Profitez-en avant la bouchure des tuyaux : conseil de "Mickey catho" (comme m'appelle Daoudal)
>>> "Mickey catho"
Article précédent : Le Synode Homo de la Pilule est déjà terminé : vous pouvez rigoler ! LoooL
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(site anti-bergoglien mystérieusement fermé depuis le soir du 12 septembre 2018, comme celui de "Dieu et moi le Nul sans Lui" depuis le 26 juillet 2018 )
Ce n’est plus un secret car la presse s’en fait l’écho : alors qu’il était archevêque de Buenos Aires, Jorge Bergoglio a refusé de recevoir et d’écouter des victimes de prêtres pédophiles et a fait tout son possible pour protéger un ou des prédateur(s) sexuel(s).
Aujourd’hui, on remarque que, devenu pape, Jorge Bergoglio, d’une part, ne montre aucun empressement à sanctionner des évêques et des cardinaux coupables d’abus sexuels, d’autre part, s’entoure de collaborateurs appartenant à cette caste de clercs dévoyés qui s’emploient à faire oublier les notions de foi, de morale et de justice.
Reste donc la question que tout le monde a en tête mais qu’on n’ose pas poser : qu’est-ce qui pousse Jorge Bergoglio, le pape du « je suis un peu fourbe » et du « qui suis-je pour juger », le pape qui avoue avoir dû suivre une psychanalyste et qui ne s'agenouille jamais devant l'Eucharistie, à se montrer si ouvert au monde homosexuel et en même temps si acerbe envers les fidèles qui demande plus de clarté sur des questions doctrinales et morales ? Posons la questions plus directement : quelles sont les faiblesses inavouées de Jorge Bergoglio ? Une réponse se trouve probablement dans le fameux « rapport Kolvenbach » rédigé en 1991 à la demande des autorités vaticanes qui avaient de sérieux doutes sur les compétences et la probité du Père Bergoglio au moment où il était question de le sacrer évêque. Un rapport que certains se sont employés à faire « miraculeusement » disparaître au moment où se jouait l’élection de François.
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La Conférence des évêques catholiques des Etats-Unis (USCCB) s’est réunie en vue d’élaborer de nouveaux plans pour lutter contre les abus sexuels commis par des prêtres.
On ne sait pas si le cardinal McCarrick a participé à cette réunion, lui qui est un fin connaisseur des problèmes discutés. Toujours est-il que les évêques vont élaborer un plan... plan-plan, plan-plan.
On attend que les fidèles se réunissent à leur tour pour rédiger une simple note qu’ils pourront adresser aux évêques afin de leur indiquer comment mettre efficacement hors d’état de nuire les prédateurs sexuels. En gros, comment appliquer le droit canonique.
* * * *
Toute personne qui souffre de troubles du sommeil doit lire l’ « Instrumentum Laboris » - le « document de travail » - pour la XVe assemblée générale ordinaire du Synode des évêques qui se tiendra le mois prochain à Rome et qui aura pour thème « Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel ».
Ce document, un pavé de plus de 30 000 mots, est un texte lourd, pénible à lire (donc soporifique), truffé d’éléments de sociologie mais totalement privé de spiritualité et de théologie. De plus - et c’est lamentable - l’ « Instrumentum Laboris » en question ne dit presque rien sur la foi, sauf pour suggérer à de nombreuses reprises que ses auteurs sont quelque peu embarrassés par l’enseignement catholique.
Un texte aussi indigeste pourra-t-il sérieusement servir de base de discussion au Synode ? C'est peu probable. On en retrouvera simplement quelque traces diluées dans le rapport final du Synode lequel, comme on l’imagine, est déjà écrit.
Donner des documents pré-rédigés en faisant croire qu’ils ont été élaborés sur la base de réflexions des évêques fait partie de la stratégie de François pour faire avaler les orientations qui lui permettent de mettre l’Église sur les rails du protestantisme.
Source : www.proliturgia.org/actua.html
(Pro Liturgia, Vendredi, 21 septembre 2018)
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Album ACTU
>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.
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(site anti-bergoglien mystérieusement fermé depuis le soir du 12 septembre 2018, comme celui de "Dieu et moi le Nul sans Lui" depuis le 26 juillet 2018 )
Ce n’est plus un secret car la presse s’en fait l’écho : alors qu’il était archevêque de Buenos Aires, Jorge Bergoglio a refusé de recevoir et d’écouter des victimes de prêtres pédophiles et a fait tout son possible pour protéger un ou des prédateur(s) sexuel(s).
Aujourd’hui, on remarque que, devenu pape, Jorge Bergoglio, d’une part, ne montre aucun empressement à sanctionner des évêques et des cardinaux coupables d’abus sexuels, d’autre part, s’entoure de collaborateurs appartenant à cette caste de clercs dévoyés qui s’emploient à faire oublier les notions de foi, de morale et de justice.
Reste donc la question que tout le monde a en tête mais qu’on n’ose pas poser : qu’est-ce qui pousse Jorge Bergoglio, le pape du « je suis un peu fourbe » et du « qui suis-je pour juger », le pape qui avoue avoir dû suivre une psychanalyste et qui ne s'agenouille jamais devant l'Eucharistie, à se montrer si ouvert au monde homosexuel et en même temps si acerbe envers les fidèles qui demande plus de clarté sur des questions doctrinales et morales ? Posons la questions plus directement : quelles sont les faiblesses inavouées de Jorge Bergoglio ? Une réponse se trouve probablement dans le fameux « rapport Kolvenbach » rédigé en 1991 à la demande des autorités vaticanes qui avaient de sérieux doutes sur les compétences et la probité du Père Bergoglio au moment où il était question de le sacrer évêque. Un rapport que certains se sont employés à faire « miraculeusement » disparaître au moment où se jouait l’élection de François.
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La Conférence des évêques catholiques des Etats-Unis (USCCB) s’est réunie en vue d’élaborer de nouveaux plans pour lutter contre les abus sexuels commis par des prêtres.
On ne sait pas si le cardinal McCarrick a participé à cette réunion, lui qui est un fin connaisseur des problèmes discutés. Toujours est-il que les évêques vont élaborer un plan... plan-plan, plan-plan.
On attend que les fidèles se réunissent à leur tour pour rédiger une simple note qu’ils pourront adresser aux évêques afin de leur indiquer comment mettre efficacement hors d’état de nuire les prédateurs sexuels. En gros, comment appliquer le droit canonique.
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Toute personne qui souffre de troubles du sommeil doit lire l’ « Instrumentum Laboris » - le « document de travail » - pour la XVe assemblée générale ordinaire du Synode des évêques qui se tiendra le mois prochain à Rome et qui aura pour thème « Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel ».
Ce document, un pavé de plus de 30 000 mots, est un texte lourd, pénible à lire (donc soporifique), truffé d’éléments de sociologie mais totalement privé de spiritualité et de théologie. De plus - et c’est lamentable - l’ « Instrumentum Laboris » en question ne dit presque rien sur la foi, sauf pour suggérer à de nombreuses reprises que ses auteurs sont quelque peu embarrassés par l’enseignement catholique.
Un texte aussi indigeste pourra-t-il sérieusement servir de base de discussion au Synode ? C'est peu probable. On en retrouvera simplement quelque traces diluées dans le rapport final du Synode lequel, comme on l’imagine, est déjà écrit.
Donner des documents pré-rédigés en faisant croire qu’ils ont été élaborés sur la base de réflexions des évêques fait partie de la stratégie de François pour faire avaler les orientations qui lui permettent de mettre l’Église sur les rails du protestantisme.
Source : www.proliturgia.org/actua.html
(Pro Liturgia, Vendredi, 21 septembre 2018)
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Album ACTU
>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.