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jili22
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Chapelet à Saint Michel Archange : PUISSANTE AIDE et PROTECTION des ANGES Saint Michel Archange apparut à Antonia d'Astonac, carmélite portugaise, et lui déclara qu'il voulait que l'on compose en son …Plus
Chapelet à Saint Michel Archange : PUISSANTE AIDE et PROTECTION des ANGES

Saint Michel Archange apparut à Antonia d'Astonac, carmélite portugaise, et lui déclara qu'il voulait que l'on compose en son honneur 9 salutations correspondant aux 9 chœurs des Anges. À quiconque réciterait ce chapelet ou Couronne angélique, l'Archange promit un cortège de 9 Anges, choisis dans les 9 Chœurs, pour l'accompagner à la Sainte Table. Au fidèle qui dirait tous les jours ces 9 salutations, il assurait sa protection continuelle pendant la vie et, après la mort, la délivrance du Purgatoire pour lui-même et pour ses parents. Cette prière reçut l'approbation du pape Pie IX, le 8 août 1851. Il lui attribua des jours d'indulgences. Outre les indulgences plénières à gagner aux conditions ordinaires (Indulgences accordées par S.S. Pie IX : 7 ans et 7 quarantaines plus une indulgence plénière une fois par mois pour la récitation quotidienne de ce chapelet, 100 jours chaque jour, quand on le porte sur soi ou que l’on baise la médaille qui y est fixée, Indulgence plénière aux fêtes de la Dédicace de Saint Michel, le 8 mai et le 29 septembre, et les 2 et 20 octobre, aux conditions ordinaires. Mêmes Promesses pour le port du scapulaire de Saint Michel), il y a cent jours d'indulgence pour chaque jour qu'on porte sur soi ce chapelet, ou seulement que l'on baise la médaille des saints Anges qui y est fixée.

En tête du décret de la sacrée Congrégation des Rites on lit : « C'est une pieuse tradition des temps passés que l'archange saint Michel, prince de la milice céleste, déclara à une pieuse femme qui avait l'habitude de l'honorer chaque jour par des actes particuliers de dévotion, qu'il lui serait agréable de voir introduire l'usage d'une certaine formule de prières en son honneur et en l'honneur de tous les saints Anges du Ciel ; qu'il récompenserait pour cela ses dévots serviteurs en venant à leur secours par les plus abondantes faveurs dans les besoins publics, surtout dans ceux de l'Église catholique dont il est le protecteur perpétuel, de même qu'il le fut autrefois de la Synagogue d'Israël.
De là vient que cette formule de prières en l'honneur du saint Archange faisait les délices d'une carmélite du monastère de Vetralla, au diocèse de Viterbe, décédée en odeur de sainteté en 1715, après beaucoup de maladies très-pénibles endurées par elle pendant de très longues années, avec une héroïque patience ; de sorte que cette pratique s'y étant maintenue sans interruption jusqu'à présent y persévère avantageusement encore aujourd'hui. »