Prochain choc à venir : Tucho veut une guerre civile dans l'Église
- Fernández vit entre les murs du Vatican et en sort rarement. Il ne passe pas dans les bureaux pour demander comment vont les choses et est un "solitaire" [tant pis pour la "synodalité"].
- C'était un secret de polichinelle que Fernández jouait un rôle majeur dans la rédaction de documents papaux "importants" tels qu'Amoris Laetitia. Mais personne ne pensait qu'il deviendrait préfet pour la doctrine de la foi.
- Cette promotion est la "revanche" de François sur l'opposition [timide] du Vatican à la nomination de Fernández comme recteur de l'Université pontificale d'Argentine en 2009, lorsque le cardinal Bergoglio a dû intervenir et a rapidement obtenu ce qu'il voulait.
- Fernández avait prévenu François avant la nomination : "Il y aura une guerre contre moi". François lui a répondu : "Vous pouvez vous en occuper".
- Quelques jours plus tard, François a appelé le cardinal Müller et lui a demandé de "faire ami-ami" avec Fernández.
- De nombreux critiques estiment que Fernández a été "largement discrédité" par ses livres embarrassants sur l'[homo]sexualité et les orgasmes.
- François ne l'a pas soutenu, s'est plaint un ami de Fernández, après qu'il l'a utilisé pour provoquer une crise dans l'Église avec l'ouvrage de propagande homosexuelle "Sodoma supplicans".
- Fernández prépare un nouveau document sur la "dignité humaine". Le texte a été rédigé par des théologiens romains sur des questions de bioéthique, mais François a voulu qu'il soit "révisé de fond en comble à son arrivée" et sur ses sujets favoris tels que l'immigration illégale et l'idéologie environnementale. Il pourrait y avoir "un nouveau choc" avant la fin du mois de mars.
- Conclusion de Senneville : La "guerre" programmée par Fernandez ne s'arrêtera pas.
Traduction de l'IA
