Léon XIV nomme un évêque extrémiste au Brésil : "Pour la théologie de la libération, contre les catholiques ultraconservateurs !
Il a été ordonné prêtre en juillet 1988 et nommé évêque auxiliaire de Belo Horizonte en février 2006. Le 24 février 2025, il a été promu évêque coadjuteur de Santos.
De 2007 à 2022, Mgr Guimarães a été recteur de la Pontifícia Universidade Católica de Minas Gerais (PUC-Minas), la plus grande université catholique du monde.
Aligné sur les idées révolutionnaires d'inspiration marxiste
En septembre 2016, la présidente brésilienne d'inspiration marxiste, Dilma Rousseff, a été destituée et démise de ses fonctions en raison d'accusations fiscales.
À cette époque, l'évêque auxiliaire Mol a pris publiquement sa défense.
Il a mis en garde contre les forces politiques qui, selon lui, ont porté atteinte à la vie démocratique. Il a participé à un rassemblement où figuraient des symboles syndicaux et sociaux (voir la vidéo ci-dessous). Sans nommer les personnes, il a critiqué les "politiciens traditionnels".
2016 : Introduction de "noms sociaux" pour les étudiants souffrant de troubles du genre
En 2016, en tant que recteur de la PUC-Minas, Mgr Mol a publié une ordonnance administrative introduisant le concept de "nom social" à l'université.
Ce nom reflète une "identité de genre" plutôt que le nom légal.
En mars 2017, Monseigneur Mol a publié sur Cimi.org.br un article intitulé "Le virage conservateur menace les pauvres", dans lequel il critique les politiques sociales et économiques perçues comme conservatrices et néolibérales.
Soutien aux militants de l'avortement, contre l'"hétérosexualité forcée"
En avril 2016, Joaquim Mol, en tant que recteur de l'université, a autorisé une série de discussions qui ont promu l'idéologie extrémiste du genre et l'avortement. Le thème central était le "féminisme décolonial". Aucune voix catholique n'a été invitée.
La conférence d'ouverture a été donnée par Rita Laura Segato, une militante notoire de l'avortement qui s'oppose à l'"hétérosexualité forcée". Elle a signé un manifeste en faveur de la légalisation de l'avortement au Brésil.
Parmi les autres intervenants figuraient des fonctionnaires du gouvernement qui mettaient en œuvre des programmes sur le genre dans les écoles publiques. La famille a été présentée comme une forme d'"oppression" et un outil du "patriarcat colonial".
Attaques contre Jean-Paul II et Benoît XVI
Selon BrasilDeFato.com.br, en septembre 2019, Mgr Mol a rappelé qu'après "une période de posture réactive" pendant les pontificats de Jean-Paul II et de Benoît XVI, François avait vigoureusement repris l'orientation du Conseil, valorisant la "synodalité".
Mgr Mol a averti que la synodalité n'avait pas été bien accueillie par "certains groupes au sein de l'Église".
Devenu soudainement ultramontain, il a vu une grande résistance parmi ceux qui n'acceptent pas le changement et doutent de la direction du pape. "Ce sont des gens qui réagissent au concile avec douleur, tristesse et ressentiment", a-t-il commenté.
Le rêve de la nouvelle année : "Fini les catholiques ultraconservateurs !"
En janvier 2022, Mgr Mor appelait au "changement urgent et définitif du président [Jair Bolsonaro] et de ses acolytes".
Dans le même billet, il appelait de ses vœux le "renforcement des mouvements sociaux progressistes", la "revitalisation de la théologie de la libération", le "soutien au pape François" et le "discrédit des catholiques fondamentalistes et ultraconservateurs".
Traduction de l'IA
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