une croyance en une fausse croyance symbolisée dans la cérémonie, et b) si le culte est de forme catholique mais qu'il est entrepris sous les auspices d'un organisme non catholique (comme lors de la célébration de la messe par un prêtre schismatique), il exprime soit la foi en un faux corps religieux, soit une rébellion contre la véritable Église. .

«L'obligation d'éviter de s'exposer au danger de perversion et d'empêcher de donner du scandale à autrui provient de la loi divine naturelle. La loi divine positive, en revanche, interdit à quiconque de mener une telle action qui équivaudrait au moins à un déni de foi extérieur et à la quasi-profession d'une fausse secte. Cette interdiction est exprimée dans les paroles de notre Seigneur: "Celui qui me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux" (Matthieu 10:33, Luc 12: 9) "(La communication de Catholiques atteints de schismatique par le révérend Ignatius J. Szal, A.

La source : www.youtube.com/watch
Les catholiques ont l'interdiction d'adorer Dieu avec ceux qui ne sont pas catholiques…

Voir ci-dessous quand l’Eglise catholique l’a dit!

Voici les enseignements et les règles de l'Église qui indiquent clairement qu'un catholique ne peut pas participer aux prières ou aux services religieux des non-catholiques.

Pour commencer, nous examinons le Code de droit canonique de l’Église de 1917, qui est le droit de l’Église toujours en vigueur, car rien après Pie XII n’est pertinent, il provient de ceux qui sont hérétiques pour avoir contre-dit leurs prédécesseurs et n’ont donc aucune autorité dans l’Église.

"Il est illégal pour les fidèles d'assister activement ou de prendre part aux services sacrés des non-catholiques." (Code de droit canonique de 1917, Canon 1258, paragraphe 1. Toute emphase ou annotation ajoutée dans ceci et dans d'autres citations, sauf indication contraire ailleurs.)

Il est vrai que le Code de droit canonique de 1917 contient plusieurs lois insensées et blessantes. (Par exemple, il permet aux catholiques en danger de mort de confesser à un prêtre schismatique si aucun prêtre catholique n'est disponible, ce que le Saint-Siège n'avait jamais permis avant 1864.) Néanmoins, ce code de droit canonique est une bonne représentation des enseignements catholiques.

Autre exemple, nous trouvons encore l’Église catholique légiférer solennellement au 7ème siècle:

«Si des ecclésiastiques ou des laïcs entrent dans la synagogue des Juifs ou dans les lieux de rendez-vous des hérétiques pour se joindre à eux dans la prière, qu'ils soient destitués et privés de communion. Si un évêque, un prêtre ou un diacre s'unit à la prière avec les hérétiques, qu'il soit suspendu de la communion. »(3ème concile de Constantinople en 680)

Le 3ème Conseil de Constantinople est, bien entendu, un conseil œcuménique de l’Église catholique romaine et donc suprême. Et devons-nous préciser que tous les prêtres et évêques qui adhèrent au faux conseil de Vatican II dans les années 1960 violent régulièrement ce décret? Parce qu'ils vont souvent dans les lieux de rencontre des non-catholiques «pour se joindre à la prière avec eux»!

Nous continuons. L'église catholique a également décrété au 16ème siècle:

«Et comme la vérité ne peut pas contredire la vérité, nous définissons que toute affirmation contraire à la vérité éclairée de la foi est totalement fausse et nous interdisons formellement que l’enseignement soit autrement permis. Nous décrétons que tous ceux qui s'accrochent à de telles déclarations erronées, semant ainsi des hérésies entièrement condamnées, doivent être évités de toutes les manières et punis comme des hérétiques et des infidèles détestables et odieux qui minent la foi catholique. "(5ème Conseil du Latran en AD 1513, session 8)

Maintenant, évidemment, à moins qu'un catholique ne quitte ce monde ou ne devienne un moine ermite, alors il ne peut pas éviter complètement les «hérétiques odieux et les infidèles». Néanmoins, aucun catholique n'a besoin de s'associer aux actes religieux de ceux qui sont en dehors de l'Église catholique. Nous n'avons pas besoin d'entrer dans leurs lieux de culte pour adorer avec eux, nous n'avons pas besoin d'assister à leurs services religieux - qu'ils soient tenus dans une "église" officielle, dans une maison privée ou dans un lieu public commun - pour participer à une cérémonie religieuse avec nous n'avons pas besoin de suivre les prières d'un hérétique qui les guide dans ces prières, et ainsi de suite. Au contraire, il nous est strictement interdit de faire de telles choses car elles sont haineuses pour Dieu, nuisibles aux âmes et violent nos voeux de baptême.

(Incidemment, le décret du Vème concile de Latran mentionne également ceux qui ont déjà été personnellement catholiques, mais qui ont quitté la Vraie Foi pour épouser l'hérésie. Ce genre de personnes, en particulier dans un pays catholique, doit être évité de toutes les manières. “Possible, même dans la vie quotidienne, jusqu’à ce qu’ils retrouvent la raison et reviennent au sein de l’Église catholique.)

Le Canon 1258 fait l’autorité suprême, il est l’esprit de l’Eglise depuis les temps les plus reculés en ce qui concerne l’association religieuse avec les non-catholiques, et le 3ème Concile de Constantinople et le 5ème Concile du Latran ont la même autorité, sinon plus, le plein pouvoir concernant la papauté lorsqu'un Pape commet une erreur.